« Ton étoile sort de l’ombre
« Nous relevons les décombres
« Et je fais partie du nombre
« La jeunesse ne t’oublie pas… »
Eh bien pour une fois, je ne vous ferai pas le coup du « cétémieuavan » ! Avant que n’affluent sur mon téléphone mobile les messages angoissés du style « T’es malade ? », « T’as encore fumé de l’afghane avec un Vichy-fraise ? », « T’as trop picolé hier soir », je tiens à vous rassurer : je ne suis pas malade, je n’ai pas fumé d’herbe qui fait marrer, je n’ai pas bu de mélanges pétillants ou alcoolisés.
D’habitude on compare l’après et l’avant en s’ébaudissant sur les progrès réalisés, sur l’invisibilité des coutures, sur la perte de rotondités corporelles, sur les bénéfices d’un revampage de l’orchestration tartignolle.
Tout en regrettant évidemment les neiges d’antan, les roudoudous qui nous niquaient les lèvres, la politesse surannée parce que ça c’était un homme madame qu’avait du savoir vivre et qui ne s’essuyait pas dans les rideaux, non, il se servait des draps…
Eh bien aujourd’hui, je ne vais pas regretter la version originale au détriment d’une version plus moderne, non ! Si les paroles de la chansonnette introductive ne vous parlent pas, c’est franchement normal, parce que 45-tours 4 titres d’où elle est extraite n’a pas à proprement parler affolé les hit-parades francophones de 1969…
« La jeunesse ne t’oublie pas » fut interprété par le duo rococo Line & Willy, purs produits du Palmarès des Chansons de l’increvable Guy Lux, et monégasques eurovisuels en 1968 avec une antienne rococo, même à l’époque. La chanson fut reprise à la fin des années 90 avec un certain succès par Nathalie Cardone…
Eh oui, le fameux « Hasta siempre » vantant les louanges du Che, c’est « La jeunesse ne t’oublie pas » revampée ! Voilà que je me mets à aimer les chansons récentes, moi… Va falloir que je consulte !
La jeunesse ne t’oublie pas, Fidel… Enfin, la jeunesse cubaine, qui défile sans interruption pour saluer une dernière fois ta mémoire, avant le défilé plus officiel et protocolaire de faux culs patentés, et pas tentants si l’on prend l’exemple de La Tché, plus connue sous le doux surnom de Notre Drame de la Bravitude…
La jeunesse par contre, l’a bien oubliée, cette grande promotrice de la chanson sous toutes ses formes, née le 30 novembre 1920 et morte dans la plus parfaite indifférence de la profession qui lui devait tant ; Denise Glaser. Célèbre pour ses longs silences face aux vedettes confirmées ou en devenir qu’elle invitait sur le plateau de la mythique émission « Discorama » entre 1961 et 1975, elle savait pousser à la confidence dans un style sobre et dépouillé. Eh oui, malgré tout, c’était mieux avant, non ?
« Nous relevons les décombres
« Et je fais partie du nombre
« La jeunesse ne t’oublie pas… »
Eh bien pour une fois, je ne vous ferai pas le coup du « cétémieuavan » ! Avant que n’affluent sur mon téléphone mobile les messages angoissés du style « T’es malade ? », « T’as encore fumé de l’afghane avec un Vichy-fraise ? », « T’as trop picolé hier soir », je tiens à vous rassurer : je ne suis pas malade, je n’ai pas fumé d’herbe qui fait marrer, je n’ai pas bu de mélanges pétillants ou alcoolisés.
D’habitude on compare l’après et l’avant en s’ébaudissant sur les progrès réalisés, sur l’invisibilité des coutures, sur la perte de rotondités corporelles, sur les bénéfices d’un revampage de l’orchestration tartignolle.
Tout en regrettant évidemment les neiges d’antan, les roudoudous qui nous niquaient les lèvres, la politesse surannée parce que ça c’était un homme madame qu’avait du savoir vivre et qui ne s’essuyait pas dans les rideaux, non, il se servait des draps…
Eh bien aujourd’hui, je ne vais pas regretter la version originale au détriment d’une version plus moderne, non ! Si les paroles de la chansonnette introductive ne vous parlent pas, c’est franchement normal, parce que 45-tours 4 titres d’où elle est extraite n’a pas à proprement parler affolé les hit-parades francophones de 1969…
« La jeunesse ne t’oublie pas » fut interprété par le duo rococo Line & Willy, purs produits du Palmarès des Chansons de l’increvable Guy Lux, et monégasques eurovisuels en 1968 avec une antienne rococo, même à l’époque. La chanson fut reprise à la fin des années 90 avec un certain succès par Nathalie Cardone…
Eh oui, le fameux « Hasta siempre » vantant les louanges du Che, c’est « La jeunesse ne t’oublie pas » revampée ! Voilà que je me mets à aimer les chansons récentes, moi… Va falloir que je consulte !
La jeunesse ne t’oublie pas, Fidel… Enfin, la jeunesse cubaine, qui défile sans interruption pour saluer une dernière fois ta mémoire, avant le défilé plus officiel et protocolaire de faux culs patentés, et pas tentants si l’on prend l’exemple de La Tché, plus connue sous le doux surnom de Notre Drame de la Bravitude…
La jeunesse par contre, l’a bien oubliée, cette grande promotrice de la chanson sous toutes ses formes, née le 30 novembre 1920 et morte dans la plus parfaite indifférence de la profession qui lui devait tant ; Denise Glaser. Célèbre pour ses longs silences face aux vedettes confirmées ou en devenir qu’elle invitait sur le plateau de la mythique émission « Discorama » entre 1961 et 1975, elle savait pousser à la confidence dans un style sobre et dépouillé. Eh oui, malgré tout, c’était mieux avant, non ?
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