vendredi 27 février 2015

Brèves du 27 février 2015

« Le temps ne fait rien à l'affaire,
« Quand on est con, on est con.
« Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
« Quand on est con, on est con.
« Entre vous, plus de controverses,
« Cons caducs ou cons débutants,
« Petits cons d' la dernière averse,
« Vieux cons des neiges d'antan. »

Le pornographe du phonographe nous ragale encore, plus de trente ans après son décès, de ses fulgurances osées, mais tellement vraies, sur nos contemporains… Mais n’en déplaise aux idolâtres de Georges, l’égrillard poète jamais pouet-pouet a oublié dans son énumération d’andouilles patentées quelques exemples, rares ou trop peu usités pour qu’on s’en souvienne…

Parmi eux, les andouilles qui débordent (les Converse), les abrutis susceptibles (les convexes), ceux qui vivent en sous-sol (les concaves), ceux qui ont gagné l’Eurovision (les comprimés), ceux qui sont portés sur la chose (les congénital), ceux qui sont battus (les convaincus), ceux qui aiment à se faire retourner (les contorsions)…

De peur de verser dans la catégorie des andouilles amateurs de lavande aspic (les connards), je prendrai bien soin de me tenir à une distance tout à fait respectable, et couramment désignée comme distance de sécurité, des futilités du jour qui il faut bien l’avouer nous gâtent avant le weekend, mettant en première ligne, comme à l’avant-scène d’un peloton d’exécution, une belle brochette de connards et de pouffiasses qu’on empalerait par la bouche avec délectation, juste pour le plaisir de ne plus les entendre dégoiser des billevesées connes à bouffer de la bite crue par paquet de douze…

La plus grosse revient sans conteste possible à Madonna… La plus grosse tête de courge, pas la plus grosse bite… Quoique… Elle a dû en dérouler, du câble, la Cicconne… Qu’il faut prononcer si-conne depuis son interview sur Europe 1, où l’on s’est indéniablement rendu compte que sa chute en plein Brit Awards avait laissé des séquelles non négligeables au ciboulot… Mémère a déclaré que l’intolérance en France lui faisait penser à l’Allemagne nazie… En plus d’être ripolinée tous les trois jours par la maison Botox, elle en a un sacré pèt au casque, la vioque…

Dans la longue énumération introductive, j’ai oublié de vous parler des cons centrés et notamment des enfoirés, qui sont un concentrés de cons centrés… centrés sur le pognon et leur petite gloriole… Leur dernière chanson, « toute la vie », une bouse inécoutable dont on ne voudrait même pas à l’Eurovision, s’attire les foudres du public, puisqu’elle donne l’image d’une jeunesse agressive, fataliste, et feignante… Un joli ramassis de beaufitude boursouflée, interprétée avec la conviction d’un plat de moules pas fraîches par des artistes à l’ego surgonflé, has-been démodés à la recherche d’une gloriole fut-elle éphémère, et prêts à se couvrir de ridicule et de peaux de bêtes sur scène, pour pouvoir faire bouillir la marmite… Bravo Goldman pour cette bien belle merde qui fusille la crédibilité déjà chancelante de ta bande de prétentieux… Et Coluche qui doit faire des loopings dans sa tombe…

Des loopings, on doit pouvoir en faire largement à l’aise sans crainte de se cogner à quoi que ce soit dans le cerveau, dussé-je dire dans la boîte crânienne, des illuminés de Daesh… Non contents de vouloir faire bénéficier le monde entier d’une merveilleuse évolution vers le bien qui nous conduirait à un nouvel âge préhistorique, ces folles furieuses ont proprement saccagé un musée irakien à Mossoul, détruisant des statues de grande valeur sous de vagues prétextes religieux… Tout en oubliant de mentionner qu’ils avaient vendu des antiquités de prix pour financer leurs opérations ignominieuses…

Je serais Ribéry (simple supposition et formule de rhétorique, je n’ai nullement l’intention de me réincarner dans cet avorton mononeuronal qui pense avec ses couilles), je me méfierais grandement des connasses en djellabas de Daesh… Même converti à l’islam (alors qu’il a lui-même une tête, et une réputation, de porc), j’aurais trop peur qu’ils prennent ma tête de Picasso nettoyé à l’acétone pour une représentation blasphématoire du prophète…

Qu’il soit caduc, jeune, vieux, vexé, centré ou déboulant des escaliers (le condescendant), le con typique le sera toujours moins que notre mètre étalon (encore qu’étalon, je ne sois pas allé vérifier sous les douches du Bayern de Munich) de la débilité footballistique, l’ancien mannequin pour crash-tests sur pare-brise, Frank Ribéry, Monsieur Tire-aux-putes… Notre Picasso redessiné par César sous influence baconesque veut prendre la nationalité allemande… Bonne nouvelle, ça fera toujours une andouille de moins en France… et une belle saucisse de plus pour Encula Merkel !

Le hic dans cette demande de naturalisation, c’est le test de langue… Enfin, le test de devoir parler en langue allemande, pas d’aller rouler une pelle profonde tendance auscultation des amygdales à l’examinateur ou trice… Déjà qu’en français courant et basique, il mérite la disqualification, alors je vous laisse imaginer en schleux…

J’aurais voulu la classer dans la catégorie des connasses indélébiles, incorrigibles, consubstantielles, irrécupérables… mais je ne sais où la mettre, cette folle à lier de récidiviste qui, dans l’Ain, a noyé puis congelé ses deux enfants, nés viables, en 2011 et 2012… J’entend déjà le fennec sous-alimenté Eric Zemmour tempêter que la France schusse vers sa décadence, que c’est pas au siècle dernier qu’on aurait vu ça,… Forcément, ducon, on n’avait pas de congélateurs en 1930 !

Et comme on parle de viandes froides, voici deux morceaux de choix, fraîchement arrivées : Pascal Brunner, l’animateur du mythique « Fasila Chanter », seulement âgé de 51 ans mais bouffé par le cancer et l’alcool… Et Leonard Nimoy, à l’âge de 83 ans, acteur américain qui remplaça sans grand succès un des personnages de l’équipe de Mission Impossible… et joua aussi un rôle obscur dans une série oubliée… il faut le Monsieur Spock de « Star Trek »…

Et le 27 février 1988, aux Jeux Olympiques d’hiver de Calgary, Alberto Tomba surnommé "La Bomba" en raison de son style explosif et de sa personnalité exubérante de play-boy sulfureux (le style italien quoi, tout dans la bouche, rien dans le slip), réalise le doublé en slalom en remportant le slalom géant et le spécial; comme l'avaient fait avant lui trois légendes du ski: Sailer en 1956; Killy en 1968 et Stenmark en 1980. Comme quoi, on peut être un bon con, ou avoir un con bon (pour ces dames)…

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