mardi 31 mai 2016

Brèves du 31 Mai 2016

« Feel like I can walk on water
« On water, On water
« And now i’m gonna walk on
« Water, On water, On water
« Feels like I can walk on water »

Ne serait-ce ma légendaire courtoisie, ma proverbiale affabilité, mon incontestable politesse ou ma notoire civilité, je serais assez partant de proposer un voyage express chez les athéniens avec bagage à main de vaseline ultrafine à toutes celles et ceux qui oseront encore me proposer une démonstration par l’exemple de ce que l’Eurovision est une vieillerie poussiéreuse d’où ne surnagent que des fadasseries ampoulées, des attentats auditifs rococos et quelques bouses bien senties.

Non contente de suivre les modes musicales à distance, l’Eurovision désormais les devance, et pourrait même se découvrir des dons de visionnaire…

Mais si ! Qui parmi vous n’a jamais eu l’envie soudaine et subite de connaître l’avenir, d’apprendre le dénouement d’une affaire ardue qui vous trotte dans l’esprit tel un petit vélo sur un vélodrome miniature, d’anticiper une décision qui vous tient à cœur, ou plus pragmatiquement de connaître qui a tiré sur JR ?

Même si l’on s’en défend à grands cris, on jette toujours un œil sur les horoscopes des journaux, on accroche discrétos une icône consacrée de Sainte Didier Derlich ou de Madame Soleil à la tête du lit et on tente d’analyser les menus singes de la vie quotidienne… Certains sont certainement allés jusqu’à se faire tirer les cartes, à défaut de se faire tirer eux-mêmes…

Eh bien, pour pas un rond, si ce n’est quelques meurtrissures auditives dues au déluge de décibels vocaux et autres menues indispositions visuelles causées par les décolletés si plongeant qu’on apercevait nettement le nombril, le Concours Eurovision 2016 vous offrait un point météo sur une bonne partie de la France, grâce à la chanson maltaise, « Walk on water »…

Il ne vous aura pas échappé que les précipitations se précipitent sur l’hexagone, et que la première péronnelle météorologique qui s’aventurera cet été à nous causer de sécheresse et de nappes phréatiques en côte d’alerte risque fort de se prendre une cartouche… Et je n’ose imaginer le sort réservé à Nabila lorsqu’elle lancera son fameux « Non mais à l’eau, quoi » devant les étendues inondées…

Dérèglement climatique ? On pourrait à tort le croire de prime abord… Et puis… Et puis on se souvient de l’irrésistible pouvoir de Pépère, le seul don qu’il possède mis à part celui de faire lamentablement foirer tout ce qu’il entreprend : celui de faire immanquablement flotter dès qu’il pointe le bout de sa cravate de traviole à l’extérieur.

Flotte Mec devrait donc arrêter ses one man show à l’extérieur, parce que ça commence à bien faire, les toitures endommagées par les grêlons, les rue inondées, les enfants foudroyés (depuis le temps qu’on leur disait de se tenir droit, au moins la foudre, ça fout droit…), les ambiances automnales au moment où la nature s’éveille et se pare de ses atours aguicheurs pour annoncer en grande pompe l’été…

Quand on pense que le Loiret est en alerte rouge aux précipitations… J’ai personnellement vécu une alerte roue à la pluie, en 2002… Je ne peux que leur souhaiter bonne chance…

Bonne chance aussi aux instances dirigeantes qui, contre vents et marées, tentent de maintenir un cap de plus en plus délicat ; celui de la Loi Travail, véritable épine dans le peton élyséen… Flamby nous l’a encore une fois répété, le projet de loi ne sera pas retiré, les principes de l’article 2 du projet de loi seront maintenus… C’est vraiment le gamin buté qui comprend parfaitement que tout est loupé, mais qui s’entête quand même parce que faut bien faire genre et donner le change…

A moins que le Chorizo Coléreux ne nous ponde un tour de passe-passe pour calmer les syndicats, on devrait bientôt revoir les pompes pompées, les grévistes gréver et les français râler…

Tous les français ? Oh non, rassurez-vous, les incapables du Pépère Lonely Socialo Branquignol’s Band ne sont pas idiots au point de se mettre toute la population à dos, non ! Ils savent qui brosser dans le sens du poil et la Grande Jajat se prépare des nuits douloureuses et des journées à s’enflammer les genoux sur la moquette tant la mesure de revalorisation des salaires des profs, à moins d’un an de la présidentielle, ressemble à un racolage grossier avec pipe gratos et nettoyage du fourbi après sulfatage de la purée…

Ce n’est pas partout le cas, à l’instar de Pierre Gattaz qui semble-t-il possède un art consommé de la sodomie au gravier puisqu’il a traité la CGT d’organisation terroriste… Les pauvres choux ! Des petites tafioles qui n’hésitent pas à payer de leur personne pour bloquer un pays sous le prétexte de revendications oukazières et quasi-soviétiques, en s’intoxiquant à faire griller des saucisses sur les piquets de grève… Ah, ils l’ont pris mal, puisqu’ils ont porté plainte… Ah vraiment, le débat politique s’envole vers des sommets…

Toujours plus haut vers l’exemplarité, avec Manu Macaron, le cabosseur de couscoussières hors-d’âge, qui se voit imposer par le fisc d’être soumis à l’ISF… Diable, son épouse est donc un véritable fossile vivant, d’une inestimable valeur ? A la mirer, on aurait plutôt dit un vague clone d’Amanda Lear revu par chez les gars de Chez Michou…

Puisqu’on parle d’Amanda Lear et de Michou, la vielle tapette bleutée qui selon ses dernières déclarations ferait bien son quatre-heures d’Olivier Giroud (à condition que la connasse en short soit gérontophile ou amateur d’antiquités grecques), un mot de deux morts célèbres et récents.

Le premier, Jean-Claude Decaux, qui a réussi le tour de force d’inonder nos centre-villes de mobilier urbain généralement hideux. Le second, André Rousselet, créateur de Canal +, qu’on enterrera en même temps que sa chaîne. Trente trois ans, voila un bel âge christique pour décéder… Sauf qu’actuellement, ce sont les téléspectateurs qui sont crucifiés par les programmes…

Et le 31 mai 1859 entre en service le fameux Big Ben, surnom de la grande cloche de 13,5 tonnes se trouvant au sommet de l'Elizabeth Tower, la tour horloge du Palais de Westminster, qui est le siège du parlement britannique (Houses of Parliament), à Londres. Pour la petite histoire, la cloche fut fêlée deux mois après son installation… Hollande lui, c’était bien avant… 

lundi 30 mai 2016

Brèves du 30 Mai 2016

« Aujourd’hui peut-être…
« Ou alors demain… »

A mesure que les jours s’allongent et que les températures ambiantes devraient normalement s’élever vers des sommets mercuriens autorisant le port de bermudas, de tongs et de chemisettes sans risquer de se voir incontinent transformé en esquimau géant, nappage chocolat exclu ; on se sentirait presqu’exclusivement motivés par une procrastination de première classe…

Aujourd’hui peut-être, ou alors demain… J’ai des cigales en batterie dans les oreilles, j’ai l’accent chantant de Fernand Sardou qui mettait si bien en musique cet hymne à la paresse organisée, si ce n’est à une indécision généralisée et indolente.

Ah ! Incertitude ! Ah ! Irrésolution qu’il importe de tous les jours combattre pour pouvoir mener plus ou moins bien notre train-train routinier…

Thé ou café ? Douche ou déluge de déodorant ? Métro ou vélib ? Louboutin ou ballerines ? Sandwich au jambon polyphosphaté et beurre rance ou kébab qui vous accélèrera le transit au point de repeindre les tinettes d’un artistique moucheté en camaïeu de marron ? Abêtissement neuronal via une connerie télévisée prédigérée ou lobotomisation en perfusion grâce à l’intégrale de Marc Lévy dessinée par Nabila et sonorisée par Christophe Maé ? Sodomie sobre mais performante au gravier gros grain de votre partenaire pusillanimement consentant ou démembrage consciencieux de votre poupée gonflable amoureusement surnommée Titine en hommage à Christine Fabréga, parce que la présentatrice fondatrice des Chiffres et des Lettres avec son casque de cheveux blonds surlaqués, bonjour la bandaison sauvage !

Tout n’est que question, que choix, que dilemme, qu’alternative, et les futilités de l’actualité du weekend ne dérogent pas à cette règle immuable, au moins aussi immuable que le commentaire de Léon Zitrone aux mariages princiers en Eurovision…

Vous les mères aimantes, dévouées, attentionnées, vous étiez torturées hier encore entre le choix de vomir de dépit face au collier de nouilles multicolores que votre Brandon vous a offert pour la fête des mères, de flanquer le feu à l’hideux dessin de votre Cassandra qui dessine aussi mal que Steevy suce bien, ou revendre illico sur Ebay le traumatisant macramé en poil de cul de lama que les jumeaux ont acheté à prix d’or à un pseudo-griot africain parce que ça éloigne le mauvais œil…

Vous, les militants socialistes (oui, oui, ça doit bien exister encore quelque part en France, dans des recoins perdus de Lozère, ou des villages isolés de Bretagne où l’électricité n’est pas encore arrivée), vous voila écartelés entre un devoir de fidélité au chef de l’Etat pareil au chien qui suit son maître jusqu’au casse-pipe et l’envie d’essayer de nouveaux habits pour nipper l’illusion de gauche tout spécialement taillés par Manu Macaron, qui ne doit pas tailler que ça dans l’intimité glauque des saunas masculins…

Vous, les déçus du Hollandisme (c'est-à-dire quatre-vingt-dix-huit pour cent des français)Vous hésitez cornéliennement entre renvoyer le porcinet sudoripare à cravate de traviole et croissant frétillant dans ses pénates corréziennes et l’envoyer illico se faire lanlaire la cornemuse à pistons par une flopée de matriochkas ukrainiennes de cent trois ans de moyenne…

Vous, les frondeurs du PS, vous vous tâtez (petits cochonnous) pour déterminer qui serait le moins mauvais des losers de la prochaine présidentielle, et qui arriverait à faire le plus de tort au culbuto à casque de scooter intégré de l’Elysée…

Vous, l’ex-Ministre redressé-productif qui ne cesse de peser le pour et le contre d’une candidature pour 2017, annonçant une prise de position cet été, car vous souhaitez être bien certain que tout le monde est raide dingue de l’Habitat Montebourg (en trois mots, ça peut devenir degueulasse…).

Vous, le citoyen lambda qui peine à faire bouillir l’eau pour les pâtes tout le mois, et qui aimerait pouvoir mettre une noisette de margarine dans les coquillettes, vous hésitez encore entre le suicide en ouvrant le gaz de la cuisinière électrique ou la défenestration depuis votre rez-de-chaussée ) l’annonce de la semaine sociale chargée… Encore une semaine de galère à courir après un jerrican d’essence, à vous compresser dans un métro hyperbondé à cause de la grève de la RATP, à jongler avec les tracasseries des Services Publics que vous brûlez de rebaptiser Sévices Publics…

Vous, les dirigeants syndicalistes qui ont dû être terriblement brimés gamins pour prendre un tel panard adulte à faire chier le monde de cette manière, vous ne savez pas si vous continuerez à prendre les français pour des cons parce que les viennoiseries de la table ronde avec le Pétillant de Matignon étaient trop grasse ou parce que vous avez encore envie de vous choper la gaule en exerçant votre minable pouvoir de nuisance…

Vous, l’Astérix haineux à moustache dégueulasse, n’oubliez pas que près de sept français sur dix ont une déplorable opinion de vos actions dignes d’un autre siècle, et qu’il n’y a guère d’option possible en regard de cette affirmation définitive…

Vous, les femmes… Vous le charme… Pardon, j’ai des renvois de Rouleau Essuie-glaces… Vous les femmes qui avez été pelotées par le DSK vert et qui courageusement avez décidé de témoigner, vous n’avez pas longtemps été rongées par l’indécision… Parce que des salingues pareils méritent de se la faire couper au pèle-patates… Ou de passer une semaine avec un combo d’acteurs pornos gays…

Vous, les connasses en short qui allez nous faire chier la bite pendant plus d’un mois avec vos divagations sur le terrain à la poursuite d’un ballon, n’hésitez pas à faire comme Serge Aurié qui s’est à nouveau retrouvé en garde à vue après une nuit agité dans une boite… Faites-vous tous coffrer qu’on ait la paix !

Vous, les voleurs à la petite semaine, les tire-laine à qui il manque un quart d’heure de cuisson, les malandrins finis à la pisse, essayez de ne pas reproduire la mésaventure de ces vide-goussets australiens qui voulaient siphonner le gasoil d’un car mais n’ont fait qu’aspirer les eaux usées des waters… Un méchef qui leur a laissé comme un goût amer…

Vous, téléspectateur qui refuse la médiocrité des émissions stations d’épuration de téléréalité, et qui hésite entre l’immolation de votre téléviseur avec les invendus des bouquins de Mazarine Pingeot et la lacération dudit écran avec des disques de Manu Moire, rappelle-toi, et cours visionner la vidéo, que le 30 mai 1975, Bernard Pivot réussit un grand coup en invitant Vladimir Nabokov, créateur de "Lolita", sur le plateau d'Apostrophes (eh oui, il fut un temps où la télé ne programmait pas QUE de la merde)…

vendredi 27 mai 2016

Brèves du 27 Mai 2016

« Die alte Welt dreht sich verkehrt
« Wird federleicht, und schwebt davon »

Ce vieux monde tourne dans le mauvais sens, léger comme un fétu qui flotte à la dérive… Stella Jones, qui représentait l’Autriche à l’Eurovision 1995, le chantait déjà voici plus de vingt ans…

Autant vous dire que les choses ne se sont pas améliorées depuis… A un point tel qu’on arrive à se demander aujourd’hui si le monde tourne à l’endroit, à l’envers… voire même s’il tourne, tant l’impression de sur-place est flagrante…

Sans doute suis-je désabusé, et largement fatigué au seuil du weekend, mais l’apathie de l’actualité pourrait presque ressembler au dernier électroencéphalogramme d’un candidat de téléréalité : calme plat.

Je ne veux pas par là dire que rien ne se passe, les soubresauts de la mobilisation soi-disant nationale contre la Loi Travail font le miel des journalistes et excitent les présentateurs de chaînes infos qui mouillent leur string à chaque bandeau d’alerte info.

Autant vous le dévoiler immédiatement, il n’y a plus un seul journaliste au sec dans les rédactions de BFMTV, iTélé et LCI depuis le déclenchement du mouvement social relatif à la Loi Travail…

Et la toute récente annonce du déblocage de tous les dépôts pétroliers français ne va pas arranger la situation d’humidité… A y est ! Nous allons pouvoir nous faire remplir le réservoir à notre guise !

Ah ! Quand je vois ce gros pistolet s’enfoncer violemment dans mon réservoir pour me remplir d’un précieux nectar qui m’enivre et me rend dingue… Non, ce n’est pas un extrait cochon des mémoires licencieuses de Marc-Olivier Fogiel, mais le rêve de tous les français depuis une semaine : faire le plein d’essence !

Bon, les dépôts pétroliers sont libérés (le premier qui ulule « libérés, délivrés » se prend une mandale dans la tronche) à l’exception d’un en grève illimitée, et par conséquent à l’arrêt. Et une raffinerie Total qui vient d’annoncer une grève, à l’initiative de la toujours aimable et arrangeante CGT…

Total, vous ne viendrez plus chez nous par hasard… Vous ne viendrez plus du tout !

Et si l’Astérix à la bacchante crasseuse (on dirait qu’il vient de faire une minette à Zaz) persiste dans cette attitude de bravache déconnecté, ils ne viendront plus à la CGT non plus… Alors qu’il est quand même à l’origine du bousin dans lequel nous pataugeons, il se paye le culot de dénoncer façon pleureuses du Haut-Atlas le « climat de haine » distillé par le Gouvernement et le patronat…

On trouvait les précédents laideurs du syndicat déjà très cons, rétrogrades et putassiers, mais on doit reconnaître à Martinez une qualité : ils les surpasse tous d’au moins deux longueurs…

Ah ! cette crise sociale débutée voila plus de deux mois, et qui monte dans les tours au fur et à mesure que les politocards s’empêtrent dans les déclarations contradictoires, à l’emporte-pièce et fluctuantes… Comment pouvoir résoudre sereinement un conflit lorsque la prétendue cohésion gouvernementale ressemble à un concerto pur piaillements avec quasiment autant de voix discordantes que de ministres ? Un joli marécage avec au milieu le porcinet sudoripare avec cravate de traviole qui préfère les sushis aux soucis…

Les hérauts du hollandisme clament haut et fort que Pépère ne cèdera pas et qu’il ira jusqu’au bout… Parce que le Chorizo hystérique de Matignon le lui a imposé ? C’est pas tant qu’ils tiennent à la Loi Travail (qui n’est rappelons-le pour le moment qu’un projet de loi), et à Myriam Et-Les Conneries, non ! Une truffe de cette envergure, on soulève le tapis des ministères et on en trouve des flopées, de cette veine de petites péronnelles qui sont prêtes à se niquer un bridge ou se brûler les genoux au troisième degré sur la moquette synthétique du bureau pour être promues…

C’est pas tant qu’ils aient envie d’avoir l’air ridicule devant une poignée de clampins syndiqués qui pourraient alors se vanter d’avoir fait baissé le froc du Gouvernement ; ils en ont l’habitude depuis quatre ans, alors une fois de plus ou de moins…

Ce n’est même pas qu’ils aient à affronter une contestation sociale totalement inédite pour un gouvernement prétendument de gauche, ils sont toujours ravitaillés en essence, ils bouffent à leur faim sans se poser la question du ravitaillement des supermarchés, ils ont toujours l’escort-girl ukrainienne qui leur éponge la quenelle à sauce blanche…

C’est tout bonnement qu’ils ne savent foutrement pas comment se sortir de ce merdier inextricable ! De quelque côté qu’ils se tournent, les pots vont forcément se casser, et le tout est d’évaluer désormais comment en briser le moins possible…

Le monde tourne à l’envers, et même des robes noires, symbole vivant et quasi-idéalisé de la probité, arrivent à disjoncter… A l’instar de ce confère de Haute-Saône qui a carrément pété les câbles chez un client, s’invitant chez lui genre « moi, maître du monde et mes serviteurs », avant de lui faire subir des logorrhées dignes des pires ténors du barreau, et l’appeler quelques jours plus tard pour lui dire que des messieurs en blanc étaient devant chez lui pour l’enfermer… Et dire qu’on a intégré des siphonés pareils…

Pour finir sur une note peut-être un peu plus optimiste, il faudra saluer la visite de Barack Obama sur le site d’Hiroshima, une première américaine depuis l’explosion de la bombe, voici soixante-et-onze ans. Une visite, mais pas d’excuses officielles… Bon, quand les nippons voient la trombine de Donald Trump, ils doivent s’estiment vengés…

Et le 27 mai 1966, les Rolling Stones publient le titre « Paint it black », preuve qu’à l’époque aussi, on pouvait voir la vie tout en noir… Surtout lorsqu’ils durent apprendre que Marie Laforêt, la seule chanteuse à avoir des orgasmes en chantant, en avait enregistré une adaptation française sous le titre évocateur « Marie Douceur, Marie Colère »… Eh oui, ce n’est pas d’hier que le monde tourne à l’envers…

jeudi 26 mai 2016

Brèves du 26 Mai 2016

« Ay, ¿quién maneja mi barca?
« Que a la deriva me lleva
« Ay, ¿quién maneja mi barca?
« Que a la deriva
« Que allí me lleva »

Qui dirige ma barque, qui me mène à la dérive ? C’est tout de même impressionnant ce que peuvent provoquer de longues, très longues, trop longues heures d’attente à la Chambre des Appels Correctionnels d’une Cour d’Appel sudiste ; entre comptage des mouches au plafond, admirage des chiures de pigeons sur les fenêtres, défonçage de ses records sur jeux addictifs sur téléphone, grillage de clope sur l’escalier monumental, rêvassage sur contemplage de ciel voilé…

L’invraisemblable s’est même produit : j’ai réfléchi ! Je vous remercie de ne pas aller jouer au Loto demain, de vous abstenir de tomber à genoux dans la position extatique du polyparalysé qui se sent pousser des gambettes de marathonien devant la statue de Bernadette, qui est toujours dans la grotte jusqu’au cou, et de ne pas pouffer grassement à l’annonce de cette activité qui m’est certes rare mais pas complètement inconnue…

J’ai réfléchi, et je suis arrivé après moultes triturations du cortex à la conclusion suivante : « ben, j’en sais rien »… Oui, c’est puissant comme un jet de Kärcher sarkozien sur de la racaille banlieusarde, comme la note finale d’une Céline Dion ukrainienne à l’Eurovision, comme un rot bavarois après un demi-muid de Guiness fermentée…

Je n’en sais foutre rien de qui dirige ma barque, et par-là même la barque de tous les français, le paquebot France, en quelque sorte…

Normalement, et d’après ce que j’ai pu retirer de mes études de droit constitutionnel, le Président de la République secondé si besoin par le Premier Ministre dirige le char de l’état, le fameux Paquebot France (qu’on a refilé aux norvégiens, mais ça c’est une autre histoire).

Bon. Mais là, le Paquebot France s’apparente au Pacific Princess, Hollandouille, c’est le Capitaine Stubbing, Valls, un ersatz de Gopher et la Marseillaise est en passe d’être remplacée par le thème musical de La Croisière s’amuse !

Face à la crise sociale française, qu’avons-nous comme interlocuteurs pour calmer nos angoisses, rassurer nos peurs et faire fondre nos inquiétudes ? Une paire de chaises vides ! Pépère est parti se taper la cloche chez les nippons (ni mauvais) et prononcer des discours que personne n’écoutera. Quant au Chorizo Bouillant, il est en Israël, vraisemblablement pour remercier tous les hébreux de nous avoir envoyé en France Amir, juste exprès pour qu’il finisse sixième à l’Eurovision…

Et pendant ce temps, vous avez un quarteron de connards qui foutent un bousin inimaginable en usant de méthodes directement issues d’un autre siècle, d’un autre âge, d’une autre conception de la démocratie…

La Russie se barre de l’Eurovision, et c’est l’URSS qui redébarque de France ! Avec sa tronche d’irradié de Tchernobyl et ses méthodes repêchées au fin fond d’un vieux manuel soviétique, Philippe Martinez, triste Astérix aviné d’n syndicalisme d’antan, se prend ni plus ni moins pour le maître du monde hexagonal…

Sous le couvert de sa centrale moisie dénommée CGT, il entend imposer ses diktats de grève aux raffineries, aux centrales nucléaires, pose ses oukases journalistiques et réclame en trépignant comme un moutard morveux et mal élevé des rendez-vous personnels avec Flamby…

Et avec ça, Grand Déconneur Intergalctique, Suprême Enflure de Boîte Crânienne, Révérendissime Trouduc de la Connerie Suprainterstellaire ? On vous met en prime une pute brésilienne, un jéroboam de Dom Pérignon millésimé, et on fait passer ça pour de lutte sociale ?

On savait que Pépère avait été bercé près du mur dans un couloir étroit, mais alors, Martinez, le laideur (ou leader si vous le faites à l’amerloque) de la CGT, pour sa part a été bercé dans une centrifugeuse…

Qu’il mette le merdier pour des revendications si ténues qu’elle tiendraient sur un demi-timbre poste, soit ! C’est la règle du jeu à la Con-fédération Globale des Trouducus…

Après tout, il s’en branle de voir des français le réservoir à sec ne pas pouvoir aller bosser et devoir se contenter de pâtes à l’eau pour éviter de flinguer le budget. Lui, il est rémunéré par les camarades syndiqués (quand je vous disais que ça sentait bon la salade russe et les dessous de bras de Raspoutine).

Qu’il entende imposer la publication en pleine page dans tous les quotidiens nationaux un tract à sa gloire, ça sent déjà moins bon, et l’on commence à avoir une idée de la largueur d’esprit par spécialement panoramique du bonhomme…

Qu’il fasse cesser le travail des ouvriers de l’imprimerie en mesure de rétorsion au « niet » unanime des partons de presse face à l’oukase journalistique, c’est franchement abuser. Heureusement que l‘Humanité était là pour baisser son forc et le publier, on aurait pu passer à côté d’une plume de la littérature contemporaine…

Qu’il réclame avec des yeux têtus collés au front une entrevue personnelle avec la Tout Mou, c’est qu’il a carrément fondu les plombs et qu’il n’a plus la lumière à tous les étages (déjà qu’au départ…).

Non Monsieur de la CGT l’argent par les fenêtres, vous ne faites pas la Loi en France (Certes, le Flamby’s Lonely Socialos Branquignols Band non plus, on est bien d’accord) ; vous n’êtes pas le grand ordonnateur de ce que doit penser, dire, faire ou réagir la majorité silencieuse ; vous n’êtes que le meneur étriqué d’un syndicat en perte de vitesse. Vous vous voyez César, mais vous nous Pompée…

Et nous Pompée, quand on a du mal à les atteindre pour se faire remplir le réservoir, c’est forcément très mal venu…

Et le 26 mai 1923 se courait la première course d’endurance automobile sur le circuit permanent de la Sarthe, avec entre autres attractions un jazz-band. Une course qui deviendra vite célèbre sous le nom des 24 Heures du Mans.

mercredi 25 mai 2016

Brèves du 25 Mai 2016

« Oh ! Dans le fond, nous avons de la chance
« D'être tombés en panne d'essence!
« Après tout, ici, on est très bien
« Je ne regrette vraiment rien ! »

Vu que le Flamby’s Lonely Branquignols Socialos Band nous rejoue en plus mauvais les grandes heures du ministère Peyrefitte et les délicieuses informations sous contrôle de l’ORTF, je ne puis que conseiller au Chorizo de Matignon d’imposer cette chanson sur toutes les antennes.

Un Général qui avait du pif l’avait remarqué bien avant lui, les français sont des veaux, et pour peu qu’on leur bourre correctement la boite crânienne, ils finiront par se convaincre que c’est le mieux pur eux.

Alors, diffuser cette ariette démodée chantée en duo par Frankie Jordan et une toute jeune Sylvie Vartan (qui chantait déjà si délicieusement faux) en boucle de France Inter à Rire & Chansons permettra à l’immense troupeau bovin d’avaler encore une fois l’amère pilule concoctée par les Diafoirus gouvernementaux, ou d’absorber l’énorme olisbos ministériel qu’on lui enfourne quotidiennement dans le corridor à Bounty…

Oui, croyons aveuglément les balivernes mensongères de l’Elysée, les fadaises frisant le foutage de gueule de Matignon ; et soyons heureux d’avoir le réservoir à sec ! Réjouissons-nous de devoir nous fader deux heures de queue à la station-service pour la voir baisser le rideau au moment où vous fourriez le pistolet distributeur dans le réservoir de votre Titine assoiffée ! Rions à gorge déployée de nous enquiller les arrêts de travail de La Poste, les débrayages de la SNCF, les grèves des compagnies aériennes, et les relâchements d’activité des centrales nucléaires !

C’est vrai quoi… On se dirige à grand pas vers un bordel généralisé avec une économie en berne, des industries en panne, des connards de syndicalistes qui n’ont rien d’autre à branler que de foutre le bousin, des concitoyens à cran… Et les deux têtes de gland de l’exécutif s’en contrecognent le coquillard !

Le Tout Mou avec sa terrine de congénital trisomique sudoripare tendance ravi de la crèche continue à nous seriner avec la régularité d’un coucou suisse made in Taïwan que « tout va mieux »…Quant à l’infatué chorizo de Matignon, il préfère lancer ses scuds assassins depuis Israël (question bombardements, ils connaissent là-bas…) plutôt que de rentrer fissa au bercail pour remettre le string dans l’axe de la raie des cégétistes…

Le conflit se durcit, faisait doucereusement remarquer je ne sais plus quel éditorialiste… Mais non, voyons ! Entre le Premier Sinistre qui boude comme un enfant testard qui refuse de bouffer ses trois cent grammes d’épinards hachés et qui se fâche tout rouge dès qu’on lui parle de Loi Travail, et les rougeauds bas de plafond qui bloquant tout et n’importe quoi sous le prétexte de retirer une loi qu’ils n’ont certainement même pas pris la peine de lire… On vogue en plein Love Story, on se vautre dans les amours helléniques anciennes, on se faufile dans les interstices d’un sauna exclusivement masculin de la Rue Sainte Croix de la Bretonnerie…

Connaissant le goût du risque de Pépère (quand il part en scooter rue du Cirque pour dépoussiérer le plat à lasagnes de sa danseuse, il n’oublie jamais son casque intégral), et son appétence immodérée pour le conflit (Marifolle Touteraide lui fait les gros yeux, genre elle reste à l’état normal, et il se précipite pour signer le décret interdisant sur les trois prochains siècles la moindre escarbille de tabac dans les foyers français) ; nul doute qu’il va faire valser Valls, dégager Myriam Et-Les Conneries, le parangon de l’erreur de casting et nommer Manu Macaron, le tambourineur de vieille moule senteur vasier à marée basse, à Matignon…

Là au moins, le blondinet au dentier ultra-brite qu’il enlève pour décapsuler la mère Philipopo dans les chiottes du Parlement, sera poings liés pour poursuivre sa course à l’Elysée… Ce qui donnera toute latitude à Flamby de se représenter… Dites, ça me fait mal de le reconnaître, mais il ne serait finalement pas si con que ça, le Tout Mou élyséen…

Face à cette grogne et ce merdier à la pompe, on se disait qu’il ne pouvait rien nous arriver de pire… Ben si ! Montebourg réapparaît, et il rouvre son robinet à conneries !  Toujours dispo dès qu’il s’agit de savonner la pente au Pétillant, il se déclare favorable à un référendum sur la Loi Travail… Ben voyons, pour que Chrizo Bouillant se prenne la branlée du millénaire ?

Dans la série, le pire n’est jamais certain, la preuve, j’ai ouï que Christophe Maé aurait sorti un nouvel album… Le zébulon sur ressort à la voix de canard nasillard qui chanterait dans un tuyau de poêle revient nous faire saigner les esgourdes… Dites, vous n’auriez pas un tisonnier chauffé à blanc pour que je puisse me défoncer les tympans pour éviter l’audition dudit album ?

Toujours dans la droite ligne des joyeusetés qui vous font hésiter entre le suicide par pendaison via une élastique et une fracture du crâne subséquente, la défénestration depuis votre rez-de-chaussée minable et mal ajouré, et vous supprimer en ouvrant le gaz de la cuisinière électrique ; on a retrouvé sur l’ordinateur de Salah Abdeslam, la couscoussière qui voulait de faire sauter en public, une liste de cibles potentielles : le port de Fos-sur-Mer, l’aéroport de Toulouse Blagnac, le Parlement de Strastbourg… Une moule pour deux saucisses… Quand on vous disait que Salah était une vraie tante berbère…

Décidément, nos politocards ne sont jamais aussi bien inspirés que lorsqu’il n’y a rien à dire… Myriam Et-Les Conneries, qui sent déjà qu’elle devrait s’oindre le fondement avec trois bidons de vaseline « Lubricanus », se gausse d’une baisse du chômage… Vu les dégâts causés par Pépère en quatre ans, c’st un peu comme si tu enterrais quelqu’un à dix mètres, et que tu le remontes de deux mètres en vagissant qu’il est sauvé…

Bobby Ménard, le modèle réduit biterrois, était silencieux depuis un moment, ce qui n’était pas bon signe… On avait raison de s’inquiéter puisque le ficheurs de clebs veut lancer son mouvement politique, « Oz ta droite », une sorte de « Podemos de la droite décomplexée ». Non, on n’a pas légalisé le cannabis ni la cocaïne à Béziers…

Et dans la famille Blkany, les Thénardiers du 9-2, je demande le fiston, Alexandre, 35 balais aux pots-de-vin nouveaux, qui vient d’être mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale… Nous voila rassurés, on avait tellement peur que le rejeton tourne mal et finisse sa vie honnête…

Et le 25 mai 1977 débarque sur les écrans américains le premier volet d’une saga intergalactique qui allait séduire au-delà du raisonnable. Le premier épisode, qui par la suite sera en fait le quatrième, c’est d’une logique implacable, de Star Wars sort outre-Atlantique, avec cette accroche publicitaire « Que la force soit avec toi »… On dirait le conseil actuel donné à un mec qui cherche de l’essence… 

mardi 24 mai 2016

Brèves du 24 Mai 2016

Et je vous le dis avec la plus inébranlable des convictions qui ne saurait loucher de manière divergente vers la dissémination intellectuelle : si ça continue, ça finira pas !

Lapalissade de première bourre, bon sens hexagonal qui ne souffrirait pas la moindre critique, si ce n’est de certains pisse-vinaigres qui trouveraient le nectar et l’ambroisie communs au goût, mais comme en France, on aime parler pour ne rien dire, si ce n’est le contraire et réciproquement, il fallait que ce soit dit !

Evidemment, vu les moulins à paroles que sont devenus nos politocards, moulins à paroles qui font craindre pour les brushings insuffisamment laqués ou les moumoutes mal arrimées, on dit les choses, on les répète, on les serine… Puisque lorsqu’on on n’a rien à dire, on le répète.

Et même s’il se trouve sur la Terre Promise, ce qui n’est pas forcément idiot, vu qu’ils ont le Mur des Lamentations ça peut se révéler utile, avec le climat social actuel, notre Premier Sinistre n’oublie pas sa mère patrie et a su propager la bonne parole.

Une bonne parole qui ressemble à s’y méprendre au crépitement d’une mitraillette en plein boulot, tant les propos ont été empreints d’une certaine acidité qui donne l’impression que notre Manu Chorizo souffre de reflux gastro-oesophagien sévère…

Pour le faire court, il va faire dégager toutes les raffineries et les dépôts de carburant bloqués par les syndicalistes, et pas à coup de billets de mille, non. Alors que Sarko avait poireauté près d’un mois pour faire donner les forces de l’ordre, le Pétillant de Matignon nous lâche les chars après seulement quelques jours de blocage.

Mais si, mais si, rassurez-vous, Valls est toujours membre du Gouvernement, et n’a pas encore pris sa carte chez Marinette… Evidemment, ça fait grincer des dents à la CGT, mais vu les proportions que ça prend, alors que la pénurie est martelée à chaque journal télévisé comme une réalité tangible, il a intérêt à être ferme, Manu Chorizo…

Dans un pays qui va mal, avec une économie qui fait plus du moonwalk que du steeple-chase, C’est tellement intelligent de pondre une grève de la SNCF en même temps qu’un blocage des dépôts de carburant. Les rares français qui ont encore du boulot feront comment pour aller bosser, mmmh ?

Ce conflit qui se durcit permet au moins à certains de se positionner clairement. Si Mélenchon ne rate pas l’occasion de tirer une cartouche pour Hollande et Valls, le vert jaune du Gouvernement opère un énième retournement de veste.

Jean-Vincent Placé a estimé inacceptable et irresponsable de bloquer les raffineries. Que ne ferait-on pas pour se faire bien voir, hein ! Parti comme il l’est, l’ancien vert qui rit jaune depuis qu’il est devenu rose inaugurera une centrale nucléaire dans les semaines à venir…

Si certains nous la jouent lécheurs à la bonne franquette, d’autres n’hésitent pas à mettre la barre plusieurs crans au-dessus. Manu Macaron ne fait pas dans la demi-mesure et nous propose d’aller plus loin que la Loi Travail tant décriée, en modérant les salaires. Ne soyons pas si pusillanimes, mon cher Emmanuel, vous le trombineur de vieux dindons défraîchis ! A quoi bon encadrer les salaires ? Supprimez tout bonnement toute forme de rémunération, rétablissez l’escalvage, et on n’en parlera plus !

Véritablement, on est entouré de malades mentaux ! A des degrés divers, allant du simple neuneu de quartier qui bave sur son col de chemise en se pognant devant un poster de Candy au Far-Ouest jusqu’au débile intégral impossible de sortir de sa villégiature capitonnée tant l’atteinte mentale est irrémédiable et intégrale…

Généralement, c’est gentillet, et ça peut même prêter à sourire quand on les regarde à la télé au sein de ces inimitables émissions aux titres aussi variés et évocateurs que les « Concons à Cancun », les « Ch’tis chez la Grand-mère de la momie », « Les Marseillais en terre inconnue : à l’école »…

Parfois, ça peut devenir vaguement inquiétant lorsque le lobotomisé en question est en bonne voie pour devenir Président des Etats-Unis… Eh oui, Donald Trump et son accident de coiffure teinté carotte pas fraîche devancent désormais Hilary Clinton et son lifting tout frais dans plusieurs sondages. Ce serait bien la première fois que les Etats-Unis imiteraient la France en portant à la Présidence un andouille incompétent…

Incompétent… Et présomptueux par-dessus le marché ! En tous cas, qui n’a aucune crainte pour la taille de ses chevilles… Invité sur France Culture (alors que le niveau de ses blagues le rendent même indignes de Rire & Chansons), Pépère nous a carrément pété une bielle en affirmant qu’aujourd’hui, il était dans l’Histoire car il avait su saisir l’inattendu pour être capable d’être efficace… Rien que ça ! Et pourquoi pas Grand Manitou du Sauvetage Intergalactique, Suprême Stratéguerre de la Conservation du Chabichou du Poitou artisanal, et Absolue Luminescence Spatiotemporelle du Trempage de Croissant en Casque de Scooter, tant qu’on y est dans l’invraisemblance ?

Les malades mentaux, on en a partout, à tous les coins de rues… A l’image de cet habitant de Mont de Marsan qui est poursuivi pour avoir appelé les secours pas moins de 155 fois en six mois… Sous des prétextes fallacieux, ou pour leur causer de ses idées suicidaires… On se doute que France Télécom n’a pas dû porter plainte…

Des siphonnés du bocal, on en trouve même en Russie (vous me direz que là-bas, les hôpitaux psychiatriques ont tellement fonctionné à plein régime durant le régime soviétique qu’on a aujourd’hui que des zinzins parfaitement équilibrés), où le Premier Ministre a déclaré que son pays se retirait du Concours Eurovision, un concours repère de personnes de mentalité sale et de la secte LGBT…. Ça, question Cage aux Folles géante et baisodrome mondain, il n’a pas tort… Par contre, il a certainement été piqué au vif de ne pas remporter la timbale malgré les efforts désespérés des candidats (qui finissent tous au goulag). On leur souhaite une bonne retraite eurovisuelle, tant on pourra se passer des mémés gagatant leur bouse musicale, de la blondasse qui brame un truc à faire imploser la télé, de la mère Dima Bilan qui se tripote sur scène tant il s’aime, ou de la honteuse de l’année, la Sergey Lazarev dont on peut presque affirmer qu’il ne suce pas que des glaçons…

Et le jeudi 24 mai 1956, en direct depuis le Teatro Kurssal de Lugano, en Suisse, Lohengrin Filipello présentait la toute première édition du Grand Prix Eurovision de la Chanson Européenne, pour quelques centaines de milliers de téléspectateurs. On connaît le devenir de cette manifestation annuelle de canzonettas parfois potables, souvent imbitables et le plus souvent médiocres, mais on sait moins que la première édition proposait deux chansons par pays, soit quatorze musiquettes, que seul le vainqueur fut annoncé et que, émue par sa victoire, la suissesse Lys Assia oublia les paroles de la chanson « Refrains » et dut recommencer la reprise du titre primé. Où comment naissent les mythes… Et je vous le dis, si ça continue, ça finira pas !

lundi 23 mai 2016

Brèves du 23 Mai 2016

« Dans un pays loin d’ici
« À la recherche du paradis
« Dans un pays loin d’ici
« On vote, on compte… »

Je puis vous l’assurer, et vous le certifier sur papier timbré à 24 Francs 95 avec bordure tracée à la main sur vélin in-octavo parcheminé en direct du Moulin papelards de Richard de Bas à Ambert, on a rarement vécu de suspens plus haletant que celui qui a tenu Vienne dans une angoisse telle que tous les chocolats tournaient dans une valse à mille temps guère comestible et que les Apfel strudels se racornissaient tels de repoussant nichon de nonagénaire rachitique…

L’érection pestilentielle américaine en 2000 où il avait fallu compter et recompter les bulletins afin de départager la peste et le choléra ? Un suspens de roman de quai de gare dilué dans l’eau de rose d’une stère de magazine à sensation !

L’infernal vote du Concours Eurovision 1988 qui vit la victoire de la Suisse sur le Royaume-Uni d’un seul point, acquis au dernier jury ? Un ersatz de sachet de verveine éventée et déjà infusée pour mémé langoureuse !

Et il s’en est fallu d’un poil de moustache de dictateur à grande mèche pour départager le vert du vert-de-gris…

L’Autriche… Quand on évoque le nom de ce pays, on a généralement l’image d’un pays qui aime les valses en robes à crinoline sur les parquets cirés du Wiener Hofburg, les chocolats chauds dégustés avec un bon apfel strudel tiédi, les pistes enneigées sur les hauteurs d’Innsbrück et les chansons cucul envoyées à l’Eurovision (de l’opérette glapie d’une voix à en faire péter les pyrex à trois bornes à la ronde à la cucul-lapralinade intégrale minaudée en franzosich en passant par la chorégraphie de patinage artistique au calypso revisité)…

On ne voit pas forcément au premier coup d’œil les bottes cirées à l’excès, les cranes rasés, les mains tendues et les uniformes vert-de-gris sous les culottes de peau  ringardes des yodleurs tyroliens…

L’Autriche, vitrine de l’Europe en quelque sorte, puisqu’elle a eu le cran de dégager les principaux partis en présence dès le premier tour des présidentielles en ne laissant pour s’écharper que le candidat écologiste et le candidat d’extrême-droite… Comme pour dire le ras-le-bol des politocards traditionnels qui vous remplissent les esgourdes de rêves en carton-pâte pour mieux se remplir les fouilles…

Faut bien avouer que les politocards, en ce moment, nous les brisent menu menu menu… On se demanderait presque s’ils n’essaient pas de fabriquer de la farine de couilles ultra-fine…

N’empêche qu’avec leurs conneries, on se dirige à grands pas vers une pénurie d’essence en France, nonobstant les démentis officiels qui peinent à convaincre les automobilistes qui viennent de se taper deux heures de queue moteur allumé pour grappiller dix litres de benzine…

L’essence, nouvel or noir de l’Hexagone ! On doit en  boire à midi au dîner et dans le café au lait, parce que les images des français en train de faire des réserves  à la limite de la panique laisse à redouter ce qui se passerait en temps de guerre…

Il n’y a pas de pénurie d’essence, nous serine le Gouvernement… Evidemment, eux, ils n’ont pas à courir la pompe pour faire le plein… Et pis, de toute façon, si ça continue que ça devrait pas finir, sur et certain que le Pétillant de Matignon lâcherait les chars sur les raffineries occupées… Enfin, c’est ce qu’il a dit qu’il ferait… Reste à voir s’il fait ce qu’il a dit…

D’autres disent… Et feraient bigrement mieux de fermer leur robinet à débilités !

On est presque habitués à l’inextinguible claquemerde à conneries qui tient lieu d’orifice buccal à Nadine Morano. Elle, qui arriverait à faire rougir la pire des poissonnières du Vieux Port, arrive toujours à repousser les limites extrêmes de son Ground Zero de la connerie. Quand on le voit toucher le fond, on espère qu’elle va souffler un moment mais non ! Elle tente de gagner quelques centimètres ! Et quand on l’entend dire que « la Gare du Nord, c’est l’Afrique, c’est plus la France », on se dit qu’elle va finir par ressortir aux Antipodes prochainement…

Dans un style finalement beaucoup plus lisse, Valérie Pécresse annonce que la disparition du ticket de métro… Ah tiens ? j’ignorais qu’elle était une partisane à tout poil de l’épilation intégrale, elle…

A poil, voire pluskapoil, comme le titre de l’un de ses laborieux spectacles qui n’avaient que le mérite de le faire marrer… Michaël Youn, ex-trublion surexcité d’un petit écran qui en a ras-la-moumoute des clones de Speedy Gonzales, se verra bientôt interdit de stade après avoir allumé un fumigène au Stade de France… Comme quoi la proximité avec les connasses en short rend intégralement con… Déjà qu’à la base…

Si vous cherchez comment éviter de démouler un tel moutard promis à la médiocrité, n’oubliez pas de défoncer madame avec une chemise à bite… A Herbitzheim, on en a marre des mariages consanguins et des incestes entre aïeux et nouveau-nés. Alors, pour pouvoir occuper les longues soirées d’hiver alsaciennes, des malicieux ont tout bêtement chouravé le distributeur de préservatifs de la pharmacie. Les policiers sont sur une piste, et suivent les capotes usagées sur le bord de la route…

En d’autres lieux, ce n’est pas sur le bord de la route, mais sous les portes cochères, à proximité du Bunker, sur la plage privée du Martinez ou dans le couloir à prouts d’apprentis-acteur peu farouches du fion qu’on les retrouve… Eh oui ! Le Festival de Connes s’est achevé hier soir, avec la révélation d’un palmarès aussi palpitant qu’une jatte de fromage blanc à zéro pour cent…

Une palme d’or pour un navet plombant, un Grand Prix du Jury pour un film aussi vibrillonnant que la tafiole de concours qui l’a réalisé (vous aurez tous reconnu la mère Dolan), des prix d’interprétation qui feraient passer le pire amateur pour la réincarnation de Daniel Sorano, bref, le Festival finit sur un tête-à-queue. Normal, c’était la 69ème édition…

Et pour finir sur une note optimiste, la vente des œuvres de Miro a rapporté la somme de 61.000 euros à la Croix Rouge. Les toiles de Miro qui serviront à soigner les aveugles… Ils ne se sont pas mis le doigt dans l’œil au moins…

Et le 23 mai 1934 s’achevait l’épopée sanglante de Bonnie Parker et de Clyde Barrow, au moment où ils allaient perpétrer une nouvelle attaque de banque. Se faire tirer en public, décidément, ces ricains n’ont aucune retenue… 

vendredi 20 mai 2016

Brèves du 20 Mai 2016

Allez, c’est bien parce que je vous aime bien, et qu’au final, j’ai besoin de pisser de la copie pour tenter de désenfler les abcès qui pointent…

Non, si vous cherchiez à me le demander, la journée ne s’est pas particulièrement bien passée, et les derniers développements de certains dossiers me font penser que les prochaines semaines risquent d’être carrément rock’n’roll…

Evidemment, advienne que pourra, avec les arrangements de certains des faits et des écrits à leur sauce propre qui leur est favorable et moins amère…

Amère, la pilule risque de l’être pour le citoyen lambda, éternel sacrifié des contestations syndicalo-gouvernementales. Eh oui, vous et moi, on va certainement l’avoir encore une fois dans le derche, à cause de l’intransigeance de Pépère et de la connerie congénitale des syndicats. Préparez vos citernes, remplissez vos jerricans, stockez les bidons de bibine, on se dirige vers un blocage des raffineries et des dépôts d’essence…

A moins que Super Valls ne décide d’envoyer les chars et l’armée débloquer la situation… Vu la souplesse qu’il montre dans le dialogue parlementaire et l’adoption des lois, il est parfaitement capable !

D’ailleurs, ce gouvernement est capable de tout… De sortir le 49-3 à tout propos, on a failli le voir débarquer à Stockholm pour que la France remporte enfin un nouveau Grand Prix de l’Eurovision, on devrait l’entrevoir dans les cabines d’essayage quand le vieux pot à Manu Macaron va tenter le string bikini échancré pour la plage cet été…

Capable aussi de se ridiculiser en scooter pour aller tremper le croissant chez une actrice de seconde zone, de faire pleuvoir même en terre aride dès qu’on sort du placard la cravate de traviole de Flamby… Et même de liker un tweet porno… Mais si, Bernard Cazeneuve a « aimé » une photo de fessée publiée sur le gazouilleur mondial… Il veut imiter Pépère, ou alors nous avons à l’Intérieur un petit goret lubrique qui aime les châtiments corporels… Vous ne le verrez plus pareil, quand il ira constater les dégâts d’une quelconque catastrophe, désormais…

Décidément, les gens ne pensent plus qu’au cul… Même s'ils n'ont pas encore commencé, les Jeux Olympiques de Rio détiennent déjà un record : le nombre de préservatifs qui seront distribués aux 10.500 athlètes, trois fois plus important que pour Londres 2012, qui avait déjà été un record. Une moyenne de 42 capotes par athlète qui vont pouvoir baiser à couilles rabattues sans risque de se voir refiler une chtouille ou l’impression de pisser de la vaisselle cassée… On imagine la joie et la tronche des athlètes pratiquants fervents en déballant la réserve de chemises à bite…

Tout comme on imagine la binette de Christine Boutin, la gazée à distance qui se faire lutiner la grotte miraculeuse par son cousin, lorsqu’elle est tombée sur un article d’un site belge révélant qu’elle se serait convertie à l’Islam… Site qu’elle s’est empressé d’attaquer, avec la demi-mesure et le bon goût qu’on lui connait. Sauf que le site en question est un site parodique, et qu’elle n’a pas fait la différence, Titine… Ah faut dire que de se faire ramoner par un cierge pascal, ça ne développe pas la finesse d’esprit…

Un trait qu’elle partage vraisemblablement avec Salah Abdeslam, celui qui voulait se faire sauter en public et que la Belgique nous a gentiment refilé pour qu’on le nourrisse et le blanchisse à l’œil pendant quelques années… Monsieur fait des mines, refuse de s’exprimer devant les juges d’instruction et fait valoir son droit au silence… Et ton droit de te prendre une mandale dans la gueule, tu le fais valoir, crevure ?

Dans la catégorie des mecs qu’on adorerait entarter tellement ils vous gonflent le mou, figure à la place de premier choix Cyril Hanouna, l’imbuvable présentateur qui a fait son Olympia avec son émission merdique, surfant entre malaise et performance pour un résultat très écrit, et comme d’habitude détestable… Et s’il faisait lui aussi valoir son droit au silence, hein ?

Le silence de la mer, qui a pris la vie de soixante-six personnes qui n’avaient rien demandé sauf de vivre et d’arriver tranquille en Egypte… Le vol Paris-Le Caire s’est effectivement crashé en mer, et on attend désormais la confirmation qu’il s’agit bien d’un attentat…

Car oser nous prétendre le contraire serait du cinéma…

Et comme on parle de cinéma, le 20 mai 1891 voit la première démontration publique, dans les laboratoires de Thomas Edison, du Kinétoscope, qui est donc le plus ancien dispositif de l’histoire du cinéma, destiné à visualiser une œuvre photographique donnant l’illusion du mouvement, dépassant en durée la rotation cyclique du jouet optique (limitée à deux secondes) et pouvant ainsi atteindre quelques minutes. S’il avait su que son procédé donnerait naissance à la filmographie de Godard, des frères Dardenne, et de Chantal Ackermann, nul doute qu’Edison l’aurait voué aux Gémonies… 

jeudi 19 mai 2016

Brèves du 19 Mai 2016

« On est heureux comme des poissons dans l'eau
« Sur le plancher des vaches
« On peut guincher dans tous les caboulots
« Sur le plancher des vaches »

Ah ! Comme Alibert, chanteur avé l’assent de l’entre-deux-guerres, avait raison de préférer le bon vieux plancher des vaches ! Sans vouloir verser dans l’inconvenant ou se vautrer dans le sensationnel éventé genre torche-cul du lundi, je le confesse humblement : j’ai horreur de m’envoyer en l’air…

Et ce n’est pas le tout chaud grand plongeon d’un Airbus d’Egyptian Airlines qui va me faire changer d’avis, pas plus que je ne vais me précipiter pour me recycler en steward…

Cela faisait beau temps qu’on n’avait pas eu de gros navion qui partait faire trempette dans les eaux tièdes d’un océan quelconque… Cela faisait beau temps qu’on n’avait pas eu la sensation de se réveiller le matin en pressentant qu’un malheur s’était produit dans le monde… Cela faisait beau temps qu’on trouvait réconfortant de ne pas avoir les stressantes musiquettes des éditions spéciales sur les ondes radio…

Il nous en fallait une bien corsée sur le coin de l’œil pour pouvoir enfin dégager des gros titres des futilités de l’actualité les conneries à répétition de notre ramassis gouvernemental d’incapables patentés (et pas tentants, surtout quand on imagine Emmanuelle Cosse en string panthère ou Jean-Vincent Placé habillé tout nu).

Cela fait stand de tir à la Foire du Trône, jeu de massacre à la kermesse de l’école du dernier qui a eu les oreillons le mois dernier et qu’on ne sait pas ce qu’on en fera l’année prochaine vu qu’il est encore trente-troisième sur trente-trois, ou canardage d’ambulance, certes.

Mais même avec la plus inexpugnable des énergies, la plus intarissable des miséricordes et la plus infinie mansuétude frisant l’inconséquence intégrale, il faut reconnaître que le Lonely’s Pépère Socialos Branquignol’s Band est franchement à côté de la plaque.

Plus nuls qu’eux, je ne vois guère que les connasses en short dès lorsqu’elles évoluent hors de nos frontières, ou alors les candidats de Money Drop…

Dites, vous avez envie de crier au génie concentré façon lolo de chez Nestlé en voyant Marifolle Touteraide et son regard de Berliet plein phares débouler à la télé ? Avant même qu’elle ne dégoupille son robinet à conneries, vous savez pertinemment qu’elle va en pondre une belle, un peu comme lorsqu’on voit se téléviser la chemise blanche largement déboutonnée de BHL, on sait d’avance qu’il va faire chier l’auditoire pendant une plombe.

Depuis Sylvie Joly et Zouc, je n’ai guère rencontré de comique féminine capable de balancer autant d’énormités avec la bête assurance de l’andouille intégrale. Voila t’y pas que Marifolle veut nous imposer le mois de novembre comme mois sans tabac… Trente jours sans pipe… C’est les brésiliennes du Bois de Boulogne qui vont faire la gueule…

Dans le cas du Kaiser Chorizo, notre Pétillant qui a visiblement eu des bulles qui lui sont remonté dans la couscoussière à idées, c’est plus le côté pétage de fusibles qui vous saute aux yeux… Il aurait des envies de devenir le Caudillo de l’Hexagone que ça ne m’étonnerait qu’à moitié, le matador de Matignon. Il rembarre sèchement l’amateur de vieux pots, il nous renouvelle à l’envi l’état d’urgence, il sort son 49-3 dès qu’il sent le vent parlementaire tourner au grain… Pour un mec apparemment apparenté à un parti qui dénonçait les dérives pseudo-autoritaires du Général, ça la fout mal…

Certes, il est aisé de vitupérer sur les nullos en place. Il l’est tout autant de se payer la poire des inconséquents de l’opposition… Avec évidemment la place de choix de l’Ex, le représentant en talonnettes pour chevilles enflées et chanteuses aphones.

On a récemment prétendu que le Nain de jardin élyséen peinait à rassembler son électorat, qu’il était à la ramasse pour fédérer les français derrière son discours… Billevesées de journaleux en mal de scoop et fientes de pisseurs de copie en recherche de piges ! Nico ratisse large, tellement large qu’on se demande s’il ne faudrait pas annexer le Luxembourg, Monaco et une partie de la Suisse pour lui offrir l’audience qu’il mérite…

En une phrase, il a réussi à se foutre soixante-quatre millions de français à dos ! faut-il être inconscient pour lâcher qu’en se baladant en province, il se sentait parisien… Sarko c’est définitivement le Zlatan des politocards… Un sens de la réflexion à peine plus élevé qu’une cagette de moules mortes, un ego surdimensionné, et un melon imitant une pastèque hydrocéphale…

A la différence que Zlatan a déclaré qu’il était arrivé au PSG comme un Dieu et qu’il se barrait les fouilles pleines d’oseille comme une légende, et que Sarko est arrivé à l’Elysée comme un demi-Dieu (à cause de la taille) et qu’il s’en est barré comme une merde…

Une merde… Non, même pas, une sous-merde… Un résidu de raclure de bidet… Un ersatz de rejet de greffe de sédimentation de capote usagée… Et encore ! Comment peut-on être à ce point sans couilles pour incendier une voiture de Police avec les poulets à l’intérieur ? D’accord, le poulet grillé, c’est bon avec une salade de saison et une bonne sauce pimentée… Mais comment être aussi lâche et ensuite venir leur lécher la grappe quand ils se font dézinguer pour protéger les citoyens lors d’attentats ? C’est plus qu’émétique, c’est du déjà vomi tellement c’est dégueu…

Dans le même ton dégueulasse, encore une petite de notre Marifolle Touteraide qui crache sa haine du tabac en vantant le paquet neutre de clopes, qui va débarquer sous peu chez les buralistes. C’est moche et c’est fait pour a-t-elle déclaré, pour casser le côté attractif de la sucette à cancer. Ouais, ben elle est moche à en faire fendiller les miroirs, et ce n’est pas pour autant qu’on a enregistré une recrudescence de conversion à l’homosexualité masculine…

Pour finir sur une note un peu moins pessimiste, quoiqu’en parlant de la téléphoniste shampouineuse on soit assez désabusé sur le devenir de l’intelligence française, des nouvelles de Nabilla et de sa paire de nibards en plastoc. Il a été requis contre elle trois ans d’emprisonnement dont huit mois ferme pour violences aggravées sur son manche à couilles. Non mais allo quoi ! T’es une starlette inculte et méprisante, et t’as même pas le droit de te faire introduire en prison pendant plus d’un an ?

Et le 19 mai 1951, Alain Bernardin crée le Crazy Horse, anciennement appelé Crazy Horse Saloon, célèbre cabaret parisien du quartier des Champs-Élysées. Le nom « Crazy Horse » est celui, traduit en anglais et ainsi passé à la postérité, du chef sioux Thašunka Witko, la décoration du cabaret à son ouverture étant censé être de style western, avec sa salle pastichant un saloon des années 1870. Rien de tel pour s’envoyer en l’air tout en gardant les pieds bien sur terre…