« Ça t'a fait un choc tu disais " les
hommes sont tous pourris ! "
« Mais comme dit ton psy " prends le fouet il est sous le lit ! "… »
« Mais comme dit ton psy " prends le fouet il est sous le lit ! "… »
C’est avec Bénabar en
bouche… enfin, les paroles de sa chanson « Porcelaine », tout cela
reste complètement correct, n’est-il pas, que je viens publiquement battre ma
coulpe. Allez-y, bande de petits saloupiauds lubriques avec le cerveau dans le
slip et les pupilles en forme de pastille de Viagra ! Punissez-moi,
flagellez-moi de ce chat à neuf queues aux extrémités enduites de raifort
pimenté, humiliez-moi en me forçant à me faire chanter la pire chanson
norvégienne du Concours Eurovision en austro-hongrois médiéval en place
publique avec un bonnet de Mickey en latex rose !
Comment pourrais-je être
digne ne serait-ce que de la moindre once d’un commencement d’iota de votre
confiance et de votre estime après un tel affront impudent et effronté qui
ferait passer la plus teigneuse des journaliste hystérico-gouinasse pour un
ersatz assoupi de Moustaki ?
Comment arriverais-je à
capter votre attention ne serait-ce que la moitié d’une nanoseconde en omettant
la plus élémentaire des courtoisies, la plus évidente des civilités, la plus basique
des règles du savoir-vivre ?
J’ai oublié de vous la
souhaiter bonne, longue et vigoureuse…
Certes, je conçois dans les
limites que m’imposent mon cerveau fécond (ou fait-con, c’est selon les jours…)
que vous ne devez pas être forcément des plus jouasses à vous prendre dans la
trombine les deux-cent-trente-sixièmes vœux pour l’année nouvelle depuis le 1er
janvier, et que la seule idée d’entendre une fois de plus le traditionnel « bonne
année, meilleurs vœux, et la santé surtout, hein ! » vous ferait
aussi promptement sortir de vos gonds qu’une porte méga-bien huilée lors d’un
tremblement de terre de magnitude 23…
Avouez que ça vous gonfle
façon poisson-lune de vous fader les vaseuses considérations de Roger de la
compta au troisième qui se répand entre le café tiédasse et la clope
ultra-light sur ses pérégrinations réveillonnesques dans un bouge de troisième
zone décoré façon revival des eighties revisitées par Bacon sous acide, vous
cogner les plaintes incessantes de Brenda, l’attachée de direction qui n’a
pourtant pas à jérémiader ainsi puisqu’elle suce le patron à s’en faire sauter
les plombages, ce qui lui assure un revenu mensuel équivalent au PIB de l’Albanie
malgré son QI de poulpe crevé, sur le manque de neige, ou les bougonneries de
votre belle-doche qui a évidemment pourri l’ambiance de la Saint-Sylvestre en
trouvant les huitres trop salées, le foie-gras poêlé trop gras et pas assez
frais, le champagne trop pétillant et l’omelette norvégienne trop tiède…
Dites-le franchement que
vous en aviez ras-les-couettes de vous farcir Julien Lepers à fond les ballons
sur le vieux Philips noir et blanc quand vous rendez visite à Tata Lucienne, 93
ans aux bananes flambées, sourde comme un vieux pot de chambre et s’entêtant à
vous refiler ses vieilles gaufrettes Grindoline périmées depuis octobre 1976…
Réjouissez-vous ! Juju et ses cravates dignes du catalogue de la CAMIF
dégagent le plancher des plateaux en février et laissent place à du sang neuf…
Je suis… je suis… Top ! Je suis un journaliste français né à Rennes le 20
mai 1971, qui poursuit ses études de journalisme en essayant désespérément de
les rattraper au tournant ou dans la montée, après une dizaine d'années au sein
du groupe Canal+,
je rejoins France Télévisions en 2008, où depuis septembre
2010, je présente notamment l'édition nationale du 12/13
sur France 3.
Depuis 2013, il intervient également sur l'antenne d'Europe 1
et je sers de bouche-trou sans que cela représente une position sexuelle affectionnée
place des Vosges, je suis, je suis… Samuel Etienne !
Pauvre Sam, qui va se
prendre des coups de canne, des jets de déambulateur dans la tronche et des
entartages à la polenta pour avoir osé détrôné l’icône des maisons de
retraites, le pape des mémés à cheveux bleus et à oreillette Audika…
C’est toujours moins grave
que de se prendre un sulfatage de Kalach’ dans la poire, façon Charlie Hebdo…
Charlie Hebdo dont la commémoration de l’attaque du 7 janvier dernier donne
lieu à une débauche de documentaires voyeurs, de réglage de comptes en règle de
la part de la veuve de Wolinski, et d’une jolie boulette de la part des
autorités, qui ont réussi à découvrir une plaque commémorative contenant une
faute d’orthographe au nom de Wolinski… Quand on est con…
On le reste, certes !
Et Charlie Hebdo, digne héritier d’Hara-Kiri, journal bête et méchant, en fait
encore une fois la démonstration avec la une du numéro anniversaire, qui fait
scandale… Eh non, Dieu n’a jamais tué personne, contrairement aux hommes…
Dans le domaine des
trempouillages politiques en eaux saumâtres, notre adorable bouledogue blond
pratique à merveille la brasse coulée, puisqu’elle a été entendue en qualité de
témoin assisté dans l’enquête en cours sur le financement de son parti…
Restons dans le
trempouillage, mais de nouille, avec cet écossais de quarante-trois ans qui va
bientôt perdre sa virginité grâce à un pénis bionique de trente centimètres et
la location passagère de la salle de jeux de Charlotte Rose, une dominatrice
célèbre au pays des rosbifs. Privé de spaghetti à béchamel après un grave
accident automobile à six ans, le scottish ramonera la dame sous peu… On s’en
branle… Surtout si on visionne la sex-tape…
Lui, il a définitivement
fini de s’envoyer en l’air… André Turcat, pilote d’essai légendaire, le premier
à avoir fait voler Concorde le 2 mars 1969, s’en est allé, à 94 ans aux papillotes
avariées, rejoindre les derniers passagers de l’avion mythique, sans embarquer
par la porte B…
Selon vos goûts personnels et
vos pratiques intimes, vous pourrez vous envoyer en l’air avec Colton Haynes,
acteur notamment inconnu pour ses rôles dans Teenwolf et Arrow, qui a gazouillé
sur le réseau social de l’oiseau bleu qu’il préférait le dégorgeage de poireaux
au farcissage de moules… Quand on le voit, on comprend instantanément qu’il est
aussi hétéro que Christine Bravo adore l’eau plate…
Enfin, souhaitons un bon
anniversaire à « Trente millions d’amis », une des émissions doyennes
du PAF qui fête ses quarante ans de présence à l’antenne… Punaise, quatre
décennies que Mabrouk remue la queue… Comme le temps passe ma pauv’ Lucette !
Et si je vous dis que c’est
le 5 janvier 1975 que l’Office de Radiodiffusion Télévision Française cède la
place à TF1, Antenne 2, FR3, la SFP et TDF, vous me direz que décidément, à l’instar
de Ferrat, on ne voit plus le temps passer…
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