« Le temps ne fait rien
à l'affaire,
« Quand on est con, on
est con.
« Qu'on ait vingt ans,
qu'on soit grand-père,
« Quand on est con, on
est con.
« Entre vous, plus de
controverses,
« Cons caducs ou cons
débutants,
« Petits cons d' la
dernière averse,
« Vieux cons des neiges
d'antan. »
Le pornographe du
phonographe nous ragale encore, plus de trente ans après son décès, de ses
fulgurances osées, mais tellement vraies, sur nos contemporains… Mais n’en
déplaise aux idolâtres de Georges, l’égrillard poète jamais pouet-pouet a
oublié dans son énumération d’andouilles patentées quelques exemples, rares ou
trop peu usités pour qu’on s’en souvienne…
Parmi eux, les andouilles
qui débordent (les Converse), les abrutis susceptibles (les convexes), ceux qui
vivent en sous-sol (les concaves), ceux qui ont gagné l’Eurovision (les
comprimés), ceux qui sont portés sur la chose (les congénital), ceux qui sont
battus (les convaincus), ceux qui aiment à se faire retourner (les contorsions)…
De peur de verser dans la
catégorie des andouilles amateurs de lavande aspic (les connards), je prendrai
bien soin de me tenir à une distance tout à fait respectable, et couramment
désignée comme distance de sécurité, des futilités du jour qui il faut bien l’avouer
nous gâtent avant le weekend, mettant en première ligne, comme à l’avant-scène
d’un peloton d’exécution, une belle brochette de connards et de pouffiasses qu’on
empalerait par la bouche avec délectation, juste pour le plaisir de ne plus les
entendre dégoiser des billevesées connes à bouffer de la bite crue par paquet
de douze…
La plus grosse revient sans
conteste possible à Madonna… La plus grosse tête de courge, pas la plus grosse
bite… Quoique… Elle a dû en dérouler, du câble, la Cicconne… Qu’il faut
prononcer si-conne depuis son interview sur Europe 1, où l’on s’est
indéniablement rendu compte que sa chute en plein Brit Awards avait laissé des
séquelles non négligeables au ciboulot… Mémère a déclaré que l’intolérance en France
lui faisait penser à l’Allemagne nazie… En plus d’être ripolinée tous les trois
jours par la maison Botox, elle en a un sacré pèt au casque, la vioque…
Dans la longue énumération
introductive, j’ai oublié de vous parler des cons centrés et notamment des
enfoirés, qui sont un concentrés de cons centrés… centrés sur le pognon et leur
petite gloriole… Leur dernière chanson, « toute la vie », une bouse
inécoutable dont on ne voudrait même pas à l’Eurovision, s’attire les foudres
du public, puisqu’elle donne l’image d’une jeunesse agressive, fataliste, et
feignante… Un joli ramassis de beaufitude boursouflée, interprétée avec la
conviction d’un plat de moules pas fraîches par des artistes à l’ego surgonflé,
has-been démodés à la recherche d’une gloriole fut-elle éphémère, et prêts à se
couvrir de ridicule et de peaux de bêtes sur scène, pour pouvoir faire bouillir
la marmite… Bravo Goldman pour cette bien belle merde qui fusille la
crédibilité déjà chancelante de ta bande de prétentieux… Et Coluche qui doit
faire des loopings dans sa tombe…
Des loopings, on doit
pouvoir en faire largement à l’aise sans crainte de se cogner à quoi que ce
soit dans le cerveau, dussé-je dire dans la boîte crânienne, des illuminés de
Daesh… Non contents de vouloir faire bénéficier le monde entier d’une
merveilleuse évolution vers le bien qui nous conduirait à un nouvel âge
préhistorique, ces folles furieuses ont proprement saccagé un musée irakien à
Mossoul, détruisant des statues de grande valeur sous de vagues prétextes
religieux… Tout en oubliant de mentionner qu’ils avaient vendu des antiquités
de prix pour financer leurs opérations ignominieuses…
Je serais Ribéry (simple
supposition et formule de rhétorique, je n’ai nullement l’intention de me
réincarner dans cet avorton mononeuronal qui pense avec ses couilles), je me
méfierais grandement des connasses en djellabas de Daesh… Même converti à l’islam
(alors qu’il a lui-même une tête, et une réputation, de porc), j’aurais trop
peur qu’ils prennent ma tête de Picasso nettoyé à l’acétone pour une
représentation blasphématoire du prophète…
Qu’il soit caduc, jeune,
vieux, vexé, centré ou déboulant des escaliers (le condescendant), le con
typique le sera toujours moins que notre mètre étalon (encore qu’étalon, je ne
sois pas allé vérifier sous les douches du Bayern de Munich) de la débilité
footballistique, l’ancien mannequin pour crash-tests sur pare-brise, Frank
Ribéry, Monsieur Tire-aux-putes… Notre Picasso redessiné par César sous
influence baconesque veut prendre la nationalité allemande… Bonne nouvelle, ça
fera toujours une andouille de moins en France… et une belle saucisse de plus
pour Encula Merkel !
Le hic dans cette demande de
naturalisation, c’est le test de langue… Enfin, le test de devoir parler en
langue allemande, pas d’aller rouler une pelle profonde tendance auscultation
des amygdales à l’examinateur ou trice… Déjà qu’en français courant et basique,
il mérite la disqualification, alors je vous laisse imaginer en schleux…
J’aurais voulu la classer
dans la catégorie des connasses indélébiles, incorrigibles, consubstantielles,
irrécupérables… mais je ne sais où la mettre, cette folle à lier de récidiviste
qui, dans l’Ain, a noyé puis congelé ses deux enfants, nés viables, en 2011 et
2012… J’entend déjà le fennec sous-alimenté Eric Zemmour tempêter que la France
schusse vers sa décadence, que c’est pas au siècle dernier qu’on aurait vu ça,…
Forcément, ducon, on n’avait pas de congélateurs en 1930 !
Et comme on parle de viandes
froides, voici deux morceaux de choix, fraîchement arrivées : Pascal
Brunner, l’animateur du mythique « Fasila Chanter », seulement âgé de
51 ans mais bouffé par le cancer et l’alcool… Et Leonard Nimoy, à l’âge de 83
ans, acteur américain qui remplaça sans grand succès un des personnages de l’équipe
de Mission Impossible… et joua aussi un rôle obscur dans une série oubliée… il
faut le Monsieur Spock de « Star Trek »…
Et le 27 février 1988, aux
Jeux Olympiques d’hiver de Calgary, Alberto Tomba surnommé "La Bomba" en raison de son style explosif et de sa personnalité
exubérante de
play-boy sulfureux (le style italien quoi, tout dans la bouche, rien dans le
slip), réalise le doublé en slalom en remportant le slalom géant et le spécial; comme l'avaient fait avant lui trois légendes du
ski: Sailer en 1956; Killy en 1968 et Stenmark en 1980. Comme quoi, on peut être
un bon con, ou avoir un con bon (pour ces dames)…
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