« Je dis n'importe quoi
« Je fais tout ça qu'on
me dit
« Je danse même la
bourrée sur les airs de Johnny
« Que vous importe mes
bœufs ?
« Je mets les sabots
que je veux
« Je trais mes vaches
pour moê
« Pas pour vous,
comprenez-moê… »
Ne fût-ce le fort accent
berrichon quasi-caricatural pourtant nettement exagéré de l’interprète de cette
parodie de « Je dis ce que je pense, je vis comme je veux » d’Antoine
en 1966, on pourrait croire ce « Je dis n’importe quoi, je tout ça qu’on
me dit » écrit sur mesure pour la Dingo du Poitou, Notre Drame de la
Bravitude, celle à qui l’on a trempé le croissant bien avant Valoche Rottweiler
et Julie « Scooter » Gayet, l’unique et irremplaçable Ségolène Royal,
aujourd’hui reconvertie en Ministre de l’Ecologie…
Evidemment, vu la tournure
des paroles, on pourrait aussi bien les appliquer à tous nos zob politiques qui
nous pourrissent l’existence en annonçant justement le mois où la fin du mois
commence le 15 et que l’on se prépare à faire une nouvelle cure de pâtes à l’eau
qu’il faudra encore se serrer la ceinture du fait de la conjoncture de crise
défavorable et de l’inconcevable passif hérité de la majorité précédente…
Depuis les Tontons
Flingueurs, nous avons appris à reconnaître une catégorie de personnes qui
osent tout et depuis un certain temps, vous serez d’accord avec moi que l’on en
corise plus souvent qu’à son tour…
Je n’irai pas jusqu’à dire
que la givrée de l’Ecologie a une case à moins (bien que née pas loin de Dakar,
les villages africains de son enfance avaient tous le nombre de cases requis, même
si certaines étaient vides) mais il est définitivement certain qu’elle a une
capacité infinie dès qu’elle ouvre sa boîte à conneries…
Nous ne sommes pas encore en
période de soldes, mais la Madone de la Ségolènitude nous fait des prix de gros
question âneries… Dans un premier temps, elle souhaite interdire la vente aux
particuliers du Roundup, ce désherbant qui serait la cause de bien des
désagréments… Pourquoi pas… Restera juste à trouver les clampins qui
accepteront de désherber à mains nues pour un salaire de misère… Et là, quand
les trottoirs de Paris seront devenus des annexes de la forêt vierge, Ségo
opèrera un volte-face avec sourire tout plein de dents en gloussant que
finalement, Roundup, c’est certainement moins mauvais que si c’était pire…
Comme si nous n’avions pas
déjà assez de nous prendre Montsanto à dos, l’Immatriculée Contraception en
rajoute une couche aussi épaisse que le beurre sur vos tartines du samedi, en
appelant au boycott du Nutella… Quand vous pensez au nombre de familles
françaises qui ne savent plus petit-déjeuner autrement qu’avec cette pâte
bourrée d’huile de palme et de graisses, à la tripotée de Bridget Jones en
puissance et en pyjama trop long qui sanglotent devant un mélo guimauve en assassinant
à grands coups de cuillers à soupe des pots XXL de cette mélasse marronnasse
couleur étron frais, à la chiée de déprimés chroniques qui comblent la vacuité
navrante de leur pseudo-existence par la mise à mort de ces pots de merde à goût
de noisette chimique… Elle veut nous coller une révolte populaire, la Siphonée
de Poitiers, ou bien ?...
Dans la grande série du « je
l’ouvre bien grand et je déballe les balivernes au décalitre », Marylise
Lebranchu a une place de choix… Depuis qu’elle s’occupe du Ministère des
Glandeurs, pardon, de la Fonction Publique, elle a intérêt à ne se perdre qu’en
déclarations évasives, floues voire absconses si elle ne veut pas se prendre
une grève des fonctionnaires sur le coin de l’œil…
Et comme d’ores et déjà
toute la Hollandie a reçu la feuille de route pour la grande branlée de 2017,
elle s’empresse de sortir le chéquier de promesses gratuites en assurant de la
revalorisation substantielle des salaires des fonctionnaires à partir de 2017… On
croirait le dernier sketch socialiste, tellement ils sont prévisibles, rue de
Solférino…
Prévisible aussi, le passage
en force gouvernemental dans leur exercice quotidien de sodomie généralisée des
français avec le recours à la vaseline de marque « 49-3 » pour la Loi
Macaron… Tandis que le Tout Mou affirme avec toute la fermeté d’un plat de
jelly anglaise trop tiède que la Loi sera adoptée avant le 14 juillet, le
Pétillant qui ressemble de plus en plus à Kaa du Livre de la Jungle nous fait
son numéro de charme en roucoulant que le recours à l’article 49-3 est un acte
d’efficacité et non d’autorité… Ben voyons ! Et mon cul, c’est du poulet ?
A vouloir être réellement
efficace, notion inconnue en socialisme, ils nous pondaient leur réforme
minable par décrets, et s’il tenait vraiment à nous faire sa grosse radasse
racoleuse, Manu Valls invitait TF1 à le filmer en guêpière de cuir noir s’effeuillant
sur du David Guetta remixé par DJ Bobo et finissant complètement à poil devant
les yeux effarés de la perruque crasseuse de Claire Chazal, allégorie
troublante de la situation actuelle de la majorité des français…
Dans cette infinie série de
personnes qui imprudemment l’ouvrent sans en mesurer les conséquences, Michou
Drucker aurait mieux fait de se la prendre et de se la mordre, plutôt que de
propager les nouvelles de l’agonie de Michel Delpech… La réaction de sa
belle-fille a été des plus dignes, un simple « chut » dont le
caractère poignant et la simplicité mérite qu’on la boucle… En écoutant ce qui
est sans nul doute la plus belle chanson sur le divorce, « Les divorcés »…
Pour pratiquer la chose professionnellement, je puis vous assurer que c’est
hélas une vision quasi-idyllique…
En parlant de grandes
gueules, vous ne serez pas indifférents à savoir que Zlatan Ibrahimovic lance
son parfum, une fragrance qui lui ressemble assure la promo… Connaissant le
caractère imbitable de la grande asperge suédoise, ça doit à n’en pas douter
sentir à plein pif le trou du cul…
Et pour finir sur une note
iodée, en Picardie, une maraîchère a écopé d’une amende pour avoir crié trop
fort au marché… Ah, si l’on pouvait coller des amendes à toutes celles et ceux
qui par leur volume sonore trop élevé, nous boutent consciencieusement les
tympans… A l’amende, la salope du sixième qui vous fait partager à trois
plombes du mat’ ses orgasmes de 120 décibels toutes fenêtres ouvertes… A l’amende,
l’andouille qui se prend pour Caruso tous les matins à six heures trente quand
il s’ablutionne… A l’amende, les Zaz, Louane, tous ces pouilleuses de la
chanson qui chantent comme des tuyaux de poêle percés… A l’amende, Lara Fabian,
Céline Dion et Vincent Niclo, ces chanteuses au larynx en corne de brume qui ne
cessent de brailler que lorsqu’on leur met une bite dans la bouche… A l’amende,
les bécasses de la téléréalité qui étalent leur inculture crasse telle la
confiture sur une tartine ou le Piz Buin sur une tafiole à Ibiza… A l’amende,
les Marc Lévy, Aymeric Caron, B.H.L. tous ces fâcheux qui se tripotent la
nouille en écoutant le flot moisi de leur logorrhée putride…
Et le 16 juin 1978, c’est la
sorite nationale américaine du film musical « Grease », adapté de la
comédie musical éponyme créée à Broadway en 1972 et jouée près de 3.400 fois. Succès
mondial avec notamment 5.300.000 entrées en France en 1978, « Grease »
assure la renommée d’Olivia Newton-John, qui s’était ramassé après son passage
à l’Eurovision en 1974, et de John Travolta, qui avait déjà récolté quelques
lauriers dans le pantalon poutre apparente de la Fièvre du Samedi soir…
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