« C'était
le temps des fleurs,
« Où
j'enculais ta sœur,
« Sur le
divan de la salle à manger,
« Elle
me disait: "Encore",
« Je
comprenais "Plus fort",
« J'en
pouvais plus !
« J'lui
pétais l'os du cul ! »
J’entends
déjà le Sarcophage’s Queenies Fan Club, le Cercle (élargi) des admirateurs
hystériques de la célèbre loucheuse égyptienne, l’Orlando’s sister tarlouzes
organisation et les amateurs de la roucouleuse de conneries à strabisme
divergent (ce qui est louche pour quelqu’une dont le frère est presse-bite)
ululer comme une meute de chouettes hiboux une nuit de pleine lune…
Comment oser
dénaturer à ce point le chef d’œuvre insurpassable qu’était son interprétation
roucoulophonique du « Temps des fleurs » ? Comment jeter l’opprobre,
le stupre, la flétrissure de la pornographicitude sur les souvenirs émouvants
et compassés des années où tout allait mieux que ça ne va actuellement ?
Comment oser chanter que l’on pratique une intromission postérieure sans
protection ni moyen de lubrification post-moyenâgeux sur une personne qui
risquait de souffrir d’hémorroïdes, de verrues trouducutesques ou même d’adopter
une allure donaldesque pendant une semaine ?
Comment faire
montre d’une telle désinvolture et d’un penchant ridiculement marqué pour la
gaudriole salace, les calembredaines grivoises et les réécritures lestes des
chansonnettes du répertoire, alors que l’heure est grave, que la France a peur
et que le monde tremble ?
Nous sommes
en effet passés à deux doigts (parce qu’avec trois, ça ne rentre pas) d’un
bouleversement mondial dramatique, façon effet papillon mais multiplié par
douze millions deux cent soixante-quatorze mille huit cent vingt sept… On a
failli avoir une française en quarts de finale à Rolland Garros… Heureusement,
l’équilibre naturel a été respecté et notre petite française s’est faite sortir
proprement sur terre battue (à son image)…
Si les
français rament pour maintenir un niveau plus que minable en tennis, d’autres
pays se donnent également un mal de chien à promouvoir certains sports
injustement sous-évalués.
En témoigne
le Premier Ministre canadien, Justin Troud’eau et sa jaquette flottante à la
vue de notre manu hexagonal, qui a payé de sa personne pour lutter contre le réchauffement
climatique, réalisant plusieurs longueurs en kayak sur le lac du Niagara, la
pagaie bien en main… Nul doute qu’avec cette chose longue et dure en pogne,
Justin a dû éveiller des rêves humides et des sensations de gonflements
intempestifs dans l’entrejambe des garçons-coiffeurs de la Place des Vosges et
de certains membres du staff élyséo-matignonnesque…
Si Justin
Troud’eau rame, il n’est pas le seul…Moule à Gaufres aussi, nous joue le remake
de D’Aboville face à l’Atlantique… Depuis sa volée de bois vert aux
présidentielles, le ludion gnomesque du PS avait disparu des écrans radar et ne
semblait plus vouloir y reparaître… Enfin, pas avant une chirurgie plastique totale
et un changement de nom… Non content de s’être reçu une mémorable branlée avec finition
dans les rideaux le 23 avril, Moule à Gaufres veut renouveler l’expérience aux
Législatives, où il est d’ores et déjà en difficulté dans les Yvelines… Il doit
aimer ça, finalement…Allez, Benoît, sors le fouet, il est sous le lit…
Lui aussi, il
doit kiffer sa race et se ruiner un boxer moulebite Armani dès qu’on lui cause déconfiture
électorale, déculottées électorale et marasme du parti… François Baroin, ce
Harry Potter vieux avec sa voix de Barry White qui fumerait des Gitanes sans
filtre (et je ne parle pas de pratiquer des fellations sur Kendji Girac), se
flagelle encore avec le martinet trempé dans la décoction d’orties fraîches,
avouant que la primaire a tué les Républicains (tant que ce n’est pas un arabe prénommé
Omar qui l’a fait, ça reste acceptable) et prévoit même une branlée aux
législatives… Si j’étais vous, je prendrais illico des actions chez Sopalin, m’est
avis qu’ils vont faire des bénéfices records cette année…
Sopalin,
voire la vaseline Ymatoumy, la velours de la rondelle, car le Gouvernement de Doudou
semble tout disposé à nous la mettre dans les grandes profondeurs… Et quand on
voit la grande cheminée qu’est le Premier Ministre, on est en droit de s’affoler
de la taille du tisonnier…
On s’affole,
on crie au loup, on s’ébroue autour de cette fameuse réforme du droit du
travail, que le bambino à Bribri s’échine à vouloir faire passer par ordonnances,
tel un toubib… En espérant que la pilule ne soit pas trop dure… En tout état de
cause, la Ministre récuse tout plan caché… Ce qui signifie qu’il y en a un tapi
dans les cartons et que l’on va sortir tel un lapinou du haut-de-forme une fois
les négociations engagées…
Evidemment,
Nicolas Ducon-Gnagnan, toujours dans la nuance, la demi-mesure, la retenue
quasi-gênante pour les radioteurs qui l’interviewent, en fait des tonnes en
glapissant la mort du salariat français…Tout juste s’il ne nous prédit pas le
retour du travail de enfants et les 96 heures par semaine payées 39…
Tout autant
dans la retenue et la finesse, l’ex à talonnettes qui ne perd jamais une
occasion de se pousser du col et de répandre des hectolitres de cirage sur ses
pompes. Confirmant à nouveau que la modestie n’était pas sa vertu cardinale ni
sa tasse de thé, Sarko a affirmé si modestement que « Macron, c’est moi,
en mieux ! » Et il a raison… Y
a au bas mot une bonne dizaine de centimètres en plus chez le Saint Honoré
élyséen…
Des
centimètres en plus chez le tambourineur de vieilles momies sarcophagées, et
deux tétines supplémentaires chez les Clooney. Les jumeaux d’Amal et George « What
Else » sont nés hier. Ella et Alexander sont carrément nés avec une
cuillère en argent dans la bouche… Quant à savoir si c’est réellement George
qui a fait péter la capsule Nespresso à Madame, ça…
« The
party’s over » était l’un de ses titres eurovisuels qu’elle présenta pour
le compte de son pays, les Pays-Bas. Trois fois néerlandaise eurovisuelle, Sandra
Reemer, soixante-six ans aux groseilles à maquereaux flétries, a perdu sa
bataille contre le cancer du sein… Oui, sa fête est définitivement finie…
Et le 7 juin
1973, Willy Brandt est le premier chancelier allemand à se rendre
officiellement en Israël, reçu avec ses grandes chaussures (ou en grandes
pompes) par Golda Meir qui vu les photos devait être surnommées Golda Mémère. Il
parait qu’il a dit que le chauffage de sa chambre sentait le gaz, mais pour
éviter le four, on dira que ce n’est qu’un détail…
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