« On est heureux comme
des poissons dans l'eau
« Sur le plancher des
vaches
« On peut guincher dans
tous les caboulots
« Sur le plancher des
vaches »
Ah ! Comme Alibert,
chanteur avé l’assent de l’entre-deux-guerres, avait raison de préférer le bon
vieux plancher des vaches ! Sans vouloir verser dans l’inconvenant ou se
vautrer dans le sensationnel éventé genre torche-cul du lundi, je le confesse
humblement : j’ai horreur de m’envoyer en l’air…
Et ce n’est pas le tout
chaud grand plongeon d’un Airbus d’Egyptian Airlines qui va me faire changer d’avis,
pas plus que je ne vais me précipiter pour me recycler en steward…
Cela faisait beau temps qu’on
n’avait pas eu de gros navion qui partait faire trempette dans les eaux tièdes
d’un océan quelconque… Cela faisait beau temps qu’on n’avait pas eu la
sensation de se réveiller le matin en pressentant qu’un malheur s’était produit
dans le monde… Cela faisait beau temps qu’on trouvait réconfortant de ne pas
avoir les stressantes musiquettes des éditions spéciales sur les ondes radio…
Il nous en fallait une bien
corsée sur le coin de l’œil pour pouvoir enfin dégager des gros titres des
futilités de l’actualité les conneries à répétition de notre ramassis
gouvernemental d’incapables patentés (et pas tentants, surtout quand on imagine
Emmanuelle Cosse en string panthère ou Jean-Vincent Placé habillé tout nu).
Cela fait stand de tir à la
Foire du Trône, jeu de massacre à la kermesse de l’école du dernier qui a eu
les oreillons le mois dernier et qu’on ne sait pas ce qu’on en fera l’année
prochaine vu qu’il est encore trente-troisième sur trente-trois, ou canardage d’ambulance,
certes.
Mais même avec la plus
inexpugnable des énergies, la plus intarissable des miséricordes et la plus
infinie mansuétude frisant l’inconséquence intégrale, il faut reconnaître que
le Lonely’s Pépère Socialos Branquignol’s Band est franchement à côté de la
plaque.
Plus nuls qu’eux, je ne vois
guère que les connasses en short dès lorsqu’elles évoluent hors de nos
frontières, ou alors les candidats de Money Drop…
Dites, vous avez envie de
crier au génie concentré façon lolo de chez Nestlé en voyant Marifolle
Touteraide et son regard de Berliet plein phares débouler à la télé ?
Avant même qu’elle ne dégoupille son robinet à conneries, vous savez
pertinemment qu’elle va en pondre une belle, un peu comme lorsqu’on voit se
téléviser la chemise blanche largement déboutonnée de BHL, on sait d’avance qu’il
va faire chier l’auditoire pendant une plombe.
Depuis Sylvie Joly et Zouc,
je n’ai guère rencontré de comique féminine capable de balancer autant d’énormités
avec la bête assurance de l’andouille intégrale. Voila t’y pas que Marifolle
veut nous imposer le mois de novembre comme mois sans tabac… Trente jours sans
pipe… C’est les brésiliennes du Bois de Boulogne qui vont faire la gueule…
Dans le cas du Kaiser
Chorizo, notre Pétillant qui a visiblement eu des bulles qui lui sont remonté
dans la couscoussière à idées, c’est plus le côté pétage de fusibles qui vous
saute aux yeux… Il aurait des envies de devenir le Caudillo de l’Hexagone que
ça ne m’étonnerait qu’à moitié, le matador de Matignon. Il rembarre sèchement l’amateur
de vieux pots, il nous renouvelle à l’envi l’état d’urgence, il sort son 49-3
dès qu’il sent le vent parlementaire tourner au grain… Pour un mec apparemment
apparenté à un parti qui dénonçait les dérives pseudo-autoritaires du Général,
ça la fout mal…
Certes, il est aisé de
vitupérer sur les nullos en place. Il l’est tout autant de se payer la poire
des inconséquents de l’opposition… Avec évidemment la place de choix de l’Ex,
le représentant en talonnettes pour chevilles enflées et chanteuses aphones.
On a récemment prétendu que
le Nain de jardin élyséen peinait à rassembler son électorat, qu’il était à la
ramasse pour fédérer les français derrière son discours… Billevesées de
journaleux en mal de scoop et fientes de pisseurs de copie en recherche de
piges ! Nico ratisse large, tellement large qu’on se demande s’il ne
faudrait pas annexer le Luxembourg, Monaco et une partie de la Suisse pour lui
offrir l’audience qu’il mérite…
En une phrase, il a réussi à
se foutre soixante-quatre millions de français à dos ! faut-il être
inconscient pour lâcher qu’en se baladant en province, il se sentait parisien…
Sarko c’est définitivement le Zlatan des politocards… Un sens de la réflexion à
peine plus élevé qu’une cagette de moules mortes, un ego surdimensionné, et un
melon imitant une pastèque hydrocéphale…
A la différence que Zlatan a
déclaré qu’il était arrivé au PSG comme un Dieu et qu’il se barrait les
fouilles pleines d’oseille comme une légende, et que Sarko est arrivé à l’Elysée
comme un demi-Dieu (à cause de la taille) et qu’il s’en est barré comme une
merde…
Une merde… Non, même pas,
une sous-merde… Un résidu de raclure de bidet… Un ersatz de rejet de greffe de
sédimentation de capote usagée… Et encore ! Comment peut-on être à ce
point sans couilles pour incendier une voiture de Police avec les poulets à l’intérieur ?
D’accord, le poulet grillé, c’est bon avec une salade de saison et une bonne
sauce pimentée… Mais comment être aussi lâche et ensuite venir leur lécher la
grappe quand ils se font dézinguer pour protéger les citoyens lors d’attentats ?
C’est plus qu’émétique, c’est du déjà vomi tellement c’est dégueu…
Dans le même ton dégueulasse,
encore une petite de notre Marifolle Touteraide qui crache sa haine du tabac en
vantant le paquet neutre de clopes, qui va débarquer sous peu chez les
buralistes. C’est moche et c’est fait pour a-t-elle déclaré, pour casser le côté
attractif de la sucette à cancer. Ouais, ben elle est moche à en faire fendiller
les miroirs, et ce n’est pas pour autant qu’on a enregistré une recrudescence
de conversion à l’homosexualité masculine…
Pour finir sur une note un
peu moins pessimiste, quoiqu’en parlant de la téléphoniste shampouineuse on
soit assez désabusé sur le devenir de l’intelligence française, des nouvelles
de Nabilla et de sa paire de nibards en plastoc. Il a été requis contre elle
trois ans d’emprisonnement dont huit mois ferme pour violences aggravées sur
son manche à couilles. Non mais allo quoi ! T’es une starlette inculte et
méprisante, et t’as même pas le droit de te faire introduire en prison pendant
plus d’un an ?
Et le 19 mai 1951, Alain
Bernardin crée le Crazy Horse, anciennement appelé Crazy Horse Saloon, célèbre cabaret
parisien du quartier des Champs-Élysées. Le nom « Crazy Horse » est celui,
traduit en anglais et ainsi passé à la postérité, du chef sioux Thašunka Witko,
la décoration du cabaret à son ouverture étant censé être de style western, avec
sa salle pastichant un saloon des années 1870. Rien de tel pour s’envoyer en l’air
tout en gardant les pieds bien sur terre…
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