« Emis
ta thiskola ta linume nihtiatika
« Emis
alazume agapes Kiriakatika
« Emis
forame to himona anixiatika... anixiatika »
Non mais elle
a forcé sur l’ouzo au retziné, Miss Mariana Efstratiou, l’héllène sans les
garçons de l’Euromachinchose 1996 ? Elle s’est fait un shoot de feuilles
de vigne farcies à la chnouf et elle est encore à 5.000 à croiser les petits
oiseaux et les éléphants roses en pantys de dentelle du Puy ?
On résout les
problèmes difficiles la nuit, on trouve de nouveaux amants le dimanche… Soit,
si elle veut, Miss Pélopoponèse 1933. Avec une bonne rasade d’alcool fort, un
rail de farine et un pèt d’afghane survitaminée, on peut probablement
solutionner le pourquoi du comment Vianney a hérité de cette voix de bidet mal
récuré qui se vide malgré un siphon engorgé de poils pubiens épais… Avec un
éclairage favorable, il est possible de faire une bonne fortune sur un
malentendu le jour du seigneur, dès lors qu’il ou elle n’est pas trop farouche
et qu’on oublie de lui desserrer les roues du fauteuil roulant…
Mais
honnêtement, porter des habits de printemps en hiver… Elle nous veut du mal, la
grecque ? Elle nous souhaite des engelures au bout du gland, des
stalactites de morve solidifiée au bout du pif et des petons congelés comme des
nouveau-nés de chez Courjault ?
En hiver,
chère Madame, il fait froid, n’en déplaise aux pisse-vinaigre et autres fâcheux
qui vérolent notre stratosphère qui ululent à la mort-aux-rats dès que les
températures baissent en deçà des normales autorisées pour s’alarmer du
réchauffement climatique. Il fait froid et il peut neiger, autre part que sur
les montagnes, les cimes escarpées et les boules publicitaires qu’on secoue comme
si l’on était sur le point de lâcher la purée du spaghetti à chantilly…
Il peut
neiger, et les couches neigeuses peuvent être importantes… Je balancerais des
tartes façon mandales à la Lino Ventura au mec qui se questionnait avec des
grâces de pucelle mal déniaisée où étaient les neiges d’antan ? Au fond du
couloir, à gauche !
Dieu merci,
les journaleux et autres spikeurs mâles de la radiodiffusion d’état semblent s’être
suffisamment détrempé le string sur le coup de froid et affichent de plus en
plus leur dédain face à ce qui n’est désormais qu’un pic de froid (tout en
parlant de chute des températures, allez comprendre) qui n’aura rien de
comparable à celui de 2012 (qui déjà n’était qu’ersatz de roupie de sansonnet
rachitique face aux vénérables ancêtres de 1986 et 1956)…
Ras le pompon
de bonnet tricoté main par des chinetocs de cinq ans fourré en laine de
gore-tex pleine fleur, plein la coupe à glace raclée sur le pare-brise de la
Dacia avant de partir pointer à l’usine à cinq heures du matin ! A croire
que les français n’ont jamais vu d’hiver froid !
Vraisemblablement
non, vu les messages radiophoniques d’une euphorie intégrale et débités par une
voix sinistre dont le propriétaire a sans doute une tête à caler les roues de
corbillard. Quand vous enchaînez avec le spot pour la grippe, les prévisions
météo de Marie-Pierre Planchon toujours entre deux cognacs, et le billet
toujours désopilant de gauchitude de Sophia Aram, au final, vous demandez à Abdulgadir
Masharipov de vous en mettre un grand coup pour vous achever et vous faire
grimper aux rideaux et au terminus des prétentieux…
Abdulgadir
Masharipov ? Ce n’est ni le nouveau masseur du club de sport masculin « Nudisme
et irrumation », et encore moins un porte-flingue du désopilant démocrate place-rougiste.
Abdulgadir, dont le nom fleure bon les plaines ouzbèkes de Samarcande, le soir
lorsque le ciel, la terre et le soleil ne font plus qu’un dans une partouze
intercosmique orgiaque, le fromage de lait de chèvre caillé et ranci sous la
selle, et les dessous de bras négligés de petits morveux persophones des
faubourgs de Samarcande… Mais qui schlingue aussi à pleins naseaux la poudre de
kalachnikov encore fumante, le froid aveuglement et le sans chaud qui coule des
trous de balle de ses trente-neuf
victimes…
Le flingueur
du nouvel-an a été arrêté à Istanbul, et on regrette déjà qu’il se soit fait
serrer vivant par les poulets stambouliotes…
En tout cas,
soyez rassurés, on n’a pas fini de bouffer du froid en entrée, avec une terrine
de coupure de courant en plat froid, une ratatouille de routes enneigés et une
fricassée d’automobilistes mécontents en plat de résistance et une poignée de
fanfaronnades gouvernementales glacées en dessert…
D’autant que
la dingo du Poitou a convoqué, le petit doigt sur la couture du pantalon, au garde-à-vous
et pas une paire de miches qui dépasse les présentateurs météo de la télévision,
soit disant pour les briefer sur les comportements de prévention à avoir face
au froid. Mais non, on n’est pas revenus aux temps glorieux de l’ORTF où le
ministre de l’information dictait à la virgule prêt le texte du journal télévisé…
On n’en est jamais sortis…
Sortis, comme
les anglais, dans un futur plus ou moins proche. La nouvelle Première Sinistre
Theresa May (qui ressemble vraiment à un travelo mal poudré de chez Michou) a
confirmé sa volonté de pratiquer un Brexit dur. Pour une fois que quelque chose
sera dur au Royaume-Uni, faut pas s’en priver…
S’en priver,
il le faudra pourtant. Pour la prochaine tournée, Pierre Palmade et Alizée ne
seront plus des enfoirés. Comment dire… On s’en branle ! Et l’on demande
incontinent son inscription au PROUT, le Puissant Réseau Onaniste Universel des
Téléspectateurs…
On aimerait s’en
branler mais les déclarations du Canard à l’Orange, Donnie Trump pour ne pas le
nommer, font dégouliner comme une goutte de sueur froide sur la tempe des
diplomates mondiaux… Eh ouais, va falloir s’accommoder de ces commentaires
hystériques pendant quatre ans… Par pitié, donnez-lui des codes de la force
atomique erronés…
Ou alors,
donnez-lui des baffes… Un peu comme celle que le Chorizo incandescent s’est
ramassé à Lamballe, lors d’un déplacement de campagne… Forcément, avec une telle
tête à claques…
Lui, c’est
pas une terrine à torgnole, mais une véritable coloquinte à taloche qu’il
possède. Ce mosellan titulaire d’un permis probatoire a été flashé à 200à l’heure
sur l’autoroute, alors qu’il rentrait d’un stage de récupération de points du
permis de conduite… Où l’on mesure l’efficacité de ces stages…
Et le 17
janvier 1989 passait l’arme à gauche Jeanne Marie Le Calvé, épouse Denis,
lavandière française qui fut l’inoubliable Mère Denis des publicités télévisées
pour les lave-linge Vedette entre 1972 et 1980, lui conférant une notoriété
exceptionnelle grâce à son « cha ch’est vrai, cha » !
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