Pierre Frolla, Morgan Bourc’his,
Arthur Guérin-Boéri et autres Guillaume Néry, pédés !
Non mais sérieux quoi !
Loin de moi l’idée de
remettre en cause leurs préférences affectives, leurs choix amoureux et leurs
instincts intraslipesques stimulés par leur combinaisons moulechouquettes,
chacun fait ce qu’il veut avec son cul, moi ça ne me regarde pas ; mais je
souhaiterais simplement indiquer à ces messieurs que leurs performances dans le
domaine apnéique sont de la véritable roupie de sansonnet en solde…
Non mais sérieux quoi !
On fait au bord de la piscine des gorges chaudes (tandis que d’autres font des
gorges profondes dans les vestiaires de la dite piscine) sur les huit, neuf
minutes que ces messieurs passent sans respirer, le regard dans le vague, le
nez contre le carrelage et le bidou secoué d’horribles contractions du
diaphragme.
Enfantillages ! B. A.
BA grotesque de pataugeoire ! Apnée statiques de baignoires portatives !
Dans mon cas personnel qui me concerne personnellement et qui m’est privé rien
qu’à moi exclusivement, je me tapais une apnée depuis six mois… Et il se trouve
que je commence à relâcher des bulles de plaisir et de soulagement depuis
quelques minutes, signe d’une fin d’apnée très proche…
Si vous comptez que je me
vautre dans le sensationnel et l’inédit en vous révélant le pourquoi du
comment, vous vous aventurez sur le chemin hasardeux du doigt dans la mirette
jusqu’au coude. Bien que professionnelles, ces choses-là sont privées, et à
tout le moins n’irais-je pas bavasser inutilement dessus. D’autant que le
principal intéressé, et je l’espère le principal soulagé dans l’histoire, est
une autre personne.
N’empêche que Pierrot,
Morganou, Arthurounet et autre Guigui… P’tites bites !
Qu’importe la grosseur ou la
longueur de votre appendice antérieur impair médian, messieurs, l’important est
généralement qu’il puisse, amené à bonne température à l’instar des bigoudis
chauffants, colmater l’intégralité du frouzi-frouzi ou toucher les bords du
couloir à morteaux fécales. Ce qui compte c’est d’avoir des couilles… N’importe
où, de préférence dans le slip ou au cul, à la condition que ce soit toujours
les siennes…
François Baroin, pour sa
part, doit les trimballer dans une brouette spéciale, tant il ne manque pas d’air
dans ses déclarations. L’ex-sosie d’Harry Potter vieux a osé balancer que la France
de Pépère était le dernier pays marxiste du monde… L’Hexagone, pays communiste ?
Non mais sans rire ! Fidel Castro, toujours aussi cigare bien dur dans le
barbu, et Cuba ; Mao Tsé Toung et l’Empire du matin calme ; Elstine l’éponge
à vodka dans les steppes de l’Oural et quelques autres potentats décatis issus
du bloc soviétique ont mis tout de même plus de panache à faire naufrager leurs
pays respectifs…
C’est comme si Baroin
comparait le naufrage du Titanic avec une crevaison ramollo d’un Sevylor pneumatique…
Des couilles au cul, elle
aussi doit en avoir une sacrée paire. Elle, malgré tout le respect que je dois
aux vieilles dames hors d’âge, aux antiquités pré-colombiennes et aux
permanentes surlaquées, c’est Bernadette Chirac. Bernie la teigne, non contente
de laisser son mari mariner dans les fuites de sa sonde anale et de le gaver de
purée de carottes saveur maroilles, ne loupe plus une occasion de le faire
enrager. Elle s’est déclarée prête à travailler pour Nicolas Sarkozy si
celui-ci devait se présenter à nouveau à la magistrature suprême… J’veux pas
dire, mais question rameutage de clients, on a connu plus bandant Boulevard de
Clichy que la momie moisie…
On aura beau le répéter
jusqu’à s’en assécher la langue, mais non, les terroristes n’ont absolument
aucunes couilles au cul de se faire sauter en public. Bon, peut-être les leurs
dans la bouche quand on les ramasse à la pelle et à l’éponge, mais je me
défends de leur trouver la moindre once de courage et de gloriole… Les
terroristes sont des fiottes ! La preuve ? Ils se mettent à trois
désormais pour perpétrer leur sanglante et débectante besogne.
Quarante et une victimes sur
l’aéroport d’Istanbul… Quarante et une personnes qui pensaient s’envoyer en l’air,
mais pas qu’il s’agirait de leur retour définitif à la maison du Père…
C’est quand même curieux,
mais autant les réseaux sociaux ont fleuri de drapeaux belge ou français lors
des attentats, autant on a peine a crouler sous les avalanches de « je
suis Turquie », « Ich bin Istanbul », et autre drapeaux turcs
endeuillés… La compassion a ses saisons, visiblement…
Pas de saisons pour les
siphonnés de la maltraitance animale. Les viragos du collectif L214 nous
imposent une nouvelle vidéo censée devenir virale de maltraitance dans des
abattoirs… Je rigolerai doucement sous cape si je savais combien de ces
révoltés à la petite semaine ont bequeté un Big Mac avant d’aller s’indigner à
la télé de la souffrance du bœuf qu’on estourbit… Et pendant ce temps, des
enfants et des femmes meurent, victimes de maltraitances sans commune mesure…
Combien de vidéastes amateurs pour s’en indigner sur Fesse-de-Bouc ?
On sent bien que les congés
s’approchent à grands pas en tongs, le Gouvernement prend un coup de chauffe et
de mou durant les entretiens avec les syndicats à propos de la Loi Travail.
Hier encore, le Chorizo impétueux vomissait toute hypothèse de négociation et
voulant faire croire à une simple explication de texte de laquelle l’Astérix
syndical à moustaches dégueulasses serait sorti transfiguré. Aujourd’hui, on
annonce que les branquignols gouvernementaux lâchent du lest… Et demain, on
retire le projet carrément ? Ah, les Ricard honteusement tassés, le rosé
et la chaleur ont du bon, quand même…
Pas partout, puisqu’on a pu
dénicher un cintré de la voute crânienne qui a épousé en mai dernier à Las
Vegas son smartphone… Sous prétexte de dénoncer notre dépendance aux téléphones
portables et autres objets électroniques, s’est défendu l’heureux mariés sur
twitter, instagram et par snapchat après une session What’s app…
Dépendance totale au petit
écran en Islande, où le match Islande-Angleterre de Le Rot de Foutebale a réuni
une audience de 99,8 % de téléspectateurs ! Même les Melodifestivalen institutionnels
suédois en pâlissent, et je ne parle même pas des miteux scores d’audience des
chaînes françaises… La question posée, c’est : mais qui sont les 0,2 % qui
n’étaient pas devant le poste ? A mon avis, les joueurs de l’équipe
islandaise…
Et le 29 juin 1967, près de
Slidell en Louisiane, après une dernière représentation sordide dans le cabaret
Gus Stevens Supper Club à Biloxi et rejoignant La Nouvelle-Orléans (où elle
doit effectuer un show télévisé) à bord de la Buick Electra conduite par Ronnie
Harrison, son chauffeur, l’ex-sex-symbol Jayne Mansfield trouve la mort lorsque
la voiture s'encastre dans un camion à 2 h 25 du matin. Loin des rôles de
blonde idiote, la dame était cultivée, parlait cinq langues et pratiquait le
piano et le violon. Ne pas se fier aux apparences, surtout en présence d’appas
qui vous feraient mettre en apnée de suffocation…
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