mercredi 19 octobre 2016

Brèves du 19 Octobre 2016

« Chaque jour se ressemble
« Le stress est au goût du jour
« C’est le truc à la mode
« Panique et pagaille à tous les carrefours
« Sans relâche tu affrontes
« Ton train-train quotidien
« Tu rouspètes tu t’énerves
« Tu te prends la tête pour des petits riens… »

La voix culottée par des wagons de cartouches de cigarettes qui n’eurent rien de light, Séverine faisait son « Retour à paris » voici déjà quatorze ans, un album en public qui hélas ne le trouva pas. On avait envie de retrouver la voix puissante de l’unique monégasque eurovisuelle primée à l’annuel concours de canzonettas rances ; on avait eu une voix de mêlécasse à bout de souffle qui escagassait ses plus belles chansons…

Séverine avait néanmoins eu la courtoisie de glisser deux nouvelles chansons dans son tour de chant, notamment ce « Vivre, seulement vivre » au rythme trépidant (enfin, trépidant pour une Trabant lancée à plein régime de son bicylindre antédiluvien), et traitant des tracas quotidiens de nos vies modernes et citadines…

Combien d’entre-vous se reconnaîtront dans ces paroles susurrées par le timbre de rogomme de Séverine ? Beaucoup hein !

En tout cas, il s’y reconnaît… Et il doit vous avouer qu’il en a plein les bottes de faire des horaires de dingues qui paraitraient exagérés même au plus zélés des stakhanovistes workaholic ? Il en a ras la moumoutte de devoir se fader les considérations vaseuses et parfois vaselinées de clients qui le prennent pour une sous-merde, voire un larbin juridico-logorrhéique…

Certes, il se marre intérieurement quand il se coltine un client, quasi-institutionnel, qui déclare dans l’enquête préliminaire être fier des quatre mois de prison déjà effectués, car « il faut porter ses couilles »… Pourquoi, il est en kit le mec ? En prison, il faut avoir des couilles au cul, certes, le problème étant que ce ne sont pas toujours les siennes…

Et si sa tante en avait, on l’appellerait son oncle… Et pendant ce temps, Cécile Duflot doit se les bouffer au court-bouillon avec un petit jus vert bien acide… La craspec ex-sinistre hollandouillesque est éliminée dès le premier tour de la primaire écologique, au détriment de deux inconnus dont on devient en regardant leurs photos qu’ils ont une haleine à décoller le papier peint et l’habitude de faire caca dans la sciure après un repas bio de racines macérées dans du purin de cochon elevé aux glands sans pesticides…

Il va vous paraître scatologique, mais il s’en tamponne le coquillard… Gros titre dans une feuille de chou numérique : on a retrouvé la trace de Xavier Dupont de Ligonnès… Ah ? Ils ont exhumé un vieux caleçon sale ?

Oui, il sait… il sort… Et au galop…

Un galop qui est le baroud d’honneur de l’une des plus flagrantes réussites des opérations au Maroc, Amanda Lear, détentrice de plusieurs tubes, dont le sien dans un bocal de formol, a annoncé qu’elle arrêtait sa carrière… L’ex-muse de Dali précise qu’elle est fatiguée par le showbiz, et qu’elle ne supporte plus de se voir à la télé, de se maquiller tous les jours… Faut dire qu’elle donnait du taf à trois mecs des Ciments Lafarge quotidiennement… Son chirurgien esthétique a dû également prendre sa retraite… Ou alors, on lui a tellement tiré la peau qu’au prochain lifting, sa toison pubienne lui aurait fait une barbe à la Léon Gambetta…

Il aurait voulu vous la garder pour demain qu’elle n’aurait certainement pas passé la nuit, même dans le frigo… Tous les français visés par les bavasseries de Pépère dans son bouquin sont évidemment vent debout contre le culbuto à cravate de traviole…Les intellectuels, les penseurs… Et les autres… Notamment Karim Benzéma, notre couscoussière préférée des connasses en short, qui s’indigne, affirmant que ses parents l’ont bien élevé… Oui, jusqu’à environ un mètre quatre-vingt-sept…

Mais il n’en a que foutre de ces nouvelles superficielles et qui seront déjà rancies lorsque l’encre ayant servi à les imprimer finira de sécher…

Il préfère saluer l’arrivée en ce bas-monde d’un petit Jules, déjà un beau bébé joufflu loin des caganis racornis rougeauds et fripés des gluants qui viennent d’être dépotés… Vas-y mon p’tit Julot, fais le bonheur de tes parents, qui n’oublieront pas ces paroles d’une autre chanson de Sévérine, «  A chaque instant » :

« La course folle de l’horloge du temps
« La vie qui tourne comme un manège à chaque instant
« M’ont pris l’enfant car tu es devenu un homme… »

Tempus fugit, Coco et Nico, profitez au maximum de votre nouveau bonheur… Il aime ça !

Il ne sait pas si c’est voulu, mais ce 19 octobre est également le jour de naissance d’autres célébrités intergalactiques de la télévision. Thierry Beccaro, inoubliable animateur du jeu télévisé « Motus » depuis 1990, un jeu qui fait un tabac dans les maisons de retraites et chez les chomeurs en fins de droits, est né le 19 octobre 1956, même si on lui aurait volontiers infligé une TVA de luxe vu l’état de chantier de la trombine. S’il essaie de se relancer sur les planches, Riri Beccaro est un touche-à-tout à la télé, puisqu’il s’est même frotté une année aux commentaires du Concours Eurovision, en 1992. Autant vous dire que sa prestation a fait une très forte impression… 

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire