« Où sont les femmes ?
« Avec leurs gestes pleins de charme
« Dites-moi où sont les femmes ?
« Femmes, femmes, femmes, femmes
« Où sont les femmes ? »
Je soutiens Patrick Juvet, toujours aussi « J’me suis
tellement fait tirer que j’ai le nombril sous la pomme d’Adam », dans son
éperdue quête de l’éternel féminin.
Où sont passées les meufs, les souris, les matrones ?
Que sont devenues nos mères, épouses, compagnes, amantes (religieuses ou pas),
boudins endimanchées, radasses en bout de course, escaladeuses de braguette et
épongeuses de sirop d’homme ?
C’est vrai quoi… En ces époques troublées où des viragos
imbaisables estampillées MLF prônent l’égalité des sexes (ce qui démontrent
qu’elles n’en ont pas vu beaucoup dans leurs vies) en vitupérant des slogans
moisis dans des mégaphones à jamais souillés de leurs miasmes congénitaux, où
nos bobonnes prisunicardes à fibrome proéminant et mononeurone suractivé
clament haut et fort qu’elles ne sont pas uniquement bonnes à faire la
vaisselle et des gniards, mais aussi à les torcher, on pourrait se demander
quelle est la place de la femme…
La femme, sujet sur lequel nombre de nos concitoyens à
service trois-pièces aiment à s’étendre, sujet de toutes les convoitises. Quand
on voit Christine Boutin, Frigide Barjot ou Jeanne Moreau, on est pris d’une
irrépressible envie d’homosexualité galopante qui vous ferait tringler jusqu’à
plus soif Michel Houellebecq et Gilbert Collard…
Ou sont les femmes ? Partout, et nulle part…
Partout, parce que ces dames tiennent le haut du pavé
aujourd’hui, et pas uniquement Rue Saint Denis…
Partout, parce qu’il n’est pas une futilité actualitesque
qui ne fasse appel à la femme.
En témoignent notamment le Pot à tabac ch’ti, Notre Drame de
Paris et la Tata
des tatas qui font comme un vulgaire Benoît Hamon et lancent leur mouvement.
Aubry, Hidalgo et Taubira créent « Dès demain », un truc aux contours
indéfinis (comme Titine), qui promettra des trucs insensés (clin d’œil à Tata
Tiatiane) qui couteront une blinde au contribuable (Coucou Anne H. !). Et
qui fondra comme neige au soleil une fois l’attrait passager des sunlights de
l’actu passé…
Femmes, nulle part… Et en particulier Brigitte Macron. La
caution moyenâgeuse du Président en couche-culotte sera absente de
l’intronisation de Manu, dimanche prochain. Intronisation qui se fera entre
hommes… Passk’on n’est pas de pédés, ma bonne dame !
Allez hop, au placard mémère ; dégagée la vioque ;
au saloir le stockfish replâtré ! Il n’en pouvait plus de se la coltiner
vingt-cinq heures par jour depuis le début de la campagne, lui arrangeant sa
cravate (de notaire ou pas), lui lissant la mèche avec le légendaire
« Colopoil » des Laboratoires Sétouraide, lui réchauffant son biberon
de seize heures et lui bordant la housse de couette Casimir…
Alors Manu va ressortir la jurisprudence Sarko-Frankie,
celle qui veut qu’on lourde sa bourgeoise une fois le seuil de l’Elysée
franchi… Il paraît que Jean-Vincent Placé aurait déjà postulé pour un emploi de
Première Dame… L’autre a ri jaune…
Dans le même temps, les précédents locataires de l’Elysée,
dont les plans auraient été conçus par le petit-fils de Brigitte, la pomme
flétrie de l’Adam de la
République en Marche, n’avaient pas convié bobonne à la
passation de pouvoir.
Vous auriez vu Tante Yvonne trimballer les malles et les
couffins hors du coffre de la DS,
Claude secouer la pogne à Poher, Anne-Aymone faire des selfies avec son grand
sifflet chuintant et Danielle rajoutant une touche de gaieté entre Tonton et
Dalida ?
Où sont les femmes ? Partout, et même nulle part
désormais, puisque la Peste Blonde,
qui n’en finit pas d’enchaîner les télés et les radios pour annoncer son
retrait de la vie politique (la bénédiction du mois), va assurer sa
reconversion en Afrique. Oui, Marion Maréchal-Nouvoila-Le Pen et Afrique, c’est
à peu près aussi antinomique que Jarry et virilité, mais sans doute que la
niaise à Marine part en Afrique pour chasser ses idées noires…
Où sont les meufs ? Partout, et même quand elles n’y
sont pas, la providence fait tout pour qu’on pense à elles. En témoigne BHL,
toujours aussi crinière incoiffable et chemise blanche débraillée, qui s’est à
nouveau fait entarter lors d’une présentation de ses films en Serbie.
Nonobstant la barrière des langues, c’est vous dire à quel point les serbes ont
aimé… BHL et une tarte… Pour lui rappeler qu’il en a épousé une…
Où sont les pouffiasses ? Partout, et pas forcément
avec une jupe au ras de la salle de jeu et une paire de loloches made in
siliconne. Y en a qui portent futal, mouleburnes et se rasent tous les matins.
A l’image de Stéphane Le Foll, qui concourt comme Manuel Valls dans la disputée
catégorie du suce-boules professionnel. Celui-là veut participer à la réussite
du quinquennat Macron… J’en connais qui ne prennent même plus la peine de déboutonner
le froc pour sucer à fond…
Où sont les nanas ? Partout, y compris en la personne
de Manuel Valls, l’ex-premier sinistre qui a mis ses couilles et sa fierté en
vente sur le Bon Coin, et qui vient de se prendre un vent en se voyant refuser
l’investiture des copines à Macron. Pan dans ta tronche, Judas catalan !
Où sont les femelles ? Partout, et vraisemblablement au
volant également, puisque la mortalité routière a bondi de 18,1 % au mois
d’avril. On croirait que Pépère a promis l’inversion de la courbe de la
mortalité routière avant la fin de l’année… On disait « femme au volant,
mort au tournant ». C’est faux ! Généralement, ça n’attend pas le
tournant…
Où sont les darones ? Partout ! Et notamment dans
le Gard, où il y aura corrida lors de législatives entre Gilbert Collard, plus
connu désormais pour son imitation de Popeye dans le bateau avec Marinette que
pour ses plaidoiries, et Marie Sara, ancienne rejoneadora, investie par le clan
Macron. Si elle lui coupe les oreilles et la queue, vous les filez aux clebs…
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