- Alors mon
chou, comment c’est-y que ça va, vous ? Toujours bien calé dans votre
couilles-croisées de Playtex ?
- Si je vous
disais que j’ai tellement bien dormi que j’en ai les yeux en trou de bite, je
crains que ça ne vous flanque la révolution dans votre string fluo, mon cher
Guy-Louis…
- Des yeux en
trou de pine pour une tête de nœud, ça reste cohérent, vous savez…
- Et une
paire de réservoirs à ADN bloqué en fond de gorge après une rencontre violente
et brusque avec mon genou, ça vous paraît cohérent ?
- Mais
reprenez-vous mon chou ! Vous devenez violet et vous avez une chemise
jaune, ça va pas du tout ensemble ! Cristina vous le dirait que ça ne va
pas doutoumachérrrrrie !
- Dites, vous
voyez des brésiliennes partout, ou bien c’est la fréquentation de vos copains
du Bois qui vous perturbe ?
- N’empêche
que vous, vous êtes grognon comme un bouledogue à qui l’on vient de barboter sa
pâtée après huit jours de diète et de plats vegan…
- J’aimerai
vous y voir, après une nuit agitée et un nombre d’heures de sommeil en retard qui
ressemble au montant du déficit de la sécurité sociale…
- Oh moi vous
savez, un masque au concombre, un léger anti-cernes et un voile de fond de
teint et je suis la reine du monde…
- J’ignorais
que le voile était une couche de deux centimètres, mais enfin, glissons…
- Toujours aussi
urbain, gentil et agréable que Mélenchon quand il vient de se faire mettre en
boîte par un journaliste de droite…
- Détrompez-vous,
cher avaleur d’asperges-mayo. Ils vont tous se muer en un golem à mi-chemin
entre Chantal Goya et le Pays des Bisounours en vue de la Présidentielle… C’est
qu’il va falloir les charmer, les électeurs, va falloir ramer sec et forcer sur
les gros bobards pour les endormir, les pondeurs de votes, va falloir asperger
de vaseline et tartiner de lubrifiant pour la mettre profond aux électeurs qui
sont de plus en plus culs-pincés…
- Le chorizo
incandescent, sur ce plan-là, n’a pas laissé refroidir son robinet à conneries,
dites donc : il a déjà prévu un revenu universel oscillant entre 800 et
850 euros par habitant. Dites, la Principauté de la Vallserie, comme disait le
Petit Père Lénine, c’est la mythomanie plus l’électricité…
- C’est clair
qu’il s’est flanqué les doigts dans la prise façon Cloclo pour oser balancer un
truc pareil. Mais que voulez-vous, l’électeur de base est con, et en plus, il
croit le dernier qui cause…
- Mais il ne
faut quand même pas pousser la plaisanterie trop loin… Sinon vous vous
retrouvez avec une nuée de chiards que vous vous saignerez les quatre veines et
le portefeuille à éduquer pour qu’ils finissent voyous à délinquer dans un
parking glauque de banlieue dortoir…
- Oh vous,
vous avez regardé le discours de Flotte Mec sur le Charles de Gaulle…
- Il faut
quand même être intégralement secoué du siphon à eau de seltz ou militant
socialiste pour oser vanter de prétendus résultats impressionnants de la
campagne armée contre Daesh sans bouillir !
- Depuis son
discours de renoncement, où il a affirmé que tout allait bien en France, on
sait que Flamby est en roue libre. Alors, il va nous glorifier la fumette de
tarpé gros comme un plot d’autoroute (oui, ceux que fume Marifolle Touteraide
en cachette), il va proposer un partenariat avec la Corée du Nord (à moins que
ce ne soit celle de Huntington) pour la promotion du matériel de guerre en
milieu urbain, il va plaider pour une réintroduction des Diesels antérieurs à
1975 dans le centre-ville de Oh M’sieur le Groniqueur, si vous les aimez bien
grosses…
- N’imaginez
même pas me la montrer…
- Je vous
parlais de conneries, m’enfin ! Si vous les aimez bien grosses et juteuses
sous la dent, vous pouvez toujours vous faire servir le modèle Aurélie
Filipetti, entièrement désossable, garantie sans matière grise et garnie de
chevilles non-enflées : le vide-burnes à l’Habitat Montebourg l’affirme
avec une modestie bien mal feinte qu’elle n’a pas le fantasme de la Première
Dame. Ça tombe bien, ton mec n’est pas du tout le fantasme des électeurs, donc…
- Alors que
Sarkozy est le fantasme absolu de toute une frange de magistrats qui rêvent de
Talonnettes Man toutes les nuits… Sans succès, puisque le Nain de la rue du Faubourg
Saint-Honoré les a joliment plantés en snobant la convocation… Faut dire que
dans le gazon, on perd facilement sa trace…
- Un dont on
adorerait perdre la trace,surtout celle de pneu dans son calebut, c’est Hanouna,
qui n’en finit plus de déraper en live… Une vraie fusée soviétique en
perdition, l’abruti télévisé !
- Une drôle
de famille, tout de même, où l’on se touche le sexe pour faire rire la tablée…
On se croirait à la table vespérale d’une famille de ch’tis ordinaires…
- Les
tartines de maroilles dans le café au lait en moins, dieu merci !
- Sans ça, le
CSA aurait d’ores et déjà interdit l’émission…
- Silence
radio, ça ferait du bien…
- Un peu
comme les employés de maison de Cristiano Ronaldo…
- Il les
prend muets, la connasse en short, pour éviter qu’ils crient quand il leur
décrasse l’usine à Suchard sous pression ?
- Si
seulement ! La probable tafiole à slips mouleburnes siglés leur impose de
signer une clause de confidentialité les réduisant au silence jusqu'à 70 ans
après la mort de Ronaldo ou du dernier membre de sa famille. Pour vouloir les
museler à ce point, il doit se passer de drôles de trucs chez la portos.
- Ah ça,
quand il s’agit de se protéger, il met le paquet… Et pas seulement dans son
slibard !
- Tellement
gonflé qu’on croirait la liste des candidats à la primaire de la gauche… Il y a
un tel pléthore que j’ai bien vérifier que Michel « Anaha » Rocard soit
effectivement mort…
- Par contre,
Léon Blum serait assez tenté, Defferre en mouille sa couche Confiance modèle
Eddie Barclay, et Jaurès se tâte le Croissant…
- Pour
éclaircir les rangs, vu la frousse de la grippe aviaire, c’est simple : tu
te pointes rue Solférino, tu fais « cot cot atchoum », ben t’auras de
la place…
- Quel œuf vous
faites…
- Au moins,
moi, je ne fais pas dans le genre vieille poule, comme la sœur du plus célèbre
presse-bite de la profession discographique, vous savez, celle qui trouvait
toujours tout louche…
- Ah, la
grand-mère de Ramsès II, notre Dalida nationale, qui le 9 décembre 1978 obtenait
un disque d’or pour son medley disco « Génération 78 » gloussé avec
une tapette de concours, Bruno Guillain…
- Déjà à
cette époque-là, on recyclait les vieux trucs ringards…
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