Je
vous préviens d’avance que le premier qui s’avise de me tripoter les
castagnettes, va y avoir corrida !
Le
premier qui s’avise de me baver sur le rouleau, il finira l’année en mangeant
sa soupe avec une paille…
Désolé
d’être aussi abrupt, lapidaire, et vindicatif, mais c’est la journée de merde
qui vient de se dérouler qui fait que je suis « légèrement » à cran ce soir… Et
question journée de merde, je crois que je viens de me taper la journée de
merde étalon, « zi » merdic journée qui humidifie le slip des
scatophiles, celle qui est sous cloche à Sèvres, au musée des poids et mesures
!
Enquiquinement
professionnels en rafale, contretemps en pagaille, grains de sable
systématiques quand vous pensiez jouer sur du velours, fingers in the nose et
sacs à semence bien calés dans votre Couilles-croisées de Playtex…
Et
je crois avoir eu la révélation divine… L’obsolescence programmée existe, je l’ai
rencontrée deux fois aujourd’hui… En mémoire de moi, vous élèverez une Abbatiale
Canard WC (parce que la basilique Saint-Marc et la cathédrale Monsieur Propre
existent déjà) entièrement dévouée à Sainte Marie-Cunégonde de la Pénétration…
Mais
je ne suis pas là pour vous entretenir de mon nombril, il y a tellement plus de
choses importantes en ce bas monde… Tellement plus de choses capitales,
incontournables… Quantité de choses qui vous secouent autrement plus qu’une
vague secousse de branlette adolescente…
« C’est
comme un tremblement de terre » chantait Dorothée du temps de sa splendeur
discographique… Le temps de retrouver le gramophone sous les décombres et nul
doute que le titre deviendra illico presto l’hymne national mexicain… Bon, on
ne va pas leur imposer la visite de l’ex-animatrice en remerciement de ce choix,
deux malheurs en si peu de temps ne seraient pas charitables.
Tout
comme on évitera d’envoyer la Princesse au Petit Pois, Stéphanie et ses deux cocktails
à la grenadine, pseudonyme de Stéphanie Deux-Monacos, à Saint-Barth et aux
Dom-Tom successivement rincés par deux ouragans. En rajouter un troisième,
musical, et nettement plus ravageur ne serait pas pardonnable…
Notre
Terre est en grande colère et elle ne se prive pas de faire savoir qu’elle
désapprouve carrément nos exactions et nos usurpations. C’est probablement quand
elle a appris que Vincent Niclo allait sortir un nouvel albums de coassements
orgasmiques que Gê s’est fâchée toute rouge et fait frissonner toute sa croute,
de Mexico à la Nouvelle Zélande…
Faut
dire qu’aujourd’hui, nos politocards ont rivalisé d’ingéniosité pour nous
offrir la plus belle bêtise depuis l’invention de la télévision… Pour assortir
à ma journée de merde, quoi de plus attentionné de la part de nos enfileurs de
perles qu’une belle brochette de bouses fumantes à se mettre en bouche ?
A
tout seigneur, toute horreur ; et c’est avec la Présidente du Front
Nazi-on-Heil que la bordée de merdasses débute, Marinette en remettant une
louche de semoule dans le mouleburnes de la Première Dauphine, qui décidément y
pédale de plus en plus, se débattant dans le Couscousgate. Vu le ridicule
achevé de la situation, nul doute que Philipopo soit bientôt appelé à présider
la section française du KousKous Klan…
Dans
la catégorie des encouscoussifiés, on décernera sans difficulté un accessit de
langue de bois à Laurent Wauquiez, la couscoussière poivre-et-sel qui rêve d’une
merguez, qui admet une « erreur » à propos de son cumul de retraite.
Treize années d’indemnités grassouillettes comme Raquel Garrido… J’veux bien
faire des erreurs comme ça tous les jours…
Tiens,
en causant de l’insoumise chilienne en forme de sculpture de Botero dilatée à l’hélium,
le dégorgeoir du poireau d’Alexis Corbière s’est brusquement parée du voile
pudique de la demi-vierge effarouchée l’autre soir, chez Morandini, qui l’interviewait
à propos de son salaire. Si l’on veut bien mettre à part le niveau journalistique
de fosse septique du mec mis en examen pour tripotage de mineur, l’on retiendra
la pudeur de gazelle (enfin, de gazelle d’un quintal et demi) de la miss pour
évoquer ses confortables émoluments… Alors Raquel, plus « un sou mis »
de côté qu’insoumise ?
Puisqu’on
en est rendus à la partie obscure de la bouse politocarde (non, ce n’est pas le
corridor à Bounty du Doudou Matignonnesque), décernons immédiatement le Grand
prix de l’humour pas drôle avec palmes et fourragère à Stéphane Le Foll, l’ancienne
mèche folle de l’Agriculture, qui a réagi à la mise en vente du siège du PS en
rigolant qu’ils vont aller « dans la Creuse »…Arrêtez de vous marrer,
c’est très sérieux ! Le prochain meeting des ruines socialistes aura lieu
dans la cabine téléphonique du café-bar-tabac-mercerie-quincailler de la place
de l’Eglise de La-Mazière-aux-Bons-Hommes…
Si
vous n’appréciez guère le genre comique pas drôle et si en conséquence vous n’aimez
pas l’œuvre de Gad Elmaleh, rabattez vous sur le style graveleux du
porte-parole du Gouvernement, Christophe Castaner, dont la carrure d’armoire
normande gavée à la testostérone suractivée a dû causer des éruptions volcaniques
intraslipesques au duo de l’exécutif. Dissertant sur les futures
manifestations, Totophe n’entend s’opposer à ce qu’on emmerde les français…
Mais c’est qui’l va virer grossier, le zigue… Va falloir le correctionner
sévère, à la cravache, au Bescherelle 2ème année et au Gros Larousse
en cinq volumes !
En
guise de cerise sur la brochette de bouses, je ne pouvais que laisser la pompon
au jupitérien mari-à-Brigitte, qui ferait mieux d’avoir continuellement la
bouche pleine, puisqu’il passe son temps à débiter des âneries méprisantes
façon « brioche à l’autrichienne ». Car Saint-Honoré des vieilles
couscoussières à la merguez flétrie est croyant. Outre qu’il ait une trombine à
se titiller la nouille sur « Mon Crédo » de Mireille Mathieu de Saint
Bénézet épouse Bern, Manu croit en la démocratie, mais nous avertit qu’elle ne
se fait pas dans la rue…
En
gros, on vous laisse faire mumuse avec elle histoire de vous donner l’impression
de l’illusion que vous avez votre mot à dire, mais quand ça devient viril et qu’on
cause gros sous avec la bite à la main, faut laisser ça aux professionnels…
Manquerait plus que le peuple ait son mot à dire… Un point c’est tout…
Un
poing, c’est tout… C’était sa devise, à lui aussi. Même si Jake La Motta ajoutait
évidemment « Dans la gueule de préférence ». Le légendaire boxeur
américain, jamais mis KO par ses 106 adversaires et dont la rage proverbiale
inspirèrent le fameux « Raging bull » joué par Robert De Niro, vient
de ranger définitivement ses gants à l’âge de 95 ans au dernier round sonné,
victime d’une pneumonie. Petite pluie abat grand vent…
Et
le 20 septembre 1984, Brian Joubert naissait à Poitiers, preuve que le Poitou
est un nid à emmerdes puisqu’il nous a également fourni la Dingo ex-hollandouillesque,
Ségolène Royal. Patineur artistique français qui a brillé en 2007 par son titre
mondial, son prénom de cassoc le rattrape à la fin de sa carrière sportive, après
les JO de Sotchi où justement il sotchi dans la colle, et il échoue dans des
émissions de daube telles de « Danse avec les Stars » ou « Fort
Boyard », qui recyclent les résidus du monde sportif en moulebite garni.
Il ne lui manque plus qu’une figuration à moitié à poil (qu’il se rase d’ailleurs)
comme danseur-contorsionniste pour le candidat français à l’Eurovision et Brian
aura réussi sa reconversion ratée dans le maelstrom médiatique…
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