jeudi 30 juin 2016

Brèves du 30 Juin 2016

En coup de vent aujourd’hui, j’ai survolé les nouvelles de l’actualité car j’avais décidément la tête ailleurs… Et ce survol ne me donne franchement pas envie d’atterrir !

Déjà qu’à bonne altitude, tout ce remue-ménage n’apparait pas ragoutant du tout ; alors à hauteur du plancher des vaches, je vous laisse imaginer le remugle…

Ah mais parfaitement ! Ça ne sent pas bon du tout et les chaleurs estivales qui s’abattent sur note pays ne font que renforcer ce sentiment de puanteur…

Mais ça sent quoi ? Ben, la magouille, la promesse électoraliste qui fouette sous les bras, la déclaration people pour remplir du papier…

Ne me dites pas que vous seriez enclins à donner entière confiance aux mielleuses promesses de l’englué élyséen ? Généralement, les promesses électoralistes tendance « élection piège à con » sont mieux dissimulées bien qu’on voit souvent dépasser du string la ficelle du tampax. Mais là, c’est encore plus gros qu’une maison, plus enflé qu’une garage pour Airbus, plus énorme que Valérie Damidot en pleine crise d’aérophagie…

Flamby le boudiné nous a une fois de plus sorti son gros baratin des baisses d’impôts en 2017. Il nous aurait annoncé des français sur Mars dans six mois ou le mariage de Christiane Boutin et de Steevy qu’on aurait presque pu y croire…

Surtout qu’en parallèle avec les effets usés d’annonce du boursouflé, l’hystérique Chorizo matignonnesque annonce la création d’une nouvelle taxe destinée à financer je ne sais plus quelle usine à gaz, ce dont on se fout d’ailleurs puisqu’au final, on vient encore une fois nous pomper jusqu’à a moelle… Super la synchronisation et l’unicité d’opinions dans la majorité !

Dans le registre de la déclaration people qui ne sert strictement à rien, mais qui noircit du papier, l’aphone professionnelle, la trignleuse de l’échantillon élyséen, qui s’épanche en révélations au final fort peu flatteuse. Carlita avoue bêtement qu’elle ne sait même pas faire une multiplication, ce qui laisse augurer du niveau général. Remarquez, quand on écoute ses chansons, on s’en doute…

Tiens puisqu’on parle du marigot politique, parlons de la confirmation par la Cour de Cassation de l’annulation de l’arbitrage Tapie. J’en connais un qui doit sabler le champagne millésimé…

Lui, il a dû forcer sur le thé trop infusé pour en arriver à prendre une décision aussi couillue. Boris Johnson, qui a piqué la perruque de Donald Trump en moins bouffant, renonce à succéder à David Cameron, le mec par qui le Brexit arriva. Le Waterloo britannique est en route…

D’autant qu’il se pourrait que le fameux Brexit qu’on s’enfile à midi au diner et dans le café au lait et par tous les orifices depuis une semaine pourrait être illégal. Apparemment, les lois britanniques, souvent coutumières et non écrites, ne permettraient pas au Gouvernement ce genre d’initiative… Y en a qui essaieraient désespérément de faire machine arrière qu’ils ne s’y prendraient pas autrement…

Allez, je ne puis bavasser plus longuement ce soir sur ces futilités inutiles, car au fur et à mesure, les idées s’embrument dans ma tête sous l’effet de la seconde phase de relachement. Enfin, ça y est, on est entré dans une nouvelle époque professionnelle, après six mois d’incertitudes, de doutes, d’espoirs parfois cruellement déçus, de coups durs, des coups de mou, des larmes retenues ou pas, et de tension nerveuse parfois fulgurant à 46/20… Demain sera un autre jour, et un cierge brûlera parce que croyez-moi, on doit tous avoir une étoile là-haut !

On finira donc sur deux nouvelles sportives, avec d’une part les cinquièmes Jeux Olympiques pour Michael Phelps, l’immense américain en moulebite qui s’est sélectionné pour Rio. Il doit aimer les vapeurs chlorées et les fragrances mâles des vestiaires…

Et d’autre part, le beau geste, j’espère pas trop calculé de Griezmann, une des connasses en short, qui a offert le ballon de victoire des Bleus au fils du policier de Magnanville… Finalement, ils ne sont pas tous si connasses que ça… Ah flûte, je me ramollis !

Et le 30 juin 1973, nous vécûmes la plus longue éclipse solaire totale du siècle, qui dura sept minutes et quatre secondes. Nettement moins que la plupart des apnéistes statiques actuels… Alors, je retire : Pierre Frolla, Morgan Bourc’his, Arthur Guérin-Boéri et autres Guillaume Néry, pas des pédés ! Enfin, je pense… 

 

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