Cyril Hanouna bafoué ! Cyril Hanouna martyrisé !
Baba le Rassrah nouille-dans-le-slipé ! Mais au final C 8 libéré !
Oui, libéré de toute réserve, de toute prévenance, et qui
envoie chier toute la médiasphère sans aucune pudeur mais avec une impudence
qui choquerait le pire de libertins échangistes… Et qui nous rejoue la grande
scène de l’Acte II en pratiquant la stratégie de la terre brûlée par la voie
d’un communiqué pas piqué des hannetons qui a dû tirebouchonner les chaussettes
d’Olivier Schramek, le patron du CSA, qui a flanqué un bon coup de règle sur
les tiroirs-caisses de C 8 en interdisant la publicité pendant deux mois durant
l’émission-poubelle de la pelle à merde du PAF.
Non, mais ils ont pété un câble, chez C 8 ? Ils nous
ont fondu les plombs du tableau général d’alimentation, ou bien ? Ont-ils subitement
oublié qu’il convient de se montrer méga-lèche-derche avec le CSA ? Il est
de bon ton de critiquer son côté poussiéreux, son archaïsme et ses lenteurs
dans les dîners en ville, sur le mode du « off mais je vous le dis quand
même ». Mais il est impératif de déballer le lustrage de godasse quadruple
épaisseur avec finition manuelle dès que la chose devient officielle…
N’empêche qu’ils ont des couilles au cul (et connaissant les
chroniqueurs de Baba, ça m’étonnerait assez que ce soient les leurs) pour
pratiquer aussi inconsciemment la politique de la terre brûlée… Car le canal de
C 8 sur la TNT est un canal qui appartient à l’état… Qui n’en doutons pas est
chatouilleux sous les bras quand on commence à vouloir lui jouer des airs de
corridas avec ses castagnettes…
Quoi qu’il en soit, saluons chapeau bas l’extrême
promptitude (qui n’est pas un ségolénisme, car je tiens à la parfaite
exactitutionnalité de mon élocutationnement verbal) de la chaîne à réagir à la
sanction ; elle qui avait été nettement plus ramollie du slip pour
critiquer les prétendus sketches comiques de l’autre empaffé de la
couscoussière…
Oh je sais, je vous entends déjà glapir comme des pisseuses
prépubères qui se fêlent les cordes vocales à un concert de Soprano ou de Juste
Imbibé dans l’espoir secret de couvrir les bêlements du chanteur… Tiens d’ailleurs,
à ce propos, une incise : Pourquoi faut-il automatiquement que les jeunes
filles et les folles en devenir hurlent plus fort que l’interprète sur scène,
au point de ne plus rien entendre ? Bon, dans le cas de Maître Gims,
Christophe Maé ou Vianney, il est vrai que les hurlements hystériques sont plus
mélodieux…
N’empêche que je vous entends vagir comme des actrices moldo-slovaques
100% refaites pour se faire exploser la rondelle dans des films de boules
(vanille citron, pour moi, les deux boules) parce que je recours plus souvent
qu’à mon tour à des surnoms pour désigner nos politocards, nos journaleux, nos
demi-vedettes et total has-been, nos casse-noix et nos broute-pelouse…
Dans le cas de l’empaffé de la couscoussière, je reconnais
que la généralité du terme confine au fourre-tout tendance bordélique voire au
foutoir intégral façon fin de soirée « coke, naturisme et godes
surdimensionnés » chez Stéphane Bern.
Et pourtant, l’empaffé de la couscoussière, cela pourrait
bien être le Grand Doudou qui depuis Matignon peine à éteindre l’incendie qui
couve et ce, malgré sa grande lance et ses jets puissants… Car il a beau se
démener de la lance, il n’arrive pas à calmer cet incendie… Brigitte
aurait-elle le feu aux Pays-Bas en nous rejouant les volcans d’Auvergne qui se
réveillent après mille ans de sommeil ?
Foin de ce feu de paille qui n’a pourtant pas vu d’allumette
enflammée depuis des lustres et quelques candélabres ! L’incendie que la
grande cheminée de Matignon ne peut contenir, c’est l’embrasement social qu’on
nous prévend avec des mines catastrophées genre « Cyril Féraud a récité de
tête la table de multiplication par un et se retrouve en surmenage pour deux
mois ».
Ah qu’ils espèrent que les syndicats vont claquer la porte
des négociations avec la fermeté inébranlable au bout de la main, dans un
tohu-bohu général, nos scribouillards de tous poils ! Ils redoutent tant
de passer un été monotone, sans relief, à faire une demi-page sur la mycose
vaginale d’une ex-starlette de la chanson reconvertie en pique-assiette professionnelle
pour pince-fesse mondain, à noircir des lignes sur la température de la mer qui
monte, les dunes capagathoises qui bougent toutes seules grâce aux nudistes, les
glaces qui fondent au soleil et la chaleur qui diminue à l’ombre…
Ah, ils veulent de la baston, ils réclament du barouf, ils
souhaitent de l’inédit qui dégouline du sang d’innocents ? ils vont en
avoir !
Comptez pour cela sur Frédéric Lefebvre et Jean-Luc
Mélenchon !
Frédo Lefebvre, Lefebvre pas utile à droite puisqu’en
prévision de la probable branlée législative qu’il va se récolter, il préfère
sauver l’intégrité de son costard à trois mille boules d’éventuelles
projections et démissionne des Républicains. Et en profite pour déverser son
trop-plein de fiel en flinguant tout ce qui bouge à droite, ramassis d’ignobles
ou surnage parfois un quarteron de généraux sectaires. Une formule qu’il a dû
lire dans l’intégrale de Zadig et Voltaire…
Quant à lui, l’insoumis français, Méluche le Dézingueur
déglingo, il vide son sac, et ses dix-huit annexes tout au long de dix pages
dans un magazine qui décorera les chiottes avant même d’être défraichi. Petite
forme pour le courroucé de la Présidentielle qui vitupère mezzo voce sur Manu
(on ne sait jamais, après les législatives, si un remaniement faisait que…) et
ne décoche à l’endroit de pépère qu’un « pauvre type » qui trahit le
gros coup de mou de l’impétrant empêtré au premier tour…
La preuve, il reste convaincu qu’il aurait plié n’importe
qui au second tour, même Macron… Dites, on pourrait pas dire aux infirmières de
venir le chercher ? Il fatigue, là, visiblement…
Fatiguant, par contre, la liste sans cesse renouvelée des candidats
qui semblent tremper dans des affaires pas très nettes… Voire qui trempent
leurs affaires pas très nettes, à l’instar de François Pelletant, dans l’Essonne
qui est accusé de viol par son ancien amant, Hamdi, tunisien de 26 ans qui
semble-t-il n’aimait pas se faire cabosser la couscoussière par sa merguez
boulettes…
Et en parlant de ces amours qu’on continue à qualifier « plaisamment »
de contre nature, dirigeons-nous vers le plongeoir où nous attend dans son
moulebite ajusté le plongeur canadien Alexandre Despatie, qui se souffle sur la
bougie de son trente-deuxième anniversaire, puisque né le 08 juin 1985. Lui, il
a touché le fond de la piscine… Et Macron, il a touché le fond, déjà ?
Oui, mais on ne vous dira pas de qui…
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