« Voulez-vous
danser avec moi ?
« ¿ Quieres
que bailemos un vals ? »
Hamon tour de
vous offrir une Valls, à l’instar de José Velez, espingouin au sourire équin représentant
de l’Ibérie au Concours de l’Eurovisionnerie 1978. Une Valls bien frappée, avec
les trois temps nécessaires pour concocter le parfait suicide présidentiel ;
une Valls aussi vésillante que le fut le pétillant Premier Sinistre désormais
reconverti en Chorizo incandescent avec le feu jaillissant de son robinet à
conneries façon Thermogène à chaque interview.
Valls et son
sourire légendaire, Valls et sa modération innée dans les propos, Valls et sa
largeur d’esprit panoramique, Valls et sa gauchitude qui ferait passer Macron
pour un suppôt de Mélenchon… Valls qui se croyait déjà propulsé dans les
sondages comme le seul et unique recours de la gauche pour éviter la branlée
présidentielle.
Valls qui se
retrouve en ballotage défavorable et chargé dans une barque qui tangue aussi
dangereusement que Renaud après une cargaison de 102 sanzo, réduit à japper
après Hamon comme un jeune chiot derrière le triporteur du marchand de
saucisses…
Si ce n’était
la réalité réelle et qu’il ne s’agissait pas de la véritable histoire de l’Hexagone
qui s’écrit au jour le jour, je me gausserai violemment d’un rire si peu
aristocratique que même Nadine de Rothschild le trouverait limite vulgaire en
me baffant frénétiquement les cuisses.
Affligeant
spectacle de la décomposition avancée en accéléré de ce qui se crut un grand
parti français, de la déliquescence soluble dans l’eau de rose de la gauche, du
barrage en couille de nos politocards parfaitement déconnectés de la réalité.
Lamentable
pantalonnade de l’adipeux Cambadélis, une fois de plus peigné à la Lesieur
Arachide et oint de la dédaigneuse hauteur socialo, louant la réussite de sa
primaire et la mobilisation en masse des électeurs.
Avant que le
joufflu à regard porcin de vieille truie vicelarde ne se finisse en direct dans
les rideaux, précisons que la primaire des primates n’a rameuté au mieux qu’un
million et demi de pimpins, soit deux fois moins que la primaire des
empapaoutés de gauche en 2011…
Faut dire que
le menu n’était guère ragoutant, entre les plats pas frais, avariés, les hors d’œuvres
hors d’âge et les douceurs édulcorées et insipides. Et trônant au milieu de
toute cette gelée rose ou assimilée, les trois asperges qui pouvaient
logiquement prétendre à faire un second tour de manège avant d’aller se prendre
la branlée du siècle en avril prochain.
Moule-à-gaufre,
Chorizo Incandescent et le redressé productif. Nono de la Bite à Montebourg qui
une fois encore reste le troisième homme et qui néanmoins doit recevoir sans
hésitation le César du meilleur rôle masculin pour son interprétation à peine
pas fausse dans « La primaire m’a tuer mai j’ai pas mal au cul », un
film Télérama-France Inter sponsorisé par les spéculums anaux « Jlaibiensenti »
et le lubrifiant des Etablissements Sagliss-Maurice, à Saint-Velours-Du-Trou-De-Balle.
Pour sa part,
Manu Valls, toujours aussi Jo Dalton qu’aurait du piment d’espelette concentré
en intraveineuse, avec son ego tellement surdimensionné qu’il faut élargir tous
les portails, qui ose s’incarner en possible vainqueur face à la « défaite
annoncée » de Moule-à-Gaufres…
Si jamais
vous obtenez les noms de leurs fournisseurs en substances illicites, faites-moi
signe ; j’en veux bien une pelletée… Impressionnant d’être à ce point
déconnectés de la réalité, de plonger dans les abysses insondables de la
connerie et d’oser continuer à asséner les poncifs du programme commun de la
débilité gaucho (tsunami de migrants, sulfatage d’aides à tout-va, yeux de
velours aux institutionnels du têtage d’allocations) alors que la vague bleue
marine (couleur des désodorisants de chiotte) prend de plus en plus d’importance
et que le ras-le-bol dépasse les bornes de la simple conversation du Café du
Commerce devant un petit noir et une Gitane sans filtre…
S’ils
continuent dans ce sens, ils vont finir par balancer que Kim Il Sung est un génie
sans bouillir de l’humanité, Pol-Pot une lumière intergalactique du socialisme
et Staline le bon père-vert des peuples…
Ah, ça promet
un de ces débats que même Télé-Moscou n’osait pas en programmer aux temps glorieux
de Brejnev, mercredi soir. Deux teignes face à face, deux hyènes prêtes à se
bouffer le foie pour avoir le privilège de se faire humilier à l’Erection
Pestilentielle… Chorizo incandescent versus Moule-à-Gaufres… Encore une
excellente raison de tourner le bouton et de bouquiner pépère. A moins que vous
ne soyez un aficionado de Jaurès, un marxiste tendance Groucho…
Les noms d’oiseaux
vont fleurir et voler bas entre ces deux condors, ou Cons d’Or tant leur
inutilité politique se pare des dorures étatiques. Quoique le condor soit un
substantif qui leur sied parfaitement, puisque c’est à l'origine un nom commun
masculin qui désigne deux espèces d'oiseaux de proie de type charognard…
Tiens, puisqu’on
parle de drôles d’oiseaux, si l’on recausait tant qu’il en est encore temps du
dindonneau sudoripare élyséen, de type scooterix trempe-croissant ? Flamby
marque de manière insistante qu’il se contrebat les roustons de la primaire en
plagiant les fameux « Où est Charlie » : Au théâtre avec Drucker
pour le premier débat des primates, c’est dans le désert de l’Atacama, au
Chili, qu’il faisait bronzette hier. Et dimanche prochain, on lui prévoit une
petite sortie en bathyscaphe dans la Fosse des Mariannes, ou on lui cale une
visite impromptue à Thomas Pasquet ? Et si Pépère disait carrément qu’il s’en
reluit le poireau à béchamel jusqu’à complétion ?
Restons dans
la grande tradition française de la défaite, de la mandale, de la rouste. Qu’elle
soit socialiste, eurovisuelle, foutbalistique, ou tennistique, la branlée
sportive n’est pas une spécialité qu’on partage dans la moiteur des douches, mais
que l’on étale au grand jour, par exemple sur des courts de tennis où le
français Gaël Monfils s’est fait ratatiner par Rafa Nadal et son implacable
revers. Un français qui perd… pléonasme !
Pléonasme
comme peut l’être politocard et pourri… Avec comme exemple topique, et hélas
pas isolé la condamnation en appel de Claude Guéant à deux ans de taule, dont
un an ferme pour détournement de fonds publics. On se souvient qu’il n’était
pas blanc bleu dans les valoches d’argent liquide versées par Khadafi au nain à
talonnettes…
Et le 23
janvier 1973 naissait à Moscou Masha Katz, qui se fera plus tard un nom sous le
prénom de Youddiph en étant la première représentante russe au Concours
Eurovision 1994 avec la chanson « Vyechniy stranik » (éternel
vagabond), bonne soupe schlager, assortie d’une prestation scénique mémorable
puisque la chanteuse était habillée d’une robe de scène à transformations, la
faisant immanquablement ressembler à une tomate séchée géante…
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