Décidément, il y a des jours où l’on ferait nettement mieux de mettre les doigts dans la prise… Enfin, lorsqu’on a du courant (j’évite de dire du jus, parce que j’en entends déjà deux ou trois lubriques rigoler grassement…)… Figurez-vous que je n’avais plus d’électricité lorsque je rentrai chez moi hier soir ! Et d’après le service dépannage, c’était apparemment dû à une coupure de mon alimentation… Ah ben bravo EDF ! Je n’ai jamais demandé de résiliation, je paie mes factures par virement bancaire mensuel… Et l’on vient me couper le jus ? Pour tout arranger, je n’avais quasiment plus de batteries au téléphone… Bref, le scénario catastrophe !
Pour vous la faire courte, après demi-heure avec le service clientèle ce matin (après une nuit sur les nerfs), le service dépannage en a conclu à un vol de fusible (très à la mode soi-disant)… Mouais, et les malfrats auraient laissé le plomb de scellage intact ? J’ai plutôt l’impression qu’ils se sont plantés de compteur à couper, oui !
Bon, le principal est que le courant soit revenu, et que je puisse faire le pont… Euh, dites… vous le faites exprès ou quoi ? Alors qu’effectivement, je devais me diriger vitesse grand V et accélération gamma plus petit Q, v’la t’y pas que l’audience prévue vendredi matin (franchement, faut être tordu pour prévoir des audiences le 2 mai en pleines vacances scolaires et pont du 1er mai) pose souci… Renvoi, pas renvoi ? Client payant présent sur audience ou pas ? Ô incertitude ! Et c’est bibi qui s’y colle et qui dit bye-bye à son pont… Sans espoir de petit pont (car je suis une vraie brêle au foot…).
Néanmoins, comme aurait Michael Jackson dont on sait que l’appendice nasal avait la fâcheuse tendance à exprimer de folles envies de sécession, j’interromps le service des chroniques jusqu’à lundi prochain… Ne trouvant que difficilement l’inspiration, en manque de nouvelles suffisamment croustillantes pour ressentir le déclic, je fais un petit break…
Au surplus, il faut presque racler les fonds de tiroir pour dégoter une info qui soit suffisamment décalée... Ça ronronne ma bonne dame !
Je ne vais pas m’étaler sur le Pétillant qui peine à imposer ses mesures d’économie face à un PS franchement dubitatif, à tel point que le Figaro titrait aujourd’hui « la confiance ébranlée »… Bill Clinton aussi, au temps de l’affaire Monica Lewinsky, mais en deux mots et quelques taches…
Toujours dans le domaine des farandoleurs, la Garde d’Esso tente d’éteindre l’incendie des Greffes en arrosant de bonnes paroles les greffiers en grève depuis près d’un mois, leur promettant des revalorisations de salaires qui apparemment, n’étaient pas volées… Ne vous affolez pas, elle a décider de considérer la situation en étant en mesure de proposer une évolution substantielle de leur grille indiciaire… Bah, de belles paroles, mais attendons les actes…
Encore une petite avec le Redresseur Productif, qui fanfaronne que le dossier Alstom n’est pas plié puisque le Gouvernement a été entendu… Entendu, peut-être… Ecouté, ça c’est bien moins certain…
A l’attention de ceux qui ne peuvent démarrer la journée sans avoir englouti des quantités phénoménales de nourriture : avant de vous préparer vos œufs brouillées, méditez cette mésaventure survenue à un septuagénaire qui a fait exploser sa maison à Anglet en allumant sa gazinière pour préparer son petit déjeuner… Heureusement, il s’en tire avec quelques blessures légères et une belle frayeur… Encore un drame des haleines matinales trop chargées…
Hier encore perçue comme la panacée universelle, la cigarette électronique risque d’être bientôt interdite dans certains lieux publics, à l’initiative de la ministre de la santé, Marisol Touraine et son regard de lapinou sous ecstasy… Si l’e-cigarette est inoffensive, pourquoi chercher à l’interdire ? Comme dirait Anne Roumanoff, on ne nous dit pas tout !
Vous dirais-je tout concernant l’anniversaire de la mémoire du jour, 30 avril ? Voire ! Puisque nous sommes à la veille de la semaine sainte pour les Eurofans, le Concours Eurovision 2014 ayant lieu les 6, 8 et 10 mai prochains, je vous causerai Eurovision… Le 30 avril 1994, l’Irlande réussit, à domicile, l’impensable passe de trois et gagne pour la sixième fois (et le troisième année consécutive) le Concours avec une bluette ronronnante que tout le monde oubliera sitôt le concours terminé… Et c’est à partir de ce concours-là que l’on va s’interroger sur la pertinence de conserver un orchestre live… Les chansons évoluent, et restituer en intégralité des sons modernes avec un orchestre traditionnel relève parfois du challenge… Les candidates finlandaises, le duo CatCat, s’en souviendront puisque la rendu live de leur « Bye bye Baby » est une véritable catastrophe, alors que la version studio est acceptable. Si on y ajoute leurs tenues version nuisette pour saloon, et leur passage en seconde position (la position de la mort au concours puisqu’aucune chanson passant en deuxième position n’a gagné depuis1956 !), on comprend la déroute finlandaise, une décevante vingt-deuxième place sur vingt-cinq…
Pour vous la faire courte, après demi-heure avec le service clientèle ce matin (après une nuit sur les nerfs), le service dépannage en a conclu à un vol de fusible (très à la mode soi-disant)… Mouais, et les malfrats auraient laissé le plomb de scellage intact ? J’ai plutôt l’impression qu’ils se sont plantés de compteur à couper, oui !
Bon, le principal est que le courant soit revenu, et que je puisse faire le pont… Euh, dites… vous le faites exprès ou quoi ? Alors qu’effectivement, je devais me diriger vitesse grand V et accélération gamma plus petit Q, v’la t’y pas que l’audience prévue vendredi matin (franchement, faut être tordu pour prévoir des audiences le 2 mai en pleines vacances scolaires et pont du 1er mai) pose souci… Renvoi, pas renvoi ? Client payant présent sur audience ou pas ? Ô incertitude ! Et c’est bibi qui s’y colle et qui dit bye-bye à son pont… Sans espoir de petit pont (car je suis une vraie brêle au foot…).
Néanmoins, comme aurait Michael Jackson dont on sait que l’appendice nasal avait la fâcheuse tendance à exprimer de folles envies de sécession, j’interromps le service des chroniques jusqu’à lundi prochain… Ne trouvant que difficilement l’inspiration, en manque de nouvelles suffisamment croustillantes pour ressentir le déclic, je fais un petit break…
Au surplus, il faut presque racler les fonds de tiroir pour dégoter une info qui soit suffisamment décalée... Ça ronronne ma bonne dame !
Je ne vais pas m’étaler sur le Pétillant qui peine à imposer ses mesures d’économie face à un PS franchement dubitatif, à tel point que le Figaro titrait aujourd’hui « la confiance ébranlée »… Bill Clinton aussi, au temps de l’affaire Monica Lewinsky, mais en deux mots et quelques taches…
Toujours dans le domaine des farandoleurs, la Garde d’Esso tente d’éteindre l’incendie des Greffes en arrosant de bonnes paroles les greffiers en grève depuis près d’un mois, leur promettant des revalorisations de salaires qui apparemment, n’étaient pas volées… Ne vous affolez pas, elle a décider de considérer la situation en étant en mesure de proposer une évolution substantielle de leur grille indiciaire… Bah, de belles paroles, mais attendons les actes…
Encore une petite avec le Redresseur Productif, qui fanfaronne que le dossier Alstom n’est pas plié puisque le Gouvernement a été entendu… Entendu, peut-être… Ecouté, ça c’est bien moins certain…
A l’attention de ceux qui ne peuvent démarrer la journée sans avoir englouti des quantités phénoménales de nourriture : avant de vous préparer vos œufs brouillées, méditez cette mésaventure survenue à un septuagénaire qui a fait exploser sa maison à Anglet en allumant sa gazinière pour préparer son petit déjeuner… Heureusement, il s’en tire avec quelques blessures légères et une belle frayeur… Encore un drame des haleines matinales trop chargées…
Hier encore perçue comme la panacée universelle, la cigarette électronique risque d’être bientôt interdite dans certains lieux publics, à l’initiative de la ministre de la santé, Marisol Touraine et son regard de lapinou sous ecstasy… Si l’e-cigarette est inoffensive, pourquoi chercher à l’interdire ? Comme dirait Anne Roumanoff, on ne nous dit pas tout !
Vous dirais-je tout concernant l’anniversaire de la mémoire du jour, 30 avril ? Voire ! Puisque nous sommes à la veille de la semaine sainte pour les Eurofans, le Concours Eurovision 2014 ayant lieu les 6, 8 et 10 mai prochains, je vous causerai Eurovision… Le 30 avril 1994, l’Irlande réussit, à domicile, l’impensable passe de trois et gagne pour la sixième fois (et le troisième année consécutive) le Concours avec une bluette ronronnante que tout le monde oubliera sitôt le concours terminé… Et c’est à partir de ce concours-là que l’on va s’interroger sur la pertinence de conserver un orchestre live… Les chansons évoluent, et restituer en intégralité des sons modernes avec un orchestre traditionnel relève parfois du challenge… Les candidates finlandaises, le duo CatCat, s’en souviendront puisque la rendu live de leur « Bye bye Baby » est une véritable catastrophe, alors que la version studio est acceptable. Si on y ajoute leurs tenues version nuisette pour saloon, et leur passage en seconde position (la position de la mort au concours puisqu’aucune chanson passant en deuxième position n’a gagné depuis1956 !), on comprend la déroute finlandaise, une décevante vingt-deuxième place sur vingt-cinq…
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