mardi 17 janvier 2017

Brèves du 17 Janvier 2017

« Emis ta thiskola ta linume nihtiatika
« Emis alazume agapes Kiriakatika
« Emis forame to himona anixiatika... anixiatika »

Non mais elle a forcé sur l’ouzo au retziné, Miss Mariana Efstratiou, l’héllène sans les garçons de l’Euromachinchose 1996 ? Elle s’est fait un shoot de feuilles de vigne farcies à la chnouf et elle est encore à 5.000 à croiser les petits oiseaux et les éléphants roses en pantys de dentelle du Puy ?

On résout les problèmes difficiles la nuit, on trouve de nouveaux amants le dimanche… Soit, si elle veut, Miss Pélopoponèse 1933. Avec une bonne rasade d’alcool fort, un rail de farine et un pèt d’afghane survitaminée, on peut probablement solutionner le pourquoi du comment Vianney a hérité de cette voix de bidet mal récuré qui se vide malgré un siphon engorgé de poils pubiens épais… Avec un éclairage favorable, il est possible de faire une bonne fortune sur un malentendu le jour du seigneur, dès lors qu’il ou elle n’est pas trop farouche et qu’on oublie de lui desserrer les roues du fauteuil roulant…

Mais honnêtement, porter des habits de printemps en hiver… Elle nous veut du mal, la grecque ? Elle nous souhaite des engelures au bout du gland, des stalactites de morve solidifiée au bout du pif et des petons congelés comme des nouveau-nés de chez Courjault ?

En hiver, chère Madame, il fait froid, n’en déplaise aux pisse-vinaigre et autres fâcheux qui vérolent notre stratosphère qui ululent à la mort-aux-rats dès que les températures baissent en deçà des normales autorisées pour s’alarmer du réchauffement climatique. Il fait froid et il peut neiger, autre part que sur les montagnes, les cimes escarpées et les boules publicitaires qu’on secoue comme si l’on était sur le point de lâcher la purée du spaghetti à chantilly…

Il peut neiger, et les couches neigeuses peuvent être importantes… Je balancerais des tartes façon mandales à la Lino Ventura au mec qui se questionnait avec des grâces de pucelle mal déniaisée où étaient les neiges d’antan ? Au fond du couloir, à gauche !

Dieu merci, les journaleux et autres spikeurs mâles de la radiodiffusion d’état semblent s’être suffisamment détrempé le string sur le coup de froid et affichent de plus en plus leur dédain face à ce qui n’est désormais qu’un pic de froid (tout en parlant de chute des températures, allez comprendre) qui n’aura rien de comparable à celui de 2012 (qui déjà n’était qu’ersatz de roupie de sansonnet rachitique face aux vénérables ancêtres de 1986 et 1956)…

Ras le pompon de bonnet tricoté main par des chinetocs de cinq ans fourré en laine de gore-tex pleine fleur, plein la coupe à glace raclée sur le pare-brise de la Dacia avant de partir pointer à l’usine à cinq heures du matin ! A croire que les français n’ont jamais vu d’hiver froid !

Vraisemblablement non, vu les messages radiophoniques d’une euphorie intégrale et débités par une voix sinistre dont le propriétaire a sans doute une tête à caler les roues de corbillard. Quand vous enchaînez avec le spot pour la grippe, les prévisions météo de Marie-Pierre Planchon toujours entre deux cognacs, et le billet toujours désopilant de gauchitude de Sophia Aram, au final, vous demandez à Abdulgadir Masharipov de vous en mettre un grand coup pour vous achever et vous faire grimper aux rideaux et au terminus des prétentieux…

Abdulgadir Masharipov ? Ce n’est ni le nouveau masseur du club de sport masculin « Nudisme et irrumation », et encore moins un porte-flingue du désopilant démocrate place-rougiste. Abdulgadir, dont le nom fleure bon les plaines ouzbèkes de Samarcande, le soir lorsque le ciel, la terre et le soleil ne font plus qu’un dans une partouze intercosmique orgiaque, le fromage de lait de chèvre caillé et ranci sous la selle, et les dessous de bras négligés de petits morveux persophones des faubourgs de Samarcande… Mais qui schlingue aussi à pleins naseaux la poudre de kalachnikov encore fumante, le froid aveuglement et le sans chaud qui coule des trous de balle de ses  trente-neuf victimes…

Le flingueur du nouvel-an a été arrêté à Istanbul, et on regrette déjà qu’il se soit fait serrer vivant par les poulets stambouliotes…

En tout cas, soyez rassurés, on n’a pas fini de bouffer du froid en entrée, avec une terrine de coupure de courant en plat froid, une ratatouille de routes enneigés et une fricassée d’automobilistes mécontents en plat de résistance et une poignée de fanfaronnades gouvernementales glacées en dessert…

D’autant que la dingo du Poitou a convoqué, le petit doigt sur la couture du pantalon, au garde-à-vous et pas une paire de miches qui dépasse les présentateurs météo de la télévision, soit disant pour les briefer sur les comportements de prévention à avoir face au froid. Mais non, on n’est pas revenus aux temps glorieux de l’ORTF où le ministre de l’information dictait à la virgule prêt le texte du journal télévisé… On n’en est jamais sortis…

Sortis, comme les anglais, dans un futur plus ou moins proche. La nouvelle Première Sinistre Theresa May (qui ressemble vraiment à un travelo mal poudré de chez Michou) a confirmé sa volonté de pratiquer un Brexit dur. Pour une fois que quelque chose sera dur au Royaume-Uni, faut pas s’en priver…

S’en priver, il le faudra pourtant. Pour la prochaine tournée, Pierre Palmade et Alizée ne seront plus des enfoirés. Comment dire… On s’en branle ! Et l’on demande incontinent son inscription au PROUT, le Puissant Réseau Onaniste Universel des Téléspectateurs…

On aimerait s’en branler mais les déclarations du Canard à l’Orange, Donnie Trump pour ne pas le nommer, font dégouliner comme une goutte de sueur froide sur la tempe des diplomates mondiaux… Eh ouais, va falloir s’accommoder de ces commentaires hystériques pendant quatre ans… Par pitié, donnez-lui des codes de la force atomique erronés…

Ou alors, donnez-lui des baffes… Un peu comme celle que le Chorizo incandescent s’est ramassé à Lamballe, lors d’un déplacement de campagne… Forcément, avec une telle tête à claques…

Lui, c’est pas une terrine à torgnole, mais une véritable coloquinte à taloche qu’il possède. Ce mosellan titulaire d’un permis probatoire a été flashé à 200à l’heure sur l’autoroute, alors qu’il rentrait d’un stage de récupération de points du permis de conduite… Où l’on mesure l’efficacité de ces stages…

Et le 17 janvier 1989 passait l’arme à gauche Jeanne Marie Le Calvé, épouse Denis, lavandière française qui fut l’inoubliable Mère Denis des publicités télévisées pour les lave-linge Vedette entre 1972 et 1980, lui conférant une notoriété exceptionnelle grâce à son « cha ch’est vrai, cha » ! 

 

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