mercredi 12 février 2014

Brèves du 12 février 2014



« Je vous ai apporté des bonbons
« Parce que les fleurs c'est périssable
« Puis les bonbons c'est tellement bon
« Bien que les fleurs soient plus présentables
« Surtout quand elles sont en boutons
« Mais je vous ai apporté des bonbons… »

Ah ! Que n’aurais-je pas donné pour avoir eu la possibilité de voir ne serait-ce qu’une fois l’immense Jacques Brel sur scène, en direct, vivre ses chansons… Dire que de nos jours, les media tentent de nous vendre comme les nouveaux Brel ou les dieux vivants de la scène actuelle des endives déprimées et déprimantes qui débitent des platitudes convenues au kilomètre ou des invertis pur sucre bêtes à bouffer de la bite par paquets de douze pas même foutus de vous faire dresser les poils…

Ah ! son air niaiseux de grand dadais mal dégrossi qui postillonne comme Zitrone au vingt-heures de l’ORTF… On dirait presque Hollandouille à Washington, hier…

Je ne voudrais pas tirer sur les ambulances, et encore moins, dans les ambulances, mais vous avez jeté un œil sur les photos de notre Président Normal et du couple présidentiel américain ?

D’un côté, le porcinet sudoripare boudiné dans son smoking comme une andouillette à nœud pap’ huilée et prête à rôtir… De l’autre, le grand amerloc sec comme un coup de trique et sa first lady aux faux airs de Michel Leeb… Et après, on s’étonne que le rêve américain fonctionne encore…

Sérieusement, à son air de ravi de la crèche, on aurait cru que Brel version « Les bonbons ‘67 » s’était réincarné dans Pépère… Sauf que lui, il chanterait « je viens vous casser les bonbons »…

A part s’en mettre plein le cimetière à ragout et offrir un sachet de croissants à Monica Lewinsky, une coquine qui sait passer sous les bureaux sans avoir mal aux genoux, mais récolte des tâches de purée sur la robe, les raisons de la visite officielle de Flamby chez les bouffeurs de McDo restent floues…

Tout comme reste flou ce précepte de l’Eglise selon lequel la pilule du lendemain serait un avortement… Outre le côté très « Titine Boutin et son olisbos-crucifix », on pourrait remarquer qu’alors, la masturbation serait un homicide prémédité ; la fellation, du cannibalisme ; la sodomie, une tentative de génocide ; et le préservatif, un meurtre pas asphyxie (surtout si on l’avale…)…Mon Dieu, le doute ma bite… euh ! m’habite : les catholiques sont-ils décidément si cons ?

Là où l’on a la réponse, ce sont pour les taxiteurs, qui maintiennent leur mouvement de grève, malgré les 64 interpellations… Qu’ils continuent ainsi à se faire mal voir des français, ils viendront pleurnicher ensuite si on leur préfère les VTC… Pour les taxis, les VTC, c’est DTC…

DTC aussi, les fallacieuses allégations d’insolvabilité de l’imbitable amateur de quenelles… La liste de ses possessions ferait blêmir tant ça semble être rentré par toutes les portes et fenêtres… Immeubles, avoirs, comptes bancaires, valoches de biftons… et ça vient minauder ? Franchement, il la met à ses admirateurs… et sans vaseline !

Toujours dans le registre de la joyeuseté (j’aurais voulu dire de la gaieté, mais comme je viens d’évoquer la vaseline, j’aurais crainte de ne pouvoir me retourner sans créer un accident…), Nice-Matin met en une ce fait-divers où un père a été retrouvé pendu aux côtés du cadavre de son mioche de cinq ans… Quelle irresponsabilité ! Et qui va organiser les obsèques maintenant ?...

« Lilla stjärna i det höga, svara mig, svara mig… » (Petite étoile là-haut, réponds-moi, réponds-moi)… Aura-t-elle désormais la réponse? C’est en tout cas une nouvelle étoile qui est apparue au firmament eurovisuel… Alica Babs, qui fut la toute première candidate suédoise au Concours Eurovision 1958 est morte hier, à l’âge de 90 ans… Si sa participation au Concours n’est pas forcément restée dans les mémoires, c’est comme chanteuse de jazz qu’Alice Babs connut la renommée mondiale…

Et le 12 février 1966, l'ORTF propose "L'âge heureux", où en 8 épisodes de 26 minutes, Odette Joyeux nous raconte les déboires de deux petits rats de l'Opéra, enfermées sur les toits dudit Opéra... (eh oui, on savait meubler le vide à l'époque...). C’est l’actrice principale, Delphine Desyeux, qui se chargera d’interpréter la chanson du générique, qui, parodiant la chanson de Brel, nous casse un peu les bonbons… 

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