« Arrête de ramer, t’attaques
la falaise ! »…
Conseil avisé à un rameur
par trop efficace qui aurait présenté des velléités de creuser un second tunnel
sous la Manche ? Reproche bon enfant à l’adresse d’un looser hargneux et
revanchard, le genre Sarkozy sans les talonnettes, qui se ruine la santé, et la
nôtre également au passage, à tenter de réussir une entreprise perdue d’avance,
tel un Sisyphe moderne ? Ou plus pragmatiquement l’annonce étonnée autant
que désolée du titre de ce nanar pur sucre de 1979 où se fourvoyèrent entre
autres Michel Galabru, Bernadette Lafont et Bernard Haller ?
Aucun des trois, mon Colonel !
Voir peut-être même un mix des trois… Inversement et réciproquement… Ce qui est
certain et inévitable, c’est le destinataire… Notre Pépère Hollandouillesque,
le Tout Mou de la République, ce Flamby National à l’érection pestilentielle la
plus connue de l’hexagone depuis qu’il est allé en scooter tremper le croissant
chez une actrice à cheveux gras…
Non content de se payer sans
discontinuer des scores de popularité qui feraient la jalousie des chasseurs de
profondeurs marines, Rain Man continue à les aligner avec la régularité
confondante d’une pendule réglée sur l’horloge atomique de Francfort…
Même impopulaire, dixit
Guimauve le Conquérant, il veut agir jusqu’au bout de son mandat… Manquerait
plus qu’il se tourne les pouces jusqu’en 2017… Et comme si c’était pas déjà le
cas… Même impopulaire, un Président peut agir avec une grande capacité, une
grande liberté… Traduit en langage intelligible, ça donne : que ça vous
plaise ou pas, j’en ai strictement rien à branler et je continuerai à faire du
grand n’importe nawak…
Dieu merci, le Tout Mou
conditionne sa candidature future aux résultats du chômage, chômage dont les
modalités de calcul ont été modifiées opportunément… Ce qui permet de quasiment
gommer la hausse, en offrant une vue tronquée de la réalité mais tellement plus
conforme aux bobards que les socialos veulent nous faire gober tels des œufs plus
très frais…
Agir jusqu’au bout de son
mandat… Il veut prendre quoi, comme décisions renversantes ? Changer le
papier-peint de ses gogues à Tulle en remplaçant le marron moucheté par un camaïeu
bouse de vache ? Passer aux croissants sans beurre quand il va tambouriner
sa danseuse de la Rue du Cirque parce qu’il a craqué trois falzars la semaine
dernière en faisant le baisemain à Encula Merkel ?
Quel scoop ce serait de voir
Hollande enfin prendre des décisions…
Autre scoop, l’ancien
ministre grec Varoufakis est fan de chansons slovènes du Concours Eurovision…
Ah, ça, je sais que ça vous cloue au fauteuil encore plus surement que le
Polident au dentier de Tante Marthe, mais si vous prenez le temps de réfléchir
deux secondes…
Varfouakis est grec (rien qu’à
son nom, on ne l’imagine pas suédois…) ; les grecs qui sont réputés pour
leur franche camaraderie entre hommes qui va même parfois jusqu’à l’intromission
d’un appendice impair, médian et franchement turgescent dans un méat tout aussi
impair et médian, et au surplus généreusement vaseliné ; les tafioles qui
sont tout aussi réputées pour aimer le falbalas qui brille, scintille et
froufroute, bref, qui adorent le Grand Prix Eurovision de la Chanson ; l’euromachin
qui accueille annuellement parmi ses participants la Slovénie ; la
Slovénie qui a envoyé au casse-pipe en 2006 un certain Anzej Dezan avec la
chanson « Plan B »…
Eh oui, Varoufakis adore son
plan B… un plan issu des meilleurs romans d’espionnage que même O.S.S. 117, le
fameux Hubert Bonisseur de la Bath, n’aurait osé imaginé tant il semble capillotracté…
A coup de piratage de données de la Banque grecque, Varouf’ le barouf nous
introduisait une monnaie parallèle… Tu
rajoutes deux pouffes en bikini moulant, l’inévitable fonctionnaire d’Etat libidineux,
deux ou trois agents doubles, une cascade en 504, et vous avez le scénario du
prochain film de Dujardin en OSS 117… Le titre ? « Rafales de
pruneaux à Bamako », « Ça va empirer au Pirée », ou encore « Super
pique-nique à Thessalonique »…
Si vous préférez la
tragédie, le truc où tous les malheurs de la Terre s’abattent immanquablement
sur le héros tels un Boeing sur les pompes à Gicquel, j’ai dans les bidons la
dernière tragédie grecque en date « Comment j’ai niqué ma fille »
avecen vedettes Neunœil de Montretout et la déménageuse est-allemande à carrure
de goudou, Marinette… Telle une Violette Nozière de la politique, Marinette
avait fourré les bulletins électoraux à l’arsenic, mais le vieux en ressort
ragaillardi, et obtient en appel la suspension du congrès devant décider de la
suppression de la Présidence d’Honneur…
Pauvre Philippo-pot qui déjà
n’imaginait pas que la justice aille dans le sens d’un déni de démocratie… Comme
il doit bien jouer les pleureuses fielleuses auprès du bouledogue blond… S’ils
pouvaient continuer à se bouffer le foies et les couilles au FN, toute l’extrême-droite
serait stérilisée…
Tragédie, ou tragi-comédie à
l’italienne ? Entre les deux, mon cœur balance… D’un côté c’est inquiétant
de savoir qu’un simple texto peut permettre, exploitant une faille su système d’exploitation
Androïd, de pirater un smartphone… Et d’un autre côté, c’est tellement pantalonnesque
de voir comment les technologies les plus avancées peuvent être mises à bas pas
les solutions les plus simplistes…
Si vous goûtez les grosses
conneries du genre « Deux enfoirés à Saint Tropez », « Amène-moi
ta mère que je te refasse » ou « Mon curé chez les Thailandaises »,
vous ne pourrez qu’aimer la dernière production de la Place Beauvau, « Mon
Sinistre chez les Iraniennes »… Starring Laurent Fabius et son faciès chafouin
de cul mal torché qui vont minauder à Téhéran en effectuant la danse des ventes…
Pas de bol, même là-bas, ils vont le virer à coup de babouches dans le derche…
Tandis qu’en Corée du Nord,
on préfère les histoires sans paroles… La police de l’adorable démocrate bridé Kim
Jong-un se paye le luxe d’un porte-à-porte pour détruire les CD et cassettes de
musique illégale, traduire tout ce qui est étranger et toutes les coréenneries
qui pourraient donner l’idée d’une contestation au sein du peuple… J’hésite à
déménager là-bas, moi… Faut dire que Zaz, Christophe Maé et Emmanuel Moire sot
interdits de diffusion, donc ça doit être reposant pour les tympans…
Et le 28 Juillet 1948 déboule
sur les écrans français le film américain de Frank Capra « It’s a
wonderful life », sorti deux ans plutôt et que les spectateurs français
connaissent sous le titre « La vie est belle »… Considéré comme un
grand classique du cinéma américain populaire, souvent rediffusé à la période
de Noël par les télévisions, ce film avec James Stewart, pour lequel fut
construit un décor de 16.000 m², synthétise tout ce que l'univers de Capra
contient de généreuse utopie et de grandeur humaniste… Bref, de la guimauve à
mater…
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