« En die
mensenlevensmallemolen
« Gaat door tot je er
draaierig van bent
« Maar jij blijft je
toch vasthouden
« Al vind je het niet
leuk meer
« Want naast de molen
is te onbekend »
Et ce manège des vies
humaines tourne à nous en étourdir, mais l’on se cramponne même si on ne l’aime
plus car ce qui vient ensuite sur ce carrousel est tellement inconnu…
Désolée chère Heddy Lester,
vous, aimable cruchette batave qui représentâtes les Pays-Bas au Concours
Eurovision 1977 habillée en sapin de Noël rose et parée de cette chansonnette
cucul « De mallemolen », mais si ça continue à ne pas finir, je ne
vais plus vraiment vouloir me cramponner à ce putain de manche de ce bordel de
pompe à cul de monde pourri !
Et ce qui vient ensuite sur
ce merdier de manège ignoble n’est hélas pas tellement inconnu… Ou à tout le
moins douloureusement prévisible…
Et d’ailleurs, si vous vous
attardez un instant sur les chaînes d’infos continues, vous savez les bidets à
jets rotatifs qui vous projettent de la merde dans les mirettes tous les quarts
d’heure avec des manchettes attrape-gogos que même France Dimanche n’oserait
plus utiliser, vous ne pouvez qu’être inexorablement gagné par un sentiment de
nausée inextinguible…
On en est arrivé à ne plus
se demander si les enturbannés vont frapper aujourd’hui, mais combien de fois
ils auront frappé…
Depuis le weekend dernier, c’est
un vrai festival… Si l’Allemagne paye un lourd tribut, de l’autre côté du Rhin,
ce n’est pas flambard non plus…
Non content de faire des strikes
sur la Promenade des Anglais, ces enculés de terroristes égorgent des prêtres
façon Aïd-El-Fitr dans nos églises…
Ils canardent à tout-va dans
un hôpital berlinois… Ils font tout sauter en Somalie à plusieurs endroits à la
fois…
Dites, Messieurs qu’on
nommait à tort grands, combien de temps encore allez-vous laisser ces
enturbannés nous dégommer, nous égorger, nous faire sauter, nous décimer comme
du bétail avant de réagir ? Et quand je dis réagir, c’est réellement
réagir de manière concrète et visible ; ce n’est pas d’arborer une face de
poussah constipé à la télé, de déplorer un geste ignoble et inacceptable, et d’annoncer
avec des trémolos d’acteur raté dans la voix plus de fermeté…
Evidemment, c’est tellement
plus confortable, c’est tellement plus douillet de continuer à enculer les
mouches à propos de Nice, de ferrailler comme des chiffonniers pour déterminer
si la fliquette niçoise était une menteuse, une affabulatrice, une mytho, une
esbrouffeuse ou simplement une andouille… C’est tellement commode de se
répandre en soutien faux-cul à tel ou tel incapable gouvernemental et d’enfumer
l’opinion sur la détermination sans faille de la France à aller jusqu’au bout
des choses pour parvenir à arriver à permettre d’en venir à bout.
Messieurs les politocards,
par pitié, fermez vos claquemerdes une bonne fois pour toutes sur vos états d’âme,
vos opinions personnelles, les aveux à peine voilés que vous étiez informés et
vos sentiments profonds… Ça ne fera pas revenir à la vie les 84 quilles de
bowling niçoises, ni le curé de 86 balais égorgé ce matin à Saint Etienne du Rouvray…
Agissez ! Comment
faudra-t-il qu’on vous le dise ! Combien de morts encore vous seront-ils
nécessaires pour enfin vous sortir les doigts du derche et prendre les mesures
qui s’imposent ? Combien de centres commerciaux, d’églises, de parcs d’attractions,
d’écoles, d’hôpitaux devront-ils être la cible de Daesh sans bouillir pour qu’enfin
on voie une réponse concrète ?
Combien de fois encore
va-t-il falloir se fader les déclarations ineptes de Christine Boutin qui
chiale des larmes de crocodile sur les martyres du vingt-et-unième siècle et
propose comme seule ligne de conduite de se laisser dégommer ? On sait qu’elle
meurt d’envie de se faire sauter, mais tout le monde n’est pas dans son cas…
Rassurez-vous, chair à
canon, cibles vivantes, prêt-à-sauter hexagonaux, l’Etat a pris la mesure de la
catastrophe qui grandit comme un cancer foudroyant : Flamby a déclaré que
Daesh nous avait déclaré la guerre… Bravo au Bisounours ! Et on l’applaudit
pour son « nous devons faire la guerre en respectant les droits »…
Les sous-merdes revenant de Syrie, fichés S et placés sous bracelet
électronique qui ont zigouillé le cureton ont respecté les droits, eux ?
Sombre pov’con irrécupérable !
Non, sérieux, il y a le feu
à la maison France, et le Pépère Lonely’s Socialo Branquignol Band est le seul
à ne pas le voir…
En Allemagne, ils n’ont pas
tant brassé d’air… Deux attaques, heureusement moins mortelles qu’en France, et
paf ! Augmentation des policiers dans les rues, renforcement des contrôles
dans les gares, les aéroports, aux frontières… Elle ne prend pas le pouls de l’opinion,
Encula Merkel, avant de s’autoriser à penser à une éventuelle action préalable
à une intervention…
Pas évident d’avoir envie de
se masturber les zygomatiques après ça, hein… Et pourtant… Pour se changer les
idées, pourquoi ne nous adonnerions-nous pas au jeu qui fait führer en ce
moment, l’exagérément con Pokémon Go ? Avec de vrais flingues dans les
quartiers pénitentiaires des fichés S… Ça soulagerait la population carcérale,
on ferait des économies, et on aurait moins de préposés à se faire sauter en
public…
Bon, les addicts à ce jeu à
la con devraient vite être éradiqués, puisqu’ils marchent n’importe comment n’importe
où… A l’instar de ce conducteur bisontin qui jouait à Pokémon Go en conduisant
et qui finit dans un muret, devant une patrouille de police… Et la Maison
Poulaga a joué à l’attrapage de son permis de conduire…
Et le 26 Juillet 1975, le
Tour de France crée le maillot à pois, synonyme du meilleur grimpeur (pour
l’anecdote, DSK l’aurait demandé pour l’ensemble de son œuvre…).
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