vendredi 27 février 2015

Brèves du 27 février 2015

« Le temps ne fait rien à l'affaire,
« Quand on est con, on est con.
« Qu'on ait vingt ans, qu'on soit grand-père,
« Quand on est con, on est con.
« Entre vous, plus de controverses,
« Cons caducs ou cons débutants,
« Petits cons d' la dernière averse,
« Vieux cons des neiges d'antan. »

Le pornographe du phonographe nous ragale encore, plus de trente ans après son décès, de ses fulgurances osées, mais tellement vraies, sur nos contemporains… Mais n’en déplaise aux idolâtres de Georges, l’égrillard poète jamais pouet-pouet a oublié dans son énumération d’andouilles patentées quelques exemples, rares ou trop peu usités pour qu’on s’en souvienne…

Parmi eux, les andouilles qui débordent (les Converse), les abrutis susceptibles (les convexes), ceux qui vivent en sous-sol (les concaves), ceux qui ont gagné l’Eurovision (les comprimés), ceux qui sont portés sur la chose (les congénital), ceux qui sont battus (les convaincus), ceux qui aiment à se faire retourner (les contorsions)…

De peur de verser dans la catégorie des andouilles amateurs de lavande aspic (les connards), je prendrai bien soin de me tenir à une distance tout à fait respectable, et couramment désignée comme distance de sécurité, des futilités du jour qui il faut bien l’avouer nous gâtent avant le weekend, mettant en première ligne, comme à l’avant-scène d’un peloton d’exécution, une belle brochette de connards et de pouffiasses qu’on empalerait par la bouche avec délectation, juste pour le plaisir de ne plus les entendre dégoiser des billevesées connes à bouffer de la bite crue par paquet de douze…

La plus grosse revient sans conteste possible à Madonna… La plus grosse tête de courge, pas la plus grosse bite… Quoique… Elle a dû en dérouler, du câble, la Cicconne… Qu’il faut prononcer si-conne depuis son interview sur Europe 1, où l’on s’est indéniablement rendu compte que sa chute en plein Brit Awards avait laissé des séquelles non négligeables au ciboulot… Mémère a déclaré que l’intolérance en France lui faisait penser à l’Allemagne nazie… En plus d’être ripolinée tous les trois jours par la maison Botox, elle en a un sacré pèt au casque, la vioque…

Dans la longue énumération introductive, j’ai oublié de vous parler des cons centrés et notamment des enfoirés, qui sont un concentrés de cons centrés… centrés sur le pognon et leur petite gloriole… Leur dernière chanson, « toute la vie », une bouse inécoutable dont on ne voudrait même pas à l’Eurovision, s’attire les foudres du public, puisqu’elle donne l’image d’une jeunesse agressive, fataliste, et feignante… Un joli ramassis de beaufitude boursouflée, interprétée avec la conviction d’un plat de moules pas fraîches par des artistes à l’ego surgonflé, has-been démodés à la recherche d’une gloriole fut-elle éphémère, et prêts à se couvrir de ridicule et de peaux de bêtes sur scène, pour pouvoir faire bouillir la marmite… Bravo Goldman pour cette bien belle merde qui fusille la crédibilité déjà chancelante de ta bande de prétentieux… Et Coluche qui doit faire des loopings dans sa tombe…

Des loopings, on doit pouvoir en faire largement à l’aise sans crainte de se cogner à quoi que ce soit dans le cerveau, dussé-je dire dans la boîte crânienne, des illuminés de Daesh… Non contents de vouloir faire bénéficier le monde entier d’une merveilleuse évolution vers le bien qui nous conduirait à un nouvel âge préhistorique, ces folles furieuses ont proprement saccagé un musée irakien à Mossoul, détruisant des statues de grande valeur sous de vagues prétextes religieux… Tout en oubliant de mentionner qu’ils avaient vendu des antiquités de prix pour financer leurs opérations ignominieuses…

Je serais Ribéry (simple supposition et formule de rhétorique, je n’ai nullement l’intention de me réincarner dans cet avorton mononeuronal qui pense avec ses couilles), je me méfierais grandement des connasses en djellabas de Daesh… Même converti à l’islam (alors qu’il a lui-même une tête, et une réputation, de porc), j’aurais trop peur qu’ils prennent ma tête de Picasso nettoyé à l’acétone pour une représentation blasphématoire du prophète…

Qu’il soit caduc, jeune, vieux, vexé, centré ou déboulant des escaliers (le condescendant), le con typique le sera toujours moins que notre mètre étalon (encore qu’étalon, je ne sois pas allé vérifier sous les douches du Bayern de Munich) de la débilité footballistique, l’ancien mannequin pour crash-tests sur pare-brise, Frank Ribéry, Monsieur Tire-aux-putes… Notre Picasso redessiné par César sous influence baconesque veut prendre la nationalité allemande… Bonne nouvelle, ça fera toujours une andouille de moins en France… et une belle saucisse de plus pour Encula Merkel !

Le hic dans cette demande de naturalisation, c’est le test de langue… Enfin, le test de devoir parler en langue allemande, pas d’aller rouler une pelle profonde tendance auscultation des amygdales à l’examinateur ou trice… Déjà qu’en français courant et basique, il mérite la disqualification, alors je vous laisse imaginer en schleux…

J’aurais voulu la classer dans la catégorie des connasses indélébiles, incorrigibles, consubstantielles, irrécupérables… mais je ne sais où la mettre, cette folle à lier de récidiviste qui, dans l’Ain, a noyé puis congelé ses deux enfants, nés viables, en 2011 et 2012… J’entend déjà le fennec sous-alimenté Eric Zemmour tempêter que la France schusse vers sa décadence, que c’est pas au siècle dernier qu’on aurait vu ça,… Forcément, ducon, on n’avait pas de congélateurs en 1930 !

Et comme on parle de viandes froides, voici deux morceaux de choix, fraîchement arrivées : Pascal Brunner, l’animateur du mythique « Fasila Chanter », seulement âgé de 51 ans mais bouffé par le cancer et l’alcool… Et Leonard Nimoy, à l’âge de 83 ans, acteur américain qui remplaça sans grand succès un des personnages de l’équipe de Mission Impossible… et joua aussi un rôle obscur dans une série oubliée… il faut le Monsieur Spock de « Star Trek »…

Et le 27 février 1988, aux Jeux Olympiques d’hiver de Calgary, Alberto Tomba surnommé "La Bomba" en raison de son style explosif et de sa personnalité exubérante de play-boy sulfureux (le style italien quoi, tout dans la bouche, rien dans le slip), réalise le doublé en slalom en remportant le slalom géant et le spécial; comme l'avaient fait avant lui trois légendes du ski: Sailer en 1956; Killy en 1968 et Stenmark en 1980. Comme quoi, on peut être un bon con, ou avoir un con bon (pour ces dames)…

jeudi 26 février 2015

Brèves du 26 Février 2015

« Eh bien voila ! Mon cher et vieux pays… nous voila encore un fois face-à-face, alors que le tohu-bohu d’une chienlit qui est impossible à gouverner ; on ne gouverne pas un pays qui compte plus de 365 sortes de fromages ; laisse imaginer des lendemains peu glorieux où l’on ira renifler dans la gamelle peu ragoutante de l’incertitude… Françaises, français, même si vous êtes des veaux, même si la France entière est un pays de veaux, je vous ai compris ! »

Et là, évidemment, vous avez Tante Yvonne qui a une faiblesse, elle flaque comme une pucelle en chaleur le samedi soir au Macumba devant l’instrument de Riton Bellequeue ou comme un roumain au Salon de la Caravane, et elle nous salope le tapis du petit salon de la Boisserie… Le grand Charles s’en aperçoit, il envoie valser l’uniforme des dimanches, la vestouze, le futal, la limace, les grolles et les fumantes ; il affole le brushing à sa régulière, la renverse sur la bergère et il lui rejoue le Napoléon d’Abel Gance, triple écran son stéréophonique et couleurs en Kodachrome mercerisé, avec le lever des couleurs et le dépôt de gerbe final dans son monument aux morts, en gueulant « Vive la Quéquette libre ! » comme un soudard dessoudé et pas dessoûlé…

Evidemment, il est assez peu probable que le Général ait agi ainsi envers Tante Yvonne dont la discrétion était telle qu’il ne subsiste aucune archive publique avec le son de sa voix… Ce qui l’est quand même un peu plus, c’est l’appétence immodéré du grand militaire avec les étoiles dans le chignon pour les formules qui claquent, les expressions qui marquent et les exclamations qui foudroient…

Parmi les citations, axiomes et maximes passées à la postérité (mais perso, je préfère passer hériter à la Poste), le fameux « la vieillesse est un naufrage » que Charlie avait piqué à Chateaubriand…

J’ignore encore si Madonna (qui avec ses 57 balais hors taxes parait encore plus juvénile qu’à ses débuts voici plus de trois décennies) envisage de jouer dans le remake de Titanic, mais elle a failli sombrer hier soir aux Brit Awards où elle s’est payé une chute spectaculaire, due à une cape qu’elle n’a pu dénouer avant qu’on ne la tire… la cape, bien entendu ! Certes, elle a achevé sa prestation comme si de rien n’était, mais il faut remarquer que mémé prend de la bouteille… Avant, elle balançait sa petit culotte à Chirac… Maintenant, elle nous refait Nancy Reagan… Ô tempora, ô mores…

Naufrage de la vieillesse, surtout si on combine avec les tracas de l’âge le virus de la grippe saisonnière, qui est cette année beaucoup plus virulente que prévu. Et comme de coutume, le système de santé ne sait pas faire face… D’accord, il y a des moyens plus aisés pour réduire la charge des retraites et des charges, mais de là à faire passer les hôpitaux et les médecins pour des billes…

Néanmoins, il n’y a pas que la vieillesse qui s’échoue sur les rivages de la sénilité, voire de la débilité profonde… De jeunes personnes peuvent faire montre d’un aveuglement pathétique, voire d’une inconséquence crasse… Déjà qu’elle ne cassait pas des briques comme actrice avec son charisme de beignet pas frais, Marion Cotillard tente maladroitement de se reconvertir en Flambynette en Indonésie en tentant le louange à peine exagéré des qualités intrinsèques de Pépère… qui aurait, a en croire la cruche « un discours intelligent, réfléchi »… Ben voyons ! Question réfléchissement, le miroir a une sacrée avance sur toi, chérie…

Réfléchies, les magouilles fiscales de Mc Do qui se voit accusé d’avoir soustrait plus d’un milliard d’euros de recettes fiscales en Europe, grâce à des chausse-trappes d’optimisations fiscales luxembourgeoises… La technique des vases communicants… Ils alourdissent nos pèse-personnes avec leurs tranches de merde entre deux éponges grasses… Et ils allègent les escarcelles du Trésor Public…

Allégement également, mais lui nettement plus modeste, sur le front de la catastrophe de l’emploi… Où pour la quatrième fois en trente-trois mois de présidence hollandouillesque, le chômage a baissé ! Sonnez tambours, résonnez musettes, chatons laudes et complies ! Enfin, chantons meszzo voce, parce qu’à y regarder de plus près, à embrasser l’ensemble des chiffres, le taux de chômage aurait tendance à augmenter encore et toujours… Mais bon, faut bien asperger de poudre aux yeux les gogos électoraux en vue des départementales…

Et dans la veine lyrique du « je ne me sens tellement plus pisser que je m’en trempe le pantalon », le patron du PS a allègrement franchi les bornes des limites avec une formule fumeuse typiquement socialiste : « une hirondelle annonce le début de la fin de l’hiver »… C’est clair comme un tas de boue, hein ? On s’accroche à ce que l’on a, et face à une légère baisse, magouillée évidemment, on se doit de s’encenser grassement…

Puisqu’on parle de grasse, la tentation est trop grande de ne pas parler de la truie en visite au Salon de l’Agriculture… En repérage promotionnel pré-électoral serait plus exact, tant il est flagrant que les politiques quui se hasardent à se saloper les godasses de grands faiseurs à un smic la demi-paire n’ont que les prochaines élections en tête…

Pourquoi croyez-vous que le Nain est allé se prendre des pets de vache (il est à hauteur) dans le tarin pendant quatre plombes ? Imaginez-vous que le Tout Mou soit allé humer le parfum du lisier pour les beaux yeux des limousines ? Lui, il y est allé pour s’empiffrer en éclusant des godets de binouze et en bâfrant des kilomètres de sauciflard, des hectogrammes de fromton et des plâtrées de cochonnailles…

Et Marine se tape des petits fours au Salon, puisqu’elle sait qu’elle ne s’en prendra pas un dans les urnes le mois prochain… Les fours, décidément une tradition familiale… mais c’est un détail, visiblement…

Ce qui est visible, également, c’est le mimétisme frappant entre les différents responsables du Front Nationheil… Il est clair pour quiconque qui a suivi la matinale d’Inter ce matin que la mère Philippot imite le bouledogue blond dans son discours, ses postures, ses mimiques vocales, sa hargne, sa mauvaise foi et sa goujaterie vulgaire… un peu comme ces travelos hors d’usage de Chez Michou qui nous font Sheila et ses couettes alors qu’elle en est rendue au stade de poisson pané de chez Findus…

Dites, et si Marine, c’était Florian avec une perruque et des jupes ?... En tout cas, au niveau inculture, il n’a rien à envié à sa maîtresse… Balancer que des nazis sont à la tête de l’Ukraine… Pour quelqu’un qui a les œuvres complètes d’Adolf en livre de chevet, ça la fout mal… M’est avis qu’il s’est fait sucer par son mari, et que le cerveau est venu en même temps que la purée nazi-on-heil…

Faites claquez les talons des bottes parfaitement cirées, bombez le torse sous des uniformes vert-de-gris et des casques à pointes… Ce 26 février 1936, Adolf Hitler inaugure à Fallersleben, en Basse-Saxe l'usine KdF-Stadt (rebaptisée Wolfsburg par les Alliés en 1945) qui va fabriquer la Volkswagen Coccinelle, imaginée par le constructeur Ferdinand Porsche et prévue en trois versions : limousine, décapotable et cabriolet. La "Käfer" sera commercialisée à partir de 1938 et connaîtra un succès fulgurant. Tout comme le Führer, mais heureusement moins longtemps pour la gitane avec la mèche… 

mercredi 25 février 2015

Brèves du 25 Février 2015

« Kuin silloin ennen, silloin ennen
« Silloin ennen, on kaikki yhtä hyvin taas
« Kuin silloin ennen, silloin ennen
« Silloin ennen, on kaikki hyvin taas »

Est-ce le climat hivernal peu engageant qui vous donne envie dès la paupière entrebâillée de replonger immédiatement dans les bras de Morphée, ou est-ce d’une manière plus générale le contexte actuel qui n’est vraiment pas marrant, mais il est de ces jours où l’on se prend à regretter amèrement le statu quo ante, comme en ces temps, en ces temps où tout allait bien…

Ou, si vous pratiquez le finnois, ce qui est un véritable exploit linguistique digne de la plus admirative considération tant cette langue est d’un abord abrupt, âpre et parfaitement incompréhensible, « Kuin silloin ennen », tel que nous le chantèrent sur un rythme vaguement charleston revival Jarkko et Laura, les candidats de la Finlande lors que Grand Prix Eurovision 1969…

Oh bien sur, je ne vais pas vous rejouer l’éternel couplet du « cétémieuavan » que je sers plus que de raison en ces temps parfois troublés et indéniablement difficiles pour toute une frange de la population… mais tout de même…

Est-ce une raison suffisante pour se plaindre continuellement des charges salariales importantes, des charges mensuelles inamovibles, des honoraires qui ne rentrent pas, des affaires qui trainent et auxquelles on n’arrive pas à mettre un point final ? Je vous assure que parfois, y a des coups de tatanes au derche qui se perdent… Mais à quoi bon ? S’abimer les godasses ? Essayons plutôt d’être zen, de laisser pisser le mérinos, et advienne que pourra !

Zen, il faut désormais en tenir une sacrée couche pour le rester un tantinet lorsqu’il nous prend l’envie saugrenue d’ouvrir un quotidien d’informations générales, d’éclairer la radio ou la télé… A moins de nous servir la corde, le calibre ou la capsule de curare en prime, il n’y a guère plus anxiogène ou pessimiste que nos média actuellement…

Déjà qu’à l’habitude il n’entre pas dans la catégorie des gros déconneurs à nez rouge, langue de belle-mère et coussin péteur, mais là, Philippe Val se surpasse dans l’interview fataliste et déprimante… Selon lui, suite au flingage de Charlie Hebdo, les terroristes ont gagné… Parce que le journal est devenu un phénomène de société, une icône, une entité comme désincarnée… Comment survivre journalistiquement à cet enfermement dans le symbole… Pour le coup, Cabu and co sont morts une deuxième fois avec cet enterrement en règle…

C’est rassurant et franchement réjouissant de savoir que des drones survolent régulièrement la capitale et visitent des sites sensibles, sans que l’on ait la moindre idée d’où ils viennent, et de qui les pilotent… Et quand on sait que le gouvernement se veut rassurant… on a parfaitement le droit de ne pas être rassuré du tout !

Iront-ils jusqu’à nous faire croire que c’est Valoche Rottweiler qui s’amuse à espionner le Tout Mou alors qu’elle prépare le second tome de ses dégueulis sur papier ? Bah, ils sont bien arrivés à faire gober à une majorité de français que Flamby était l’homme qu’il fallait pour la France… A ce rythme-là, ils sont fichus de nous convaincre que Ribéry est la candidat idéal pour le prix Nobel de Littérature, tellement la routourne qu’elle va tournationner…

Un peu de positif dans cet océan de nouvelles tristounes ? C’est bien parce que je n’ai guère l’envie d’ouvrir le gaz de la cuisinière électrique que je vous la sers avec la célérité d’un go-fast sur l’A9 en revenant d’Espagne le coffre débordant de chnouff..

Un français a été élu meilleur joueur de handball du monde pour l’année 2014… Certes, il a un nom de hardeur hongrois et on connaissait plus ses appétences à parier sur les défaites ou les victoires de ses propres matches, mais Nikola Karabatic, outre son surnom de Costaud amplement mérité vu le physique de la bestiasse, a indéniablement une technique de jeu qui fait mouche… Surtout quand on se prend le ballon en pleine poire…

C’est à peu près le seul produit français qui vise juste… A la différence de nos Rafale qui, s’élançant du Charles de Gaulle mouillant au large de l’Irak, ont largué leur premières bombes sur les enturbanés préhistoriques de Daesh… Et ont mis à côté des cibles, comme d’habitude…

Bien que Pépère s’obstine à affirmer que tout va bien, que le chômage va baisser, que le pouvoir d’achat va augmenter, et que Steevy va se marier avec Adriana Karembeu, la crise économique est là, et comme le cancer se généralise et atteint jusqu’aux couches les plus aisées de la société… Après leur jet privé, les Schumacher se séparent de leur chalet norvégien, bicoque de trois planches de 645 mètres carrés sur un parc grand comme Monaco ou l’Andorre estimée à peine deux millions et demi d’euros… C’est clair que pour Schumi, le ski, c’est fini…

Et pour finir, comme on me l’a appris voici des années, il convient généralement de terminer par un point positif, quelque chose de sympa, voire marrant si possible… Eh bien, j’en ai deux… Points positifs, bande d’obsédés slipesques !

Le premier, c’est notre impayable Sinistre de l’Intérieur, Nanard Cazenave et sa tronche à découper les cierges, qui a lancé des pistes pour renforcer le dialogue avec l’Islam… Il va nous imposer de lire le Coran dans le texte et en arabe ? Il veut faire de la France une république islamiste où même les roues de vélos seront voilées ? Mais vous causez vous, aux cons intégristes ? Pas moi…

La deuxième, c’est la vanne décrochée par Sarko à Monsieur Petites-Blagues, qui avait lancé en plain Salon de l’Agriculture voici deux ou trois ans qu’on ne reverrait plus le nain… Et l’Ex, en visite aux Salon des Vaches qui bousent, des cochons qui puent et des chèvres qui pissent, d’ironiser en lâchant « encore une promesse non tenue »… Avec des politiques à ce niveau de nullité, pas étonnant que la blonde se prépare une avenue royale pour l’Elysée…

Et ce 25 février-là tombait un samedi… le temps était clair, il était six heures dix du matin… Le corps chancelant mais fier qu’on pousse sur la bascule… Un déclic, le bruit sourd du couteau… Le corps de Barbe-Bleue, couché sur le ventre, les mains liées derrière le dos, repose, coupé en deux, dans une boîte de sapin, où on l’a versé avec le son et le sang du panier des suppliciés… Ce 25 février 1922, Henri-Désiré Landru est parti en emportant son secret… C’était, comme il le confia à son avocat « son petit bagage »… Onze meurtres… Il a dû douiller, question excédent de bagages… 

mardi 24 février 2015

Brèves du 24 Février 2015

« Eu voltarei p'ra ti, voltarei p'ra ti
« Esperarei por ti
« Voltarás p'ra mim? »

Si, par le plus grand des hasards, et l’aide d’une pelleteuse hydraulique montée sur vérins hydropneumatiques télécommandés par câble blindé, vous vous trouviez avec les portugaises ensablées ; ce ne serait au final que par la plus normale des casuistiques…

En effet, ce volapük imbitable que je vous imposai voici quelques lignes est du lusitanien pur vinho verde, en importation directe depuis le pays des valoches en carton, de la queue de morue bien raide et femmes à moustaches… Et c’est la sympathique, mais velue, Dora qui interprétait ce « Volatrei » (je reviendrai) au Concours Eurovision 1988, finissant dans les tréfonds inhospitaliers du classement…

Je reviendrai, je t’attendrai, reviendras-tu pour moi ?, chuintait en substance la compatriote de Linda de Suza, la bouffeuse de tondeuses qui est capable de perdre dix kilos en s’épilant sous les bras…Et il est des retours qu’on souhaite, et d’autres qu’on espère pouvoir différer jusqu’aux calandres grecques (eh oui, les calandres, et pas les calendes, puisque nos amis hellènes ont déjà inventé le rétroviseur pour pouvoir reconnaitre les copains qui viennent leur en mettre un coup dans le Pays-Bas…).

Si l’on n’est pas forcément pressé de voir revenir les jours mauvais hivernaux, le tiers provisionnel, le dernier Marc Lévy, le retour d’âge, celui de Mireille Mathieu ou encore celui discographique de Zaz, la craspec qui graille des inepties navrantes avec une classe digne d’une pute éculée dans un trente-huit tonnes rose fluo ; on éprouve une légitime impatience dans l’attente de la tante (qu’elle soit la sœur de l’un de vos parents ou la frangine à Steevy), d’une naissance ou d’une renaissance…

Comme celle annoncée à grands renforts de cymbales, trompettes, mirlitons et autres vuvuzelas, de Charlie Hebdo, un mois et demi après la séance de ball-trap grandeur nature… Ce canardage en règle par des connards enturbanés a semble-t-il mis du plomb dans la cervelle des journalistes puisqu’ils évitent l’enculé djihadiste en couverture… Faut dire que Marine, Sarko, le Pape, un grand patron, le micro de BFM, ça faisait déjà pas mal d’ordures en couverture… Fallait pas exagérer, ça frisait la gourmandise…

Tout revient plus ou moins à la normale, notamment avec cette grosse gourmandise coupable s’apparentant aux délices de Capoue pour l’exécutif, une chute schussesque de Pépère et du Pétillant dans les sondages de popularité… Conséquence prévisible de la calamiteuse conférence de presse du Tout Mou et du dégonflage du soufflé « Je suis Charlie » qui avait valu au duo de comiques de l’exécutif une double érection passagère, dans les sondages et dans le slip…

Mais il est à parier mille contre un que notre Premier Sinistre va nous faire le coup du Tout va très bien Madame la Marquise… Et le pire, c’est que tout va effectivement très bien… Paris est survolé par cinq drones qui visitent des sites sensibles, et tout le monde trouve ça parfaitement normal ! On nous emmerde la vie quotidienne avec des dispositions discutables du plan Vigipirate, et on laisse des bidules volants batifoler tranquilles dans le ciel de la capitale… Je vais bien, tout va bien !

Tout va bien, surtout au Parti Socialiste, dans le meilleur des mondes possibles, dans un climat d’une sérénité édénique où l’on entend parfois siffler des balles de 22 long rifle tirées à bout touchant, s’ouvrir des chausse-trappes inédites et craquer les omoplates entre lesquelles s’enfoncent des poignards aiguisés comme des couperets de bouchers…

Selon que vous êtes cacique du parti ou simple badaud qui regarde l’agitation rue de Solferino, vous direz que le Bureau National de ce soir sera l’occasion d’une franche explication, ou d’une engueulade avec remontage de bretelles sévère à l’égard des frondeurs qui, il faut bien le reconnaître s’ingénie à chier dans les bottes de Flamby qui, décidément, n’a pas besoin de ça…

Déjà qu’il a son premier sinistre qui lui fait honte avec une politique de droite que même Sarkozy, il n’aurait pas osé mettre en place une telle catastrophe, il faut au surplus qu’il se prenne dans la trombine les vacheries cinglantes du Redressé Productif, apparemment encore sonné par son miroir amerloc, qui dit craindre 800.000 chômeurs supplémentaires à la fin du quinquennat… Seulement ?

Et comme un fait exprès, histoire d’en mettre une deuxième couche pour qu’en sente parfaitement le goût du fruit, Jean-Claude Mailly, de FO (Feignasses Oisives), craint un possible 49-3 social… Tant que ce n’est pas un 69 qui finit en l’ayant bien profond quelque part…

Apparemment, ce nantais de 28 ans était un adepte du grand penseur sexologue japonais Imatoumi, puisqu’il aurait reconnu vingt-et-un moutards, de dix-neuf mères différentes… Je veux bien qu’on s’emploie comme on peut à redresser la courbe de la natalité, mais faut quand même pas exagérer… Et en plus, il se fait mettre en examen pour reconnaissance de paternité à des fins frauduleuses, les dames ayant grâce à cette reconnaissance obtenu un titre de séjour… Franchement, y a plus de reconnaissance pour les affolés des burnes !

En parlant d’affolé des burnes, j’avoue que je la trouve quand même trop grosse pour être vraie, mais je ne puis résister au plaisir de vous la sortir… Frank Ribéry, le Picasso du football français a été hospitalisé la semaine dernière pour un intoxication alimentaire… Le tireur aux putes aurait mangé des perles de bain en lieu et place de Dragibus, bonbons dont il raffole… Aveu de l’andouille patenté : « je me suis rendu compte de mon erreur au moment où j’ai commencé à faire des bulles en parlant… Cela m’a mis l’anus à l’oreille »… L’anus à l’oreille… forcément, pour une face de cul pareille…

Et le 24 février 1994 décédait celui que l’on avait surnommé le chanteur sans voix, ou le « petit qu’à l’son court », car il avait été le premier à se servir d’un microphone sur scène en 1936. Jean Sablon partait roucouler avec les anges à l’âge de 87 ans, nous léguant un nombre considérables d’enregistrements, d’où surnagent quelques créations de Mireille et Jean Nohain, ainsi que les insubmersibles « Je tire ma révérence » et « Vous qui passez sans me voir », chanson que Bouvard faillit adopter comme titre pour l’une de ses émissions… « Vous qui passez sans me voir »… forcément, il est trop petit…

lundi 23 février 2015

Brèves du 23 Février 2015

Et bailler… et dormir… Si vous saviez comme j’ai pensé fortement à cette paresseuse chanson interprétée par Eddie Constantine en 1956 avec son inimitable accent yankee parfumé au chingue-homme ce weekend…

Certes, j’en ai profité éhontément pour ronfler comme un sonneur et tenter de récupérer les heures de sommeil qui font virer mon compte couette courant à l’écarlate rougissant…

Mais ce n’est pas à cette coupable mais si agréable activité qui consiste à écraser l’oreiller et faire corps avec la couette que je fais référence mais à une action qui dans le cas d’Eric Dussart devient une profession…

Si vous trouvez quelque chose de plus soporifique, de plus monotone, de plus chiant que la Cérémonie des Césars… vous serez forcément de fieffés menteurs mythomanes affabulateurs… Ça n’est tout simplement pas possible… L’académie des Césars, ce sont les chiantologues…

Et on se fade cette grand-messe de la faucuterie, du remerciement interminable et du sourire de commande depuis quarante ans ! Depuis vendredi soir, je cherche en vain une quelconque utilité à la Cérémonie des Césars…

Mis à part celui de vous faire pioncer dans les quinze minutes qui suivent l’ouverture de la cérémonie, je ne vois vraiment pas… Inutile de lutter contre l’irrépressible envie de roupiller qui s’empare de vous pour admirer les toilettes et les mini-discours précédant la remises des distinctions… On se croirait dans un remake du Miel et des Abeilles avec des costumes directement issus des surplus des invendus invendables d’Emmaüs…

Vous pouvez ne pas vous dispenser de sombrer dans la narcolepsie sévère pour échapper à la désespérante présentation neurasthénique d’Edouard Baer, dont on se demande s’il est en cure de désintoxication, ou s’il a fini le sachet de chnouff de la production (eh oui, nous étions sur Canal +)… Il faut vraisemblablement être un esprit formaté à l’esprit Canal, et être capable de se masturber sur les pages critiques théâtrales de Télérama pour concéder un sourire de complaisance à ce soliloque navrant…

Quoi qu’il en soit, j’ai bien ronflé devant ma télé vendredi soir… Décidément, la télévision française est soucieuse de notre bien-être en ce moment… Elle se préoccupe de nous pousser à sortir de chez nous en programmant les Victoires de la Musique, elle se soucie de notre quota de dodo avec les Césars… Elle pense même à réguler notre transit intestinal en programmant plus que de raison les Anges de la Téléréalité versus les Concons de Cancun…

Et dire qu’outre-Atlantique, les Oscars offrent un show à l’américaine (forcément) chronométré à la seconde, enchaînant mots d’esprit parfois rêches pour les victimes, grosse rigolade, saynètes faussement improvisées… Bref, Césars et Oscars, c’est la même chose que le gala de Prosper Deburnes à la Salle Polyalente Marcel Minard de Trifouillis Sur Rance et le show Mylène Farmer à Paris Bercy…

Il était franchement conseillé d’hiberner sous la couette ce weekend, notamment si vous aviez projeté de vous rendre aux sports d’hiver… Outre la quasi-certitude de paumer un de vos gants dernier cri et de ramener le dernier avec une fracture de la cheville parce que ce petit con s’est pris pour la réincarnation d’Edgar Grospiron, vous auriez dû vous coltiner les dantesques bouchons dus à une météo détestable… Mais également à l’inconscience crasse des automobilistes, toujours aussi prompts à râler des très délicates conditions de circulation…

Et perso, je collerai des beignes sans relâche à cette pouffiasse qui ronchonnait parce qu’elle avait mis seize heures depuis Bordeaux pour rejoindre les Alpes, avec trois gamins dans la guimbarde, et « sans nourriture ni eau »… Quand on fait un long voyage, a fortiori avec des mioches, on prévoit automatiquement de la flotte et des biscuits… Connasse !

J’aurais bien voulu employer le même adjectif, mais en version masculine, à l’égard de ce père sexagénaire qui écope, vu l’ancienneté des faits, de seulement trois mois de prison avec sursis pour avoir pendant un an violé son fils de treize ans… sous prétexte que l’ado le draguait… Le seul qualificatif qui convienne ici, c’est bien plutôt « enculé » !

Toujours dans la même veine, ces six jihadistes présumés que l’on interdit de sortie du territoire national…Alors qu’ils pourraient aller se faire exploser la tronche en Syrie ou Dieu sait dans quel autre bled minable… Non, on préfère les garder bien au chaud pour qu’ils butent encore du dessinateur à la chaine, ou du casher cash…

Remarquez, quand nos neuneus s’exportent, ce n’est guère plus brillant… Prenez pour exemple Montebourg… Le redressé productif (surtout avec Aurélie Filipetti) qui était parti roucouler à New York aux frais de la princesse a fini à l’hosto parce qu’il s’est pris un miroir sur le coin de l’œil… Faut le comprendre, le miroir… Tant de charisme, tant de bogossitude, tant d’intelligence… Il n’était pas habitué à autant réfléchir, et crac ! Il en est tombé dans les pommes… et sur sa pomme !

Des pommes, il en a certainement englouti au kilo, tout comme des dizaines de rondelles de sauciflard, des cubis de piquette dont on n’allumerait même pas le berbeuc avec, des tartines de fromages qui puent et de beurre qui schlingue, dans la chaleur moite et oppressante dégagée par des laitières imposantes, l’odeur du suif qui vous soulève les tripes et la senteur délicate du crottin équin tout juste chié… Notre Pétillant était allé tâter le cul de svaches au Salon de l’Agriculture, histoire de se crotter les Berlutti et s’humecter le costard d’odeurs de purin… Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire, pour éviter de se prendre une trop grosse branlée aux Départementales…

Si certains candidats aiment à se faire reluire le cannelloni à béchamel, seul, ou accompagné par quelques co-pines, c’est sans nul doute le moment idoine pour se prendre la plus belle roustasse de l’histoire… Avec des intentions de votes à 30 % pour le FN, les partis traditionnels serrent tellement les fesses qu’ils risquent l’occlusion intestinale… Tandis que la blonde et Mademoiselle Philippot se marrent et contiennent à grand-peine leur futur orgasme électoral…

Une autre branlée, le 23 février 1981, pour le lieutenant colonel de la Guardia Civil Antonio Tejero, nostalgique du régime franquiste, qui a tenté un coup d’Etat en prenant d'assaut le Congrès des députés à la tête de deux cents gardes civils espagnols. Le but de ce putsch était de faire vaciller le roi Juan Carlos et revenir au franquisme en restaurant un régime dictatorial. Le discours nocturne de Juan Carlos, avec tout l’attirail militaire et deux kilos de médailles sur le plastron, réduit les chances de Tejero à néant… Décidément, les généraux en retraite, français ou espagnols, en quarteron ou pas, ça foire toujours leurs initiatives… Leur côté militaire, sans doute…

vendredi 20 février 2015

Brèves du 20 Février 2015

« Wat een geluk dat ik een stukje van de wereld ben
« Dat ik de wijsjes van de sijsjes en de merels ken
« En dat ik mee mag doen met al wat leeft
« En mee mag ademen met al wat adem heeft »

Quelle chance d’être une petite pièce de ce monde, de connaître les chants des serins et des merles, de pouvoir me joindre à tout ce qui vit, et de pouvoir respirer avec tout ce qui respire…

Mon cher Rudi Carrell, vous qui fûtes en 1960 le représentant batave au Concours Eurovision de la Chanson Européenne, même si vous aviez sur la scène londonienne l’élégance d’un porte-manteau, le charisme d’un polder desséché et la trombine de Ribéry jeune fille, vous possédiez au minimum le mérite d’enfoncer des portails largement ouverts des lieux communs les plus éculés…

Ah, comme on est bien dans ce monde de siphonnés, entourés de pétasses emperlouzées cocotant la naphtaline concentrée, de crétins avinés qui vous ventilent leur halitose carabinée sous les narines à huit heures du matin, de politiciens poly-tocards qui s’accrochent à leurs fonctions comme des moules à leur rocher, de suce-boules patentés qui pour certaines professions libérales prennent le nom de clients…

Comme on se sent à l’aise parmi ces enturbanés qui ne rêvent que de se faire péter la couenne entouré de public et d’explosifs pour espérer forniquer soixante-dix vierges éternellement (et si c’était soixante-dix verges à la place ? hihihi), ces nostalgiques en talons cloutés, casque à pointe et pardessus vert de gris qui prient pour un grand soir de solution finale avec un méchoui géant où crépiteraient les merguez, les boudins noirs, les nez crochus et tous les rastaquouères à tête pas catholique….

Comme on atteint le nirvana de la satisfaction quotidienne face à ces amputés de la jugeote qui braillent des âneries avec la ferme conviction de détenir la vérité ultime, ces excisés du cervelet qui béent d’admiration devant les barbarismes sidérants des neuneus d’une téléréalité abêtissante, ces lobotomisés de la politesse qui rotent en public suffisamment fort pour que le pâté de maison sachent qu’ils ont mangé lourd à midi, pètent au lit suffisamment mauvais pour transformer la couette en tanière de sconse mal aérée, ces connasses qui s’imaginent créancières indéfinies de l’Etat et de tous ses subsides simplement parce qu’elles s’amusent à repeupler le pays avec autant de pères différents que de coups de bite qu’elles ont pris dans l’usine à merdouzets…

Sérieusement, vous vous sentez parfaitement à l’aise dans vos santiags, vos ballerines Louboutin à 300 boules la paire, vos tongs ou vos babouches, quand vous apprenez que, selon les dires d’un prédicateur saoudien, la terre ne tourne pas ? Ben oui, selon cet empaffé de la corne de gazelle, si la terre tournait, les avions pourraient attendre leur destination en restant stationnaires… Une chose est sûre ; si les connards volaient, il serait inévitablement chef d’escadrille…

Et ça, encore, c’est gentillet… Dans la catégorie supérieure, c’est les illuminés de la merguez de l’Etat Islamiste qui menace d’un chaos en Méditerranée, en envoyant 500.000 migrants en Italie sur des bateaux fantômes s’il y avait une intervention militaire en Libye… Tant qu’ils continuent à fumer de l’afghan sous pression, je propose de leur envoyer des cargaisons entières de sauciflards pur porc, des containers remplis de choucroute alsacienne, qu’on ferait exploser à proximité de ces nids à ravagés du bulbe…

Restons un instant encore chez les creux de la boîte cranienne, avec ce futur conducteur audois qui promet… Le boutonneux de 17 ans qui se paluche dans les toilettes devant un poster de Miley Cyrus a été contrôlé à 169 km/h sur l’autoroute, alors qu’il est « conduite accompagnée », avec ses parents comme passagers… La preuve par neuf est faite que oui, la connerie est congénitale…

La preuve, c’est que les générations de dépités qui se succèdent sur les bancs de l’Assemblée ne gagnent pas en sagesse ni en sérénité… Le lamentable pschitt de la motion de censure contre la Loi Macaron ne fait pas grandir l’image déplorable de nos politocards… Mais le coup de semonce tiré par l’opposition a suffisamment fait peur au Flamby’s lonely socialo branquignol band pour qu’ils ne se gargarisent que très modérément de leur victoire à la Pyrrhus…

Et ne pas entendre les habituels casse-oreilles de la majorité se faire reluire la brosse sur leurs habits bien crottés, c’est un luxe non négligeable qu’il serait ridicule de snober…

Cependant, snobez de toute l’énergie qui subsiste en vous en ce vendredi pour éviter l’annuelle, interminable et insupportable Nuit des Césars. La quarantième remise de gloriettes dorées sera encore une fois l’occasion de discours interminables autant que somnifères de subalternes chiantissimes, de dorages de pilules éhontés vis-à-vis de vieilles gloires du cinéma muet, de léchages de bottes révulsants des acteurs et actrices soi-disant les plus bankables du moment…

Si vous voulez voir de la grosse vache, de la vieille chèvre, du jeune loup ou de la crevette frétillante, autant visiter ce week-end le Salon de l’Agriculture… Au moins vous n’aurez pas à vous fader de discours lénifiants, de chansons de Zaz et de blagues vaseuses d’Edouard Baer…

Bref, un apaisant retour à la terre dans les odeurs de bouse fumante, de paille fraîche, de suif tiède et de bouc en chaleur pour attendre sereinement le 21 mars et la très attendue marée du siècle… Son importance devrait être d’autant plus fort que le nombre de spectatrices flaquant suite à la vision de « 50 shades of Grey » croît de jour en jour…

Et le 20 février 1989, s’éteignait après trois semaines de coma consécutives à une tentative de suicide par défénestration la chanteuse Betty Mars, à l’âge de 45 ans seulement, oubliée du métier et naviguant dans les bas-fonds de la vie sentimentale. Chanteuse dont la voix rappelait nettement celle d’Edith Piaf, ayant débuté comme meneuse de revue à L’Alcazar, Betty Mars avait représenté la France au Concours Eurovision 1972 avec la chanson « Comé comédie », une rengaine réaliste poussiéreuse qui sonnait comme une antiquité l’année où le courant pop déferla sur le Concours… Comme quoi, parfois, la vie n’est pas toujours une comé comédie… 

jeudi 19 février 2015

Brèves du 19 Février 2015

Non, mais ils connaissent pas Manu, ces caves ! Ah ça, ils vont avoir un réveil pénible, les grumeaux du Palais Bourbon… J'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule… Y sont complètement fous ces mecs. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je me vais te leur faire une ordonnance, et une sévère… Je vais leur montrer qui c'est Manu McRond. Aux quatre coins de Paris et de l’hémicycle qu'on va les retrouver, éparpillés par petits bouts, façon nanotechnologies. Moi, quand on m'en fait trop, je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile ! Namého dis donc, j’suis quand même pas venu pour beurrer les sandwichs !

Messieurs les dépités, de la majorité provisoire, de l’opposition, de la branche des frondeurs socialo, ou d’ailleurs, soyez gentils… Ne nous énervez pas plus notre Manu national… Déjà que le pauvre chéri fait un caca nerveux de voir son bordélique projet de loi fourre-tout et sert-à-rien sur le point d’être retoqué par le représentation nationale, si en plus le recours à l’article 49-3 signe le glas de la parenthèse socialiste à Matignon… Il va vouloir se les prendre et se les mordre…

C’est le feuilleton à la mode du moment, et à la différence des séries qui ont fait les beaux soirs de nos années quatre-vingt, et qui sont depuis lors multirediffusés sur les chaînes du câble pour les couche-tard ou les lève-tôt, on en connaît les tenants et les aboutissants… voire même le résultat à l’avance…

En 1982, les français se posaient avec insistance la question de sa voir qui avait tiré sur J.R. … Vingt ans plus tard, on ne se questionnait plus guère de savoir qui n’avait pas tiré Loana dans le Loft… Et aujourd’hui, on n’a pas envie de savoir l’attendu dénouement de la motion de censure déposée par les députés de droite…

Le résultat devrait être négatif, ce qui signifiera qu’on devra sa fader la loi imbitable de l’autre sifflet suffisant, et qu’on conservera le tandem d’incapables gouvernementaux jusqu’en 2017… Youpi !

Il y avait cependant d’autres manières de commettre un plagiat bien pâle du déjà très falot bouquin pseudo-cochon et de la séquelle cinématographique qui est sur toutes les lèvres actuellement… Le titre de la tragi-comédie du moment ? 49-3 nuances de gré… ou de force… Starring Emmanuel Big macaron…

Bon, si vous voulez quelque chose de véritablement plus émoustillant, du genre à vous faire flaquer un bon demi-litre ou vous faire essuyer dans les rideaux dans les cinq minutes, je vous conseille évidemment le bio-pic des ébats sexuello-hôteliers de DSK, la tige turgescente du Carlton…

D’accord, ce doit être plutôt désagréable voir des journalistes mettre sur la place publiques, dans le détail et avec les photos, ses pratiques sexuelles, qui par définition, doivent rester dans la sphère de la vie privée, voir intime… Vous aimeriez que les téléspectateurs du journal de la Deux sachent que vous prenez un panard monstrueux en cuissard de latex, les deux pieds dans un bol et le tisonnier à la main ? Ça vous émoustillerait de vous voir en Une de Voici roulant un patin de voyou à une pétasse qui n’est pas votre régulière ?

Si vous vous appelez Dodo la Sodo, c’est probable…

Allez, le nouvel épisode de la série « 49-3 nuances de gré ou de force, contre le radiateur ou sur le lavabo » est en cours à l’Assemblée… Son titre ? Y a-t-il encore un pilote dans l’avion ? Avec la phrase choc de Christian Jacob : ce n’est plus vous qui pilotez… Ah bon ? Parce qu’il a conduit autre chose que son scooter, Flamby ?

Déjà, Fillon avait lâché la première salve ce matin, au micro d’Inter en estimant que Pépère se devait de dissoudre l’Assemblée Nationale, puisqu’il avait été élu sur un mensonge… Le Tout-Mou est con, mais pas au point de renvoyer les dépités devant les électeurs… La gamelle rose que les socialos se mangent à chaque élection devrait alors résonner dans chaque recoin de France… S’il aime se faire fouetter par Julie Gayet avec son casque de scooter et un croissant enfoui Dieu sait où, je doute qu’il ait envie de se prendre une branlée publique et nationale…

Qu’importe ! Soit il donne parfaitement le change à cette situation de merde qui ferait passer une station d’épuration pour le nouveau Gstaad, soit il est complètement con et déconnecté des plus élémentaires réalités… Monsieur Petitesblagues persiste et signe… démontrant qu’il peut etre d’une certaine cruauté… Alors qu’il décorait Patrick Modiano de la Légion d’Honneur, Flamby a cru bon de préciser dans son discours de cire-pompes qu’il était écrivain et qu’il le disait « pour ceux qui n'ont pas connaissance de vos ouvrages »… Torpille en direction de Fleur Pellerin lancée… Elle a dû rire jaune…

Rirons-nous jaune avec le plan de lutte contre la radicalisation en prison, que doit présenter sous peu la tata des tatas, la Garde d’Esso qui a annoncé en grande pompe la création de cinq quartiers dédiés dans des prisons pour les enturbanés qui entendent monter la merguez aux paumés de la religion… Un de plus, et l’on aurait ululé à l’état policier…. Avec de telles mesures, les siphonés de l’Etat Islamiste vont se faire dessus de trouille… Encore une réussite flagrante de notre Garde des Sots…

Réjouissons-nous toutefois, puisque c’est aujourd’hui le Nouvel An chinois… Et nos amis les faces de citron entrent cette année dans l’année de la chèvre… La chanson française va être à l’honneur…

A l’honneur également, à moins que l’on ne décide de noyer le bébé avec l’eau de la baignoire, ces soupçons de financement douteux du FN… Ce à quoi le bouledogue blond répond d’un claquement de talons qu’ils n’ont rien à se reprocher, qu’ils sont droits dans leurs bottes, et le front haut sous leur casque à pointe… Bleu, blanc, louche, tout de même…

Finalement, avec toutes ces bisbilles stériles agitant le microcosme politique, ces enculages de mouches qui au final ne font bander que les principaux intéressés et nous laissent complètement froids, l’oriflamme à six heures et demi, on en viendrait presque à perdre notre religion en politique… Ou si l’on a des lettres anglaises, « Losing my religion », comme le titre de la chanson du groupe R.E.M., publiée le 19 février 1991, dont les paroles relatent l'histoire de quelqu'un qui désire une autre personne, un amour non réciproque… C’est gai comme un poinçon…

mercredi 18 février 2015

Brèves du 18 Février 2015

Comme le disait encore ce matin M'âme Jeanssen à M'âme Sauzède au bac à shampooing alors qu’on leur rinçait leur balayage bleu schtroumpf, « quand on voit c’qu’on entend et qu’on esgourde ce qu’on zieute ; permettez-moi de vous dire qu’on a raison de penser ce qu’on dit et de dire c’qu’on pense »… Même que M'âme Jeanssen aurait rajouté dans la clameur glougloutante du bac qui se vide : « Des fois que j’me demande si le père François, il serait pas en train de nous faire le coup du même nom et que le fils à M'âme Pichet il en raffole par-dessus tout’…

Si, du temps du Général, nous avions encore le choix de choisir si nous nous ferions placer le manche du balai dans les trèfonds de notre meilleur profil, la chose s’est assez rapidement détériorée : Sous Giscard, nous pouvions décider entre l’enfilage vaseliné avec ou sans élargissement préalable ; sous Mitteux, le lubrifiant était optionnel à 33,3 % de TVA et soumis à l’ISF ; et désormais, on se la fait mettre bien profondément, à sec, entourée de papier de verre, et encore, on nous prévient les yeux dans les yeux que c’est définitivement pour notre bien qu’on vous ravage le champ d’hémorroïdes…

Peut-être la majorité des français ont-ils perdu toute sensibilité de cette extrémité-là, après quatorze ans de mitterrandisme, douze de chiraquisme et cinq de sarkozysme, on peut s’asseoir sur un plot d’autoroute et avoir encore des fuites ; voire certains d’entre eux en retirent-ils un certain plaisir qui pourrait dans les cas extrêmes les conduire à repeindre le plafond, en tous cas, les politiques en profitent à tour de bras, si j’ose dire…

Le dernier exemple en date, c’est le superbe retournement de veste de Pépère qui a dû lui faire craquer toutes les coutures concernant le recours au 49-3… Hier encore, Pépère s’étranglait le goitre à vilipender cet déni de démocratie que constituerait ce passage en force… Et aujourd’hui, il le défend bec et ongles dans une démonstration de fist-fucking assez impressionnant…

Et, content de lui, le brushing au brou de noix dans l’axe de la cravate de traviole, les yeux dans les yeux de sa monture à 900 boules, il nous pond gravement qu’il fallait aller vite, qu’on n’avait pas de temps à perdre, ni de risques à prendre… Genre il a senti le vent du boulet, il sait qu’il est sur une planche savonneuse et qu’il était évident qu’il allait se manger un rejet à l’Assemblée…

Ah, elle est belle la démocratie…

Les politiques ne pensent qu’au cul, c’en dévient effrayant ! Après les 50 nuances de Grey d’une nullité affligeante, l’Assemblée nationale propose « 49-3 nuances de bordel »…

L’insistance avec laquelle le Lonely Pépère’s Socialos Branleurs Band entend faire adopter la Loi Macaron a de quoi inquiéter… Soit c’est le hochet ultime avant la désintégration intégrale de la parenthèse hollandouillesque, et Macron, avec sa tête à mi-chemin entre le sodomite honteux et le rejeton de péripatéticienne, menaçait le Pétillant de trépigner et de se rouler sur le tapis d’orient si sa loi fourre-tout se faisait dégommer par la représentation populaire… Soit c’est une tentative désespérée d’enfin balancer un semblant de réforme promise depuis 2012avec la parfaite connaissance que ça finira définitivement de niquer intégralement l’économie française…

Comme si l’on n’avait déjà pas assez de chômistes… Des chômistes qui ne sont pas du tout en odeur de sainteté chez nos élites socialistes… Eh oui ! Emmanuel Macron, qui certes n’est socialiste que par intérêt, a lancé un scud en leur direction en indiquant, paraphrasant Jospin en 1999 : « si j’étais chômeur, je n’attendrais pas tout de l’autre »… On a connu plus fin pour inciter les assistés à se bouger le cul…

Puisqu’on parle de cul, un mot de DSK qui dit-on aurait fracassé le lavabo des WC où il s’était réfugié suite au réquisitoire du procès Carlton tant il s’en était chopé une raide et persistante…Le dézingueur dézingué des minous des femmes de ménage va pouvoir en toute impunité reprendre le tir à l’arme lourde…

Un peu comme en Ukraine, ou selon l’Union Européenne le cessez-le-feu serait régulièrement et clairement violé… Quand on sait qu’il a été signé par Encula Merkel, Flamby Hollandouille et Vladimir « Tête de Mort » Poutine, on se demande qui pourrait avoir envie de le violer…

Un autre qu’on a pas forcément envie de violer, même si l’on a des goûts spéciaux et que l’on kiffe le latex noir moulant et brillant, le bonnet de Mickey et les coups de fouet judicieusement placés, c’est notre Sinistre de l’Intérieur (et de l’extérieur aussi) qui s’est envoyé en l’air pour rejoindre les Etats-Unis où il va causer terrorisme avec les géants du web… Un peu comme si Mimie Mathy parlait basket-ball avec Inès de la Fressange…

S’il y a des idées et des concepts qu’on aimerait voir fleurir et se reproduire avec la rapidité de la moisissure sur votre confiote de coloquinte aux cassis home made, il en est d’autres qu’on aimerait laisser moisir dans leur coin… Et qui malgré tout fleurissent comme les morpions dans une pelouse hygiéniquement douteuse… Après la scandaleuse profanation du cimétière de Sarre-Union, c’est un cimetière catholique, cette fois, qui est dégradé à Tracy Sur Mer, en Basse-Normandie… Bon, allez, on salope un cimetière musulman, et on arrête les conneries, ok ?

Sarko aimerait certainement en dire autant aux juges financiers qui enquêtent sur certains de ses voyages qui auraient été payés par son ami Stéphane Courbit… Diable ! Notre ex à talonnettes aimerait à s’envoyer en l’air sans sa glousseuse aphone ? Ces dames doivent apprécier, même debout il est capable de leur brouter le minou, alors…

Préférons cependant le grand air pour l’anniversaire de la mémoire, puisque c’est le 18 février 1960 que s’ouvrent les VIIIèmes Jeux Olympiques d’hiver, en direct depuis Squaw Valley, une station de sports d'hiver américaine alors très peu développée dans le trouduc du monde… Innovation, les droits de diffusion ont été vendus au plus offrant, et les cérémonies d’ouverture et de fermeture sont organisées par Walt Disney, qui prévoit la chose en grand, avec 5.000 artistes, la libération de 2.000 pigeons et huit coups de canon, un pour chacun des précédents Jeux olympiques d'hiver… Quand on vous dit que tout le monde, sportifs, politiques, peoples ne pensent qu’à tirer un coup… 

mardi 17 février 2015

Brèves du 17 Février 2015

- Franchement Guy-Louis, c’est adorable de votre part, cette petite attention, mais vous savez que ce n’est pas encore mon anniversaire…
- Tut, tut, tut ! Les petits cadeaux entretiennent l’amitié, et il est normal qu’en qualité de gros niqueur (oui, je sais, toujours ce rhume) vous en soyez…
- Comment ça, que j’en sois ? D’où vous sortez que je flatte du cannelloni à béchamel, vous ?
- Je me disais que peut-être, ça pourrait marcher, sur un malentendu, et que vous en profiteriez pour me rouler un patin de voyou, dans le couloir, entre les poubelles et la pote cochère…
- Namého, vous vous imaginez dans les Mystères de l’amour en réincarnation de José et Nicolas qui ont joué à « si je te l’attrape, je te la mords » toute la nuit ?
- N’empêche que j’en étais sur et certain que j’en aurai mis ma main à couper et mon membre à sucer que le Nicolas, il en avait ras le slip de brouter du minou !
- Guy-Louis, mon cher, modérez vos propos, vos ardeurs, et les bosses de votre jogging ajusté ! On va encore nous accuser de verser dans le scabreux…
- C’est plutôt vous que j’aimerai renverser, mon cher… mais ouvrez-donc votre cadeau, que j’en frétille d’impatience comme une groupie prépubère de Juste Imbibé à la sortie des artistes…
- Euuuuh… C’est pas que je n’aime pas, notez bien, mais ne croyez-vous pas qu’un slip de bain en latex bleu nuit brillant taille 36, ça ne me soit pas un peu trop petit ?
- Ah mais vous ne savez pas les dangers infinis de perdre son maillot à la piscine…
- Quatre tailles trop petit, y a aucun risque que je le paume, même avec un chausse-pied ou un pied de biche…
- Mais au moins, ça vous moulera bien le paquet…
- Vous, je vais vous passer à la douche glacée, ça vous fera redescendre le mercure dans le thermomètre à yaourt… Pas possible, vous avez vu trois fois d’affilée « 50 shades of Grey » ou quoi ? Jamie Dorman vous affole l’infusette, ou bien ?
- Vous rigolez ou vous plaisantez ? Je suis entrainé à ce genre de chose, mais je ne pensais pas pouvoir m’enfiler un si gros navet…
- En parlant de navets, vous avez entendu parler des tribulations du petit couple d’enculés gouvernementaux sur l’adoption de la Loi Macaron ?
- Rhouuuuuuuuuuuuuu, Manu Macron, il me tombe dans le pieu, je vais pas dormir dans la baignoire…
- N’empêche que le Pétillant a tellement les chocottes que le projet de loi de l’autre andouille soit rejeté qu’il a fait convoquer aux frais de la Princesse un conseil des Ministres extraordinaire, et qu’il va faire passer le texte en force…
- Oh quel coquinou, ce Manu, il pourrait au moins mettre un peu de vaseline…
- Qu’importe, ce sont de toutes façons les français qui l’auront dans le cul, alors…
- N’empêche que ça fait du remous dans le landerneau politique tout ça… Sarkozy qui s’excite la nouille sur Twitter en indiquant qu’il n’y a plus de majorité ni de gouvernement, le bouldogue blond qui réclame la démission de Valls…
- Mon pauvre Guy-Louis, c’est toujours la même tambouille politique depuis des lustres… ça sent définitivement le rance, quoi qu’on y fasse… Il reste que rebattre les oreilles pendant plus de six mois avec une Loi soi-disant essentielle et ne pas arriver à obtenir une majorité, ça ne donne pas une belle image de la majorité de 2012…
- Valls doit se les bouffer menu et au court-bouillon… En réponse au recours au 49-3, l’opposition a déposé une motion de censure qui sera discutée jeudi… Vous imaginez, M’sieur le Groniqueur, si la motion de censure est adoptée ? Valls démissionne et se fait religieuse, il y a de nouvelles élections, la droite gagne, Pépère nomme Marine Le Pen premier ministre (il aime ça, Flamby, les grosses bonnes femmes vulgaires qui usent de la cravache, regardez Valoche Rottweiler…), et moi, je me retrouve Ministre de la Culture et des Plumes dans le derche…
- Comment ça ?
- Ben, vous avez bien dû lire que Florian aimait à se faire garnir le Philippot… Quand je vous dis que je suis introduit dans le milieu… on va dire que dans le sien aussi…
- Ah ben c’est du propre tiens…
- Ah oui, on fait toujours nos ablutions avant et après…
- En tous cas, c’est plutôt au PS de nettoyer devant leur porte…
- Oh dites, vous croyez que si je reconvertis ma petite garçonnière de la Place des Vosges en lieu de cul(te), on va me mettre deux beaux policiers musclés en faction devant la porte ?
- Mais pourquoi me faites-vous part d’un tel fantasme ? Vous raidissez à la vue du bleu marine ou bien ?
- Vous avez entendu ce qu’à déclaré Pépère à Sarre-Union : le dispositif de protection des lieux de culte sera maintenu… Alors si l’on pouvait protéger mon cul(te)…
- Pauvres policiers… Autant garder le pilier nord de la Tour Eiffel, y aura moins de passage…
- En parlant de passage et de va et vient… Vous avez entendu M’sieur le Groniqueur le réquisitoire dans le Procès du Carlton ? A en rester sur les fesses, hein ?!
- Le triqueur tricard du FMI a décidément une chance de cocu ! Si j’étais lui, je ferais porter une gerbe de fleurs à dix briques à Anne Sinclair… DSK, relaxé pour des pipes… Y a pas à dire, fumer tue, mais la pipe relaxe…
- Un qui par contre doit être tendu comme un string entre les fesses de Kim Kardashian, c’est Bernard Tapie…
- Oh oui ! Nanard le Sévèrement burné qu’on prend pour une burne en annulant son arbitrage bidonné à 403 millions d’euros… M’est avis Guy-Louis, qu’il ne doit pas porter les magistrats de la Cour d’Appel de Paris dans son cœur… Mais un peu plus bas, dans son slip…
- Un autre qui a du souci avec son mouleburnes en ce moment, c’est Jean-Luc Lahaye… Mais j’ai pas tout compris… C’était embrouillé dans mon esprit, j’avais la tête à l’envers à ce moment-là…
- Chez vous, c’est presque une raison sociale… C’est aussi le flou au niveau de l’avocat et du Procureur… l’un estime qu’on serait dans le cas d’une mineure avec un majeur, et l’autre penche plutôt pour un majeur dans une mineure…
- J’étais à un doigt de vous le dire…
- Vous deviendrez limite gore, Guy-Louis…
- Justement, vous savez que Lesley Gore était morte à l’âge de 68 ans ? C’est sa brouteuse qui l’a annoncé dans la journée… Vous savez, c’est elle qui chantait en 1963 « It’s my party »…
- Eh ben elle n’a pas été à la fête aujourd’hui…
- Vous êtes caustique…
- Pas de fête mais un anniversaire… Celui de la première diffusion, le 17 février1968, sur la deuxième chaîne de l’ORTF, de la série britannique « Le Prisonnier », interprétée par Patrick McGoohan, une série qui suit un ancien agent secret britannique, retenu prisonnier dans un mystérieux village balnéaire, où ses ravisseurs essaient de savoir pourquoi il a brusquement démissionné de son poste. Présentée initialement comme un thriller, elle utilise les ficelles du roman d'espionnage, teintées de science-fiction, d'allégorie et de drame psychologique.
- Brrrrrrrrrr avec ce terrifiant Rôdeur, l'énorme ballon blanc qui intervient lors des tentatives d'évasion pour étouffer les récalcitrants… Quelle vilaine grosse boule !
- Ah tiens ? Je croyais que vous aimiez ça, pourtant, les boules…