« Forogj,
világ
« Sodorj
a fényre
« Vagy nem élek
holnap már
« Vad
éjszakád
« Megöl,
bár csókkal vár »
Que
les miens, mes poches, amis, connaissances, vagues relations et autres
casse-burettes de mon carnet d’adresses iphonesque soient définitivement et
intégralement rassurés… Je vais bien ! Je vais même très bien ! Je
conçois que les flatuosités introductives pour commencer le début des prémices
liminaires aient pu vous alarmer, au moins autant que vous faire saigner les
tympans, tant ils ressemblent à un duo Garou-Maurane enregistré à la mauvaise
vitesse, au bruit d’une ventouse tentant désespérément de déboucher des
tinettes irrémédiablement obstruées par des étrons démesurés, ou à la limite un
discours logorrhéique de Christine Boutin sur comment se faire gazer à trois
cent mètres du pulvérisateur…
Ce
n’est pourtant que du hongrois, une langue certes que l’on pratique à rebrousse-poil,
sous la torture et avec un pincement labial qui nous fait immanquablement
ressembler à un anus de gallinacée, tout en se remuant les tripes comme lorsque
l’on prend presque du plaisir vicelard à dégueuler à gros bouillons la
choucroute aux fraises frites à l’huile colza sauce mayonnaise à l’ananas ou le
boulgour de caribou faisandé aux harengs marinés saveur guimauve-concombre…
Et
qui plus est, c’est du hongrois eurovisuel… C’est vous dire que l’indice de performance
des introductions liminaires pour débuter le commencement des prémices a encore
placé la barre très haut et qu’il va falloir aller la contempler à la cave…
Pourtant,
comparé à certains textes de Pierre Delanoë, Obispo ou Kendji, la Gitane sans
filtre qui fait déjà long feu en se transformant en mégot, textes qui frisent
sens cesse le bon goût sans jamais parvenir à l’atteindre, ce « Forogj,
vilag ! » qui représentait la Hongrie en 2005 par la voix du groupe
Nox, est presque de taille à entrer directement dans la Pléiade…
Jugez-en
par vous-même : « Tourne le monde, emmène-moi dans la lumière, ou je
ne vivrai pas demain, ta nuit sauvage me tue, bien qu’on m’attende avec un
baiser »…
Eh
oui, en Hongrie aussi, vous avez des auteurs qui fument leur moquette, leur
tapitouf et tous les carrés de verdure de Budapest, et qui se retrouvent à
écrire des énormités parce que là-bas aussi, y a des loyers à payer, et le
frigo à remplir…
Et que ne
faut-il pas se résigner à faire pour remplir le frigo de nouilles à Bakou, ou à
prix réduit, tout dépend de vos capacités financières et de vos opinions
politiques…
A tous les
étages de la société, et surtout dans les étages où les habitants n’ont pas
précisément la lumière à tous les étages, because ils ont été démoulés avec un
quart de cuisson en moins… Et l’on voit se multiplier les émissions de
téléréalité mélangeant allègrement les genres (et bien souvent aussi les gênes
des participants) en recyclant les déchets de fonds de tiroirs rancis sous des
titres attrape-gogo façon « Le retour de la vengeance des Ch’tis sur Lille
de la Tante Athion »…
Au même étage
des spécimens qui n’ont pas d’afflux sanguin dans les sommets corporels, mais
qui ont un haut fourneau dans le slip, vous trouverez des épouvantails has-never-been
à la tête en forme de pastèque hydrocéphale prêts à toutes les vulgarités pour
attirer un éclair de projecteur sur leur tronche barbouillée à la tyrolienne
Ripolin.
Déjà qu’elle
n’était pas un parangon prototypique de la classe distinguée de par sa façon d’être
et de causer, Afida Turner nous a carrément offert un remake de Basic Instinct,
raffinement Sharon-stonien en moins, lors de l’émission d’NRJ 12 Mad Mag ;
laissant clairement voir son garage à bites… Et dire que Noëlle Noblecourt s’était
fait virer de la RTF en 1964 pour avoir montré ses genoux…
Lui, il y a dû
y avoir une dérivation dans l’alimentation électrique installée quand il était
tout gamin… Parce qu’être aussi azimuté et risquer à tout instant de faire
sauter la centrale EDF en mettant les doigts dans la prise, il n’y a que le
Champion des Questions qui peut le faire ! Juju « Je suisjesuisjesuis »
Lepers, en rupture de télé depuis son éviction par Samuel « Prozac
Concentré » Etienne, fera son grand retour sur le plateau de Dans avec les
Stars. Qui au passage confirme son statut d’émission de la dernière chance pour
vagues célébrités sur le retour. Le survolté icônique des maisons de retraite
dansera (mon Dieu, pourvu qu’il ne chante pas en même temps !) aux côtés
de Florent Mothe (surnommé sur le littoral la Grande Motte…) dont les albums se
vendent encore moins que ceux de Magalie Vaé, c’est dire, de Valérie Damidot
(la maroufleuse obsessionnelle et sa dégaine de gougnotte hommenasse vont
obliger à blinder la piste de danse), et d’Olivier Minne (l’ex-speakerin
brindille qui s’est transformé en ourson musclé l’âge venu pour faire mouiller
les tafioles de Fort Boyard).
Autant vous
dire que c’est encore l’ex-affolée des camaïeux de caca-d’oie-prune qui fera la
plus virile…
Ces
douaniers, par contre, devaient avoir la lumière partout, les yeux en pleins
phares façon Marifolle Touteraide, le lapinou exophtalmique sous perfusion d’ecstasy
du Gouvernement, et le flair priapique. Ils ont mis la main, à Roissy, sur plus
de 80.000 euros de cactus rares ; dont les variétés sont aussi hors du
commun que les rhinocéros, et qui transitaient dans des colis marqués jouets… Ce
qui, il faut bien l’avouer, ne manquait pas de piquant…
Ce qui à l’inverse,
est aussi piquant qu’un figuier de Barbarie passé au Veet toison intense, c’est
notre Calamité Elyséenne, le nouveau Calamity Jane qui se rêve déjà en train de
refaire un tour de manège en 2017, et s’essaie au lyrisme politocard en exhortant
la gauche gouvernementale à ne pas baisser les yeux… Vu leurs reculades depuis
quatre ans et demi, c’est plutôt leur froc qu’ils ont régulièrement baissé…
Tiens, puisqu’on
cause de cul nu, pourquoi ne vous essayeriez-vous pas à succéder à Aminimir en
qualité de porte-drapeau hexagonal à l’Eurovision 2017 ? Le casting est
lancé sur le site de France2, et les conditions de participations sont d’un
draconien… Etre auteur compositeur ou interprète et arriver à articuler trois
mots en français et en anglaise… On ne vous demande même pas de chanter juste…
bah, quand on sait comment Aminimir a été retenu cette année, ils auraient dû
préciser que le port du slip était optionnel…
Elle, elle
portait assurément la culotte, et ne se gênait pas pour assassiner à tour de
bras, exclusivement d’un trait de plume, avec une régularité de métronome parfaitement
huilé. Elle, c’est Agatha Christie, la mère de plume de la falote Miss Marple
et de l’ampoulé Hercule Poirot, qui naquit le 15 septembre 1890 au Royaume-Uni.
Curieux qu’elle n’ait jamais trucidé un de ses personnages via la nourriture
anglaise… Une arme du crime trop évidente, me direz-vous…
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