mercredi 7 juin 2017

Brèves du 07 Juin 2017

« C'était le temps des fleurs,
« Où j'enculais ta sœur,
« Sur le divan de la salle à manger,
« Elle me disait: "Encore",
« Je comprenais "Plus fort",
« J'en pouvais plus !
« J'lui pétais l'os du cul ! »

J’entends déjà le Sarcophage’s Queenies Fan Club, le Cercle (élargi) des admirateurs hystériques de la célèbre loucheuse égyptienne, l’Orlando’s sister tarlouzes organisation et les amateurs de la roucouleuse de conneries à strabisme divergent (ce qui est louche pour quelqu’une dont le frère est presse-bite) ululer comme une meute de chouettes hiboux une nuit de pleine lune…

Comment oser dénaturer à ce point le chef d’œuvre insurpassable qu’était son interprétation roucoulophonique du « Temps des fleurs » ? Comment jeter l’opprobre, le stupre, la flétrissure de la pornographicitude sur les souvenirs émouvants et compassés des années où tout allait mieux que ça ne va actuellement ? Comment oser chanter que l’on pratique une intromission postérieure sans protection ni moyen de lubrification post-moyenâgeux sur une personne qui risquait de souffrir d’hémorroïdes, de verrues trouducutesques ou même d’adopter une allure donaldesque pendant une semaine ?

Comment faire montre d’une telle désinvolture et d’un penchant ridiculement marqué pour la gaudriole salace, les calembredaines grivoises et les réécritures lestes des chansonnettes du répertoire, alors que l’heure est grave, que la France a peur et que le monde tremble ?

Nous sommes en effet passés à deux doigts (parce qu’avec trois, ça ne rentre pas) d’un bouleversement mondial dramatique, façon effet papillon mais multiplié par douze millions deux cent soixante-quatorze mille huit cent vingt sept… On a failli avoir une française en quarts de finale à Rolland Garros… Heureusement, l’équilibre naturel a été respecté et notre petite française s’est faite sortir proprement sur terre battue (à son image)…

Si les français rament pour maintenir un niveau plus que minable en tennis, d’autres pays se donnent également un mal de chien à promouvoir certains sports injustement sous-évalués.

En témoigne le Premier Ministre canadien, Justin Troud’eau et sa jaquette flottante à la vue de notre manu hexagonal, qui a payé de sa personne pour lutter contre le réchauffement climatique, réalisant plusieurs longueurs en kayak sur le lac du Niagara, la pagaie bien en main… Nul doute qu’avec cette chose longue et dure en pogne, Justin a dû éveiller des rêves humides et des sensations de gonflements intempestifs dans l’entrejambe des garçons-coiffeurs de la Place des Vosges et de certains membres du staff élyséo-matignonnesque…

Si Justin Troud’eau rame, il n’est pas le seul…Moule à Gaufres aussi, nous joue le remake de D’Aboville face à l’Atlantique… Depuis sa volée de bois vert aux présidentielles, le ludion gnomesque du PS avait disparu des écrans radar et ne semblait plus vouloir y reparaître… Enfin, pas avant une chirurgie plastique totale et un changement de nom… Non content de s’être reçu une mémorable branlée avec finition dans les rideaux le 23 avril, Moule à Gaufres veut renouveler l’expérience aux Législatives, où il est d’ores et déjà en difficulté dans les Yvelines… Il doit aimer ça, finalement…Allez, Benoît, sors le fouet, il est sous le lit…

Lui aussi, il doit kiffer sa race et se ruiner un boxer moulebite Armani dès qu’on lui cause déconfiture électorale, déculottées électorale et marasme du parti… François Baroin, ce Harry Potter vieux avec sa voix de Barry White qui fumerait des Gitanes sans filtre (et je ne parle pas de pratiquer des fellations sur Kendji Girac), se flagelle encore avec le martinet trempé dans la décoction d’orties fraîches, avouant que la primaire a tué les Républicains (tant que ce n’est pas un arabe prénommé Omar qui l’a fait, ça reste acceptable) et prévoit même une branlée aux législatives… Si j’étais vous, je prendrais illico des actions chez Sopalin, m’est avis qu’ils vont faire des bénéfices records cette année…

Sopalin, voire la vaseline Ymatoumy, la velours de la rondelle, car le Gouvernement de Doudou semble tout disposé à nous la mettre dans les grandes profondeurs… Et quand on voit la grande cheminée qu’est le Premier Ministre, on est en droit de s’affoler de la taille du tisonnier…

On s’affole, on crie au loup, on s’ébroue autour de cette fameuse réforme du droit du travail, que le bambino à Bribri s’échine à vouloir faire passer par ordonnances, tel un toubib… En espérant que la pilule ne soit pas trop dure… En tout état de cause, la Ministre récuse tout plan caché… Ce qui signifie qu’il y en a un tapi dans les cartons et que l’on va sortir tel un lapinou du haut-de-forme une fois les négociations engagées…

Evidemment, Nicolas Ducon-Gnagnan, toujours dans la nuance, la demi-mesure, la retenue quasi-gênante pour les radioteurs qui l’interviewent, en fait des tonnes en glapissant la mort du salariat français…Tout juste s’il ne nous prédit pas le retour du travail de enfants et les 96 heures par semaine payées 39…

Tout autant dans la retenue et la finesse, l’ex à talonnettes qui ne perd jamais une occasion de se pousser du col et de répandre des hectolitres de cirage sur ses pompes. Confirmant à nouveau que la modestie n’était pas sa vertu cardinale ni sa tasse de thé, Sarko a affirmé si modestement que « Macron, c’est moi, en mieux ! »  Et il a raison… Y a au bas mot une bonne dizaine de centimètres en plus chez le Saint Honoré élyséen…

Des centimètres en plus chez le tambourineur de vieilles momies sarcophagées, et deux tétines supplémentaires chez les Clooney. Les jumeaux d’Amal et George « What Else » sont nés hier. Ella et Alexander sont carrément nés avec une cuillère en argent dans la bouche… Quant à savoir si c’est réellement George qui a fait péter la capsule Nespresso à Madame, ça…

« The party’s over » était l’un de ses titres eurovisuels qu’elle présenta pour le compte de son pays, les Pays-Bas. Trois fois néerlandaise eurovisuelle, Sandra Reemer, soixante-six ans aux groseilles à maquereaux flétries, a perdu sa bataille contre le cancer du sein… Oui, sa fête est définitivement finie…

Et le 7 juin 1973, Willy Brandt est le premier chancelier allemand à se rendre officiellement en Israël, reçu avec ses grandes chaussures (ou en grandes pompes) par Golda Meir qui vu les photos devait être surnommées Golda Mémère. Il parait qu’il a dit que le chauffage de sa chambre sentait le gaz, mais pour éviter le four, on dira que ce n’est qu’un détail…

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