« Du
finns i mina drömmar tusen och en natt
« Väcker
mina känslor varje tidig grynings morgon
« Sagan
om vår kärlek kan bli verklig, kan bli sann
« Om du
älskar mig i tusen och en natt »
Tu es dans
mes rêves, pour mille et une nuits, tu réveilles mes émotions chaque aube et le
conte de fées de notre amour peut être réel si tu m’aimes pour mille et une
nuits…
Foin de
déclarations échevelées comme une Dalida après une séance de rodéo musclé voire
détonantes comme une bombe humaine dans un couloir de métro souterrain !
Aujourd’hui,
je donne dans la déclaration molle et fade, dans le scoop de soupe tiédasse,
dans la révélation éventée depuis des lustres et quelques candélabres, dans la
pisse de copie de scribouillard de feuille de chou de quatrième zone qui ferait
passer la pire des norvégienneries eurovisuelles des sixties pour du Lao-Tseu
sur vélin pelliculé imitation papier bible in-sexto.
Cédant à la
facilité de la légèreté de prisunic et de la citation inaugurale pour commencer
le début de l’introduction des prémices à deux balles (et sans silencieux),
voici que se profile à l’horizon de l’inécoutable musicalisé le refrain du
funeste « Tusen och en natt », pâlichon vainqueur eurovisuel suédois
en 1999 grâce à une Barbie colorée façon Gay Pride et cent pour cent plastifiée
à un point tel qu’on la croirait fille de Sheila.
Tout cela
pour les mille et une nuits, et pas celles passées dans un sordide troquet d’une
casbah paumée à lamper des boissons alcoolisées hors de prix, d’où les mille et
une nuits de Chère-Rasade (qui fut aussi le nom de Régine, taulière de lupanars
mondains où la demi-coupe de mousseux tiède coutait un smic de travailleur
immigré, soit un pschitt de laque chez les Carita, les grands manitous des
cuirs chevelus friqués).
Tout ça pour
le chiffre « 1001 »…J’aurais pu vous servir, après la Simca 1000 d’hier
(où évidemment, je te prendrais nue), l’Innocenti 1001, décalque transalpine
(de cheval) de l’Austin Mini, pour annoncer avec mes gros sabots la livraison
de la mille et unième chronique.
Logique, me
direz-vous. Après la millième… Si vous cherchez à me faire monter dans les
tours façon escalator pour le World Trade Center, c’est raté de chez loupé !
Je suis la zénitude incarnée (à l’instar de l’ongle), un chartreux contemplatif
décédé serait un clone de Jackie Chan sous perfusion de Guronsan concentré face
à moi.
Et de la
zénitude, il fallait en avoir un sacré supplément ce matin pour écouter sans
broncher, surtout pour éviter les coupures de rasoir et les trous dans le
plafond de la salle de bains, Benoist Apparu, un énième chancre mou de la
politicocardise qui se prend pour le calife et accessoirement le nouveau
lèche-godasses du pot de rillettes présidentiable, venu faire son numéro d’équilibriste
au micro de Patoune Cohen, l’indéboulonnable Mariah Carey de l’interview, l’irremplaçable
Whitney Houston de la matinale d’Inter.
Hier
polisseur en chef de l’aérodrome à mouches du bordelais sinistre, le parangon
de l’opportunisme politique polishe à quadruple vitesse les pompes de Fi(ll)on
en expliquant à grands coups de langue de bois qu’il n’est pas une girouette
qui se retourne à moindre zéphyr angélique. Question mecs qui se retournent,
faut plutôt s’adresser chez la mère Phlipopo…
Apparu, il a
vu la Vierge, c’est pas possible autrement. A défaut de voir Dieu, évidemment,
mais comme Dieu est de gauche en ce moment… Ah ben, le barbu s’est fait faucher
la place par le redressé productif, le mec à la marinière qui bombe la guérite
aux Sinistres de l’Inculture. Nono Montebourg se rêve comme le sauveur ultime
de la gauche atomisée, alors qu’il n’est qu’un ersatz boursouflé de fatuité de Balladur,
Marquis de Couille-molle, Sa Suffisance en chef. Une sorte de Sa Suffisance II…
Avec en guise
d’Iznogoud, Vincent Peillon, prêt à tout pour créer l’agitation dans le verre d’eau
des primaires socialistes que les milieux autorisés désignent du surnom de « film
de boules » (car tout le monde s’en branle). Ce bout de bâton merdeux a
osé faire un parallèle avec les juifs sous Vichy et les musulmans sous Pépère… C’est
un détail mais si l’on poussait la comparaison jusqu’au bout, on décimerait les
merguez à grands coups de chambres à flatulences de porc, ou bien…
Ou alors, on
fait comme cette adolescente nîmoise de quatorze ans qui demandait à ce qu’on
ne fume pas dans un bus, ce à quoi trois décérébrés de quinze ans ont répondu
en tentant de l’immoler… Peut-être pour lui démontrer qu’elle avait déjà le feu
au cul…
Lui, il
devait l’avoir, ou alors, c’est qu’il avait mangé épicé… Le cycliste Robert
Marchand vient de battre le record de l’heure dans la toute nouvelle catégorie
des cyclistes de plus de 105 ans… Faut dire qu’il aura du mal à trouver adversaire
à sa taille…
En tous cas,
il ne faudra plus compter sur Georges Prêtre, le mythique directeur de l’Orchestre
Symphonique de Vienne pendant un demi-siècle, qui vient de casser sa baguette à
l’âge de 92 ans, après avoir dirigé par deux fois le Concert du Nouvel An. Son
nom de cureton l’aidera peut-être devant Saint-Pierre…
Aucune aide
par contre devant le Tribunal pour ce facteur drômois qui s’est mangé trois
mois ferme pour avoir jeté plus de quarante kilos de courrier afin de terminer
ses tournées plus tôt… Encore un qui était complètement timbré…
Elle par
contre a fini par réussir à se faire composter correctement, puisqu’à cinquante
ans, Janet Jackson devient mère pour la première fois. L’accouchement s’est
très bien passé, c’était tellement tiré vers le haut, grâce aux quatre cent
quatre vint quatorze opérations de chirurgie esthétique, que le bas était
écarté comme un quai de gare.
Le trou de
son quai est-il réservé aux grosses commissions ou bien aux grosses merguez
juteuses de ses copains ? Mystère, pas bien épais, il faut bien l’avouer,
qui entoure la blondasse tatouée de la chanson à texte, M. Pokora, qui a posté
sur les réseaux sociaux des photos de ses vacances à Dubaï d’une virilité telle
qu’on pense rebaptiser la Cage aux Folles la Cabane des Virils Téstostéronés…
Tiens, un mot
qui n’aurait certainement pas été autorisé dans l’émission d’Armand Jammot, le
programme de fin de soirée des maisons de retraite, dont la première diffusion
remonte au 4 janvier 1972, avec un Patrice Laffont jeune. Mais si, mais si, c’est
arrivé, un jour…
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