« Quand un bateau passe
« Quand un train siffle
« Quand un avion s'envole dans le ciel
« Moi j'imagine tous ces départs
« Tous ces gens qui doivent partir
« Qui se séparent
« Qui se déchirent… »
Tout est question de contexte… Et la chanson qui peut aujourd’hui résonner à vos oreilles comme un hymne à la joie de vivre peut se transformer demain ou un autre jour en un funeste requiem, simplement parce que les choses auront évolué sous un jour dramatique…
Nul doute que Claude François, le plus électrisant des chanteurs français, n’était pas en mesure de se douter que ces quelques lignes chantées mollement sur une ligne mélodique qui ne vous empêchera pas de penser à la sieste prendraient aujourd’hui une connotation funèbre…
Dieu merci, nous n’avons pas eu à subir de naufrage de navire, parce que supporter à nouveau Céline Dion, l’orignal chantant, qui beugle sa chanson sur le gros bateau qui coule, c’était trop à supporter pour ce vendredi torride…
« Quand un train siffle… » Et quand il en rencontre brutalement un autre, ça donne un joli imbroglio de tôles froissées d’où l’on peut reconnaître un TER et un TGV qui ont tenté entre Pau et Dax un accouplement contre nature… Qui par miracle s’est soldé par un bilan humain modéré… Décidément, la SNCF a tout faux en ce moment… Des quais trop étroits, des escalators trop larges, des trains qui ne respectent pas la priorité à droite…
« Quand un avion s'envole dans le ciel… » Et que des illuminés s’amusent à jouer au ball-trap géant en le dégommant… Eh bien ça donne près de 300 vies humaines gaspillées sur l’autel de je ne sais quelle folie… On aura beau gesticuler, écrire, discuter sur les responsabilités, les implications supposées ou avérées, le désastreux résultat est là… Avec à la clé un état de choc national, les Pays-Bas payant un bien trop lourd tribut…
Il ne manque plus qu’un remake de l’accident de car de Beaune de 1982 en ce week-end de départs en vacances, et la carte des catastrophes sera complète !
« Tous ces gens qui se déchirent… » Sans vouloir verser dans le graveleux sensationnel en regardant au microscope à balayage électronique les faits de l’espèce, il semble que pas mal de petits garçons aient été à la limite de se faire déchirer le couloir à prouts par un animateur de la Mairie de Paris… Décidément, la religion est en perte de vitesse… Si maintenant, les prêtres n’ont plus le monopole du tripotage de gamins, que leur restera-t-il ?
Toujours dans le domaine du coulissage d’andouillette, voici l’épilogue peu glorieux de l’affaire du prétendu viol en pleine rue à Perpignan… La supposée victime a avoué avoir inventé son viol… A quoi en sont réduites les jeunes filles d’aujourd’hui pour espérer s’attirer les sunlights de l’actualité ? Alors qu’elles pourraient se ridiculiser dans une émission de téléréalité ou de télé-crochet, voire participer à la nouvelle saison de Secret Story…
Du nouveau dans le feuilleton hollandouillesque de la fusion des régions… Le principe de la nouvelle carte à treize régions a été adoptée par l’Assemblée, ce qui fait sortir de ses gonds la Maire de Lille. Titine Aubry a en effet balancé une volée de bois vert à Flamby en dénonçant une aberration économique et sociale… Dites, vous croyez qu’elle est toujours socialiste, le pot à tabac lillois ?
A coup sur, elle a dû prendre un coup de chaleur, comme ce pauvre bambin d’un an, mort de chaleur après avoir été oublié par sa mère une heure dans la voiture dans le Vaucluse, où les températures ont grimpé à 34 degrés aujourd’hui… Il y avait beau temps qu’on avait pas oublié un moutard dans une bagnole, tiens… Je mettrai ma main à couper que la mère indigne n’a pas oublié son smartphone dans la voiture…
Heureusement, les habitudes reprennent le dessus, et reviendraient presque tel un cheval au galop dans la cité phocéenne, où l’on a enregistré un troisième règlement de compte à la Kalachnikov… Avouez que ça commençait à vous manquer, les petites frappes qu’on dégomme à coups de fusil à pompe, ces dealers de quartier qui font les frais d’un ball-trap grandeur réelle… Il est hélas des habitudes qu’on n’est pas fiers de reprendre…
Essayons de nous changer les idées en se souvenant que le 18 Juillet 1951, le Festival d’Avignon donnait à voir dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes « Le Cid » de Corneille, et offrait le triomphe à Gérard Philippe, dans le rôle titre. Son interprétation était tellement impressionnante que "personne n’osera plus monter « Le Cid » avant trente ans". Sauf s’il est animateur à la Mairie de Paris…
« Quand un train siffle
« Quand un avion s'envole dans le ciel
« Moi j'imagine tous ces départs
« Tous ces gens qui doivent partir
« Qui se séparent
« Qui se déchirent… »
Tout est question de contexte… Et la chanson qui peut aujourd’hui résonner à vos oreilles comme un hymne à la joie de vivre peut se transformer demain ou un autre jour en un funeste requiem, simplement parce que les choses auront évolué sous un jour dramatique…
Nul doute que Claude François, le plus électrisant des chanteurs français, n’était pas en mesure de se douter que ces quelques lignes chantées mollement sur une ligne mélodique qui ne vous empêchera pas de penser à la sieste prendraient aujourd’hui une connotation funèbre…
Dieu merci, nous n’avons pas eu à subir de naufrage de navire, parce que supporter à nouveau Céline Dion, l’orignal chantant, qui beugle sa chanson sur le gros bateau qui coule, c’était trop à supporter pour ce vendredi torride…
« Quand un train siffle… » Et quand il en rencontre brutalement un autre, ça donne un joli imbroglio de tôles froissées d’où l’on peut reconnaître un TER et un TGV qui ont tenté entre Pau et Dax un accouplement contre nature… Qui par miracle s’est soldé par un bilan humain modéré… Décidément, la SNCF a tout faux en ce moment… Des quais trop étroits, des escalators trop larges, des trains qui ne respectent pas la priorité à droite…
« Quand un avion s'envole dans le ciel… » Et que des illuminés s’amusent à jouer au ball-trap géant en le dégommant… Eh bien ça donne près de 300 vies humaines gaspillées sur l’autel de je ne sais quelle folie… On aura beau gesticuler, écrire, discuter sur les responsabilités, les implications supposées ou avérées, le désastreux résultat est là… Avec à la clé un état de choc national, les Pays-Bas payant un bien trop lourd tribut…
Il ne manque plus qu’un remake de l’accident de car de Beaune de 1982 en ce week-end de départs en vacances, et la carte des catastrophes sera complète !
« Tous ces gens qui se déchirent… » Sans vouloir verser dans le graveleux sensationnel en regardant au microscope à balayage électronique les faits de l’espèce, il semble que pas mal de petits garçons aient été à la limite de se faire déchirer le couloir à prouts par un animateur de la Mairie de Paris… Décidément, la religion est en perte de vitesse… Si maintenant, les prêtres n’ont plus le monopole du tripotage de gamins, que leur restera-t-il ?
Toujours dans le domaine du coulissage d’andouillette, voici l’épilogue peu glorieux de l’affaire du prétendu viol en pleine rue à Perpignan… La supposée victime a avoué avoir inventé son viol… A quoi en sont réduites les jeunes filles d’aujourd’hui pour espérer s’attirer les sunlights de l’actualité ? Alors qu’elles pourraient se ridiculiser dans une émission de téléréalité ou de télé-crochet, voire participer à la nouvelle saison de Secret Story…
Du nouveau dans le feuilleton hollandouillesque de la fusion des régions… Le principe de la nouvelle carte à treize régions a été adoptée par l’Assemblée, ce qui fait sortir de ses gonds la Maire de Lille. Titine Aubry a en effet balancé une volée de bois vert à Flamby en dénonçant une aberration économique et sociale… Dites, vous croyez qu’elle est toujours socialiste, le pot à tabac lillois ?
A coup sur, elle a dû prendre un coup de chaleur, comme ce pauvre bambin d’un an, mort de chaleur après avoir été oublié par sa mère une heure dans la voiture dans le Vaucluse, où les températures ont grimpé à 34 degrés aujourd’hui… Il y avait beau temps qu’on avait pas oublié un moutard dans une bagnole, tiens… Je mettrai ma main à couper que la mère indigne n’a pas oublié son smartphone dans la voiture…
Heureusement, les habitudes reprennent le dessus, et reviendraient presque tel un cheval au galop dans la cité phocéenne, où l’on a enregistré un troisième règlement de compte à la Kalachnikov… Avouez que ça commençait à vous manquer, les petites frappes qu’on dégomme à coups de fusil à pompe, ces dealers de quartier qui font les frais d’un ball-trap grandeur réelle… Il est hélas des habitudes qu’on n’est pas fiers de reprendre…
Essayons de nous changer les idées en se souvenant que le 18 Juillet 1951, le Festival d’Avignon donnait à voir dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes « Le Cid » de Corneille, et offrait le triomphe à Gérard Philippe, dans le rôle titre. Son interprétation était tellement impressionnante que "personne n’osera plus monter « Le Cid » avant trente ans". Sauf s’il est animateur à la Mairie de Paris…
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