mardi 7 juillet 2015

Brèves du 07 Juillet 2015

« Lichter und Musik, es ist Karneval
« Vielen Menschen sind auf dem großen Ball
« Aber du und ich seh'n das alles nicht
« Ich schau' lange schon nur in dein Gesicht
« Jeder war allein, nun sind wir uns nah'
« Und immer wieder fragen deine Augen
« Ist das alles wirklich wahr?
« Ja, tausendmal sag' ich dir ja
« Ich würd' alles dafür geben, dass ich dich nie verlier'
« Ja, immer wieder sag' ich ja
« Lass' uns zwei zusammen leben, denn ich gehör' zu dir
« Und was du mich auch immer fragst, die Antwort bleibt doch gleich
« Ja, ja... »

Après nous être promenés chez les grecs tout au long d’une tragédie en vers pas tout à fait décamétriques, ni d’un académisme à faire pisser de joie les quarante papys la tremblotte de l’Acacadémie Française, où j’ai occis tous les « oxy » du dictionnaire à cause de l’oxi grec, il conviendrait que nous nous retournassions pour nous ouvrir à d’autres horizons, et contempler la vie de l’autre côté de la médaille…

J’occis l’oxi pour vous offrir sur un plateau non pas la tête de Saint Jean-Baptiste suite à un caprice de Salomé (elle aimait à saloper, Salomé), mais bien plutôt un nai claquant de vigueur et frétillant d’optimisme…

J’entends déjà les membres de l’Eve Angéli’s dindasses fan club glousser d’indignation devant ce nouveau mot inédit bien que très court, et les admirateurs de Frank Ribéry  se préchauffer la merguez rétractable en imaginant la nouvelle position cachée par ce substantif court…

Rien de tout cela en vérité, il ne s’agit que du « oui » grec, par opposition au « oxi » dont j’ai eu l’avantage de vous rebattre les oreilles hier…

Nai en grec, oui, en français, si en italien… Si, comme le titre de la chanson italienne du grand Prix Eurovision 1974, interprétée avec sensibilité et une robe abat-jour anglais par Gigliola Cinquetti…

Si en italien, ou « ja » en allemand, comme les paroles de la version allemande de cette même chanson italienne eurovisuelle… Ja, parce que c’est quand même à Encula Merkel que revient la palme de l’empêcheuse de tourner en rond, de l’emmerdeuse puissance dix, de la chieuse dans les bottes européennes…

La chancelière teutonne nous ferait un petit coup de thatchérisme qu’on en serait pas plus étonnés… Arc-boutée sur la question grecque comme une moule à son rocher et un morpion à son tablier de sapeur, Encula est toute prête à taper de la Scholl compensée sur la table façon Nikita à l’ONU si l‘on ne lui passe pas son caprice, et si l‘on n’oblige pas les grecs à rembourser les sommes astronomiques dues…

Tout ça parce que le Tout Mou lui bouffe dans la main en lui balayant devant ses écrase-merdes dès qu’il entend sa Mercedes arriver, et qu’il serait même presque prêt à lui passer sur le corps pour assouvir ses pulsions croissantesques et saucissonières…

Et en arriver à faire coulisser l’andouillette à béchamel dans la boite à ouvrages de la Merkel, soit faut avoir bouffé trois boites de Viagra, soit s’appeler DSK, soit être un peu tata… Ben Encula Merkel, on dirait un travelo de chez Michou qui essaie tant bien que mal de ressembler à Danièle Gilbert…

Mais faudrait pas qu’elle oublie, Encula Merkel, que le pays qu’elle dirige depuis des lustres et quelques candélabres n’a pas toujours été un excellent payeur honnête et intègre… La dette koloßal accumulée par la patrie de Goebbels et Katja Ebstein au sortir de la deuxième guerre mondiale était telle que l’Allemagne a toujours refusé de la payer… jusqu’à ce que soit signé à Londres en 1953 un accord annulant 60 % de la dette de la RFA, accord signé avec vingt-et-un de ses créanciers… dont la Grèce…

C’est ballot… Encula a les würsten très longues… mais la mémoire courte…

Ja, ja, mein General… Ah si seulement nous avions la rigueur allemande pour notre armée… Alors qu’un nouveau vol de détonateurs et d’explosifs sur une base militaire à Miramas inquiète sur la façon dont on va au final se les prendre dans la gueule, au lieu de décréter des mesures concrètes et de prendre conscience de la gravité du problème, nos sinistres décident d’évaluer la sécurité des sites militaires…

Ou comment faire des ronds dans l’eau alors que la maison brule…

Elle, je ne sais si elle fait des ronds dans l’eau, si elle pète dans son bain, ou si elle vomit dans les plantes vertes quand elle se pinte au Dom Pérignon millésimé, mais une chose est sure, Fleur Pellerin, la Ministre de la Culture qui ne lit pas, présentera son projet de loi sur la liberté de la création que c’est d’autres qu’ils l’ont écrit demain au Conseil des Sinistres… On parie que Modiano ne le lira pas ?

Ja… aber nein ! Oui… mais non ! Alors que TF1 espérait nous faire avaler sa sauce avariée de son plat maintes fois réchauffé, le « Master Chef » aux tête de cons farcies, les catastrophiques chiffres d’audience lui font stopper la programmation après seulement dix jours de diffusion… La cinquième saison, présentée par Sandrine Quétier, qui reprenait le fouet de Carole Rousseau, la Cruella du fourneau, se paye un bide aux petits oignons…

Tandis que Dédette et le Nain se payent une bière première pression aux obsèques de Charles Pasqua… L’Ex s’est apparemment montré très ému… Faut le comprendre, c’est quand même l’ex-porte-flingue de la République qui l’a initié aux turpitudes de la République… Bernadette pour sa part a certainement tenu à s’assurer que le terroriste des terroristes était bien une viande froide… Des fois qu’il ressorte certains dossiers…

Le dossier des conneries gouvernementales ne semble jamais rangé dans les tiroirs, tant Macron s’emploie à le remplir quasi-quotidiennement avec aujourd’hui la boutade selon laquelle le FN serait une forme de Syriza à la française… Et le Gouvernement français, c’est une sorte de bordel à la croate ? Bah non, c’est déjà un javna kuća permanent alors…

Et le 7 juillet 1947, sort en France le quatrième long-métrage d’animation des Studios Disney, « Le dragon récalcitrant », le premier long-métrage Disney comportant un mélange d'animation et de prises de vues réelles, si l'on excepte les séquences intermédiaires de Fantasia (1940). Et qui, de ce fait, n'est pas considéré comme un « Classique Disney ». Malgré ce mélange, ce film est d'une grande importance car il présente l'envers du décor du studio Disney de Burbank et, à la manière d'un documentaire, explique aux spectateurs le processus de création dans l'animation. À ce titre, il est un témoignage inestimable sur le studio Disney. Ja, oder oxi ?
 

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