mercredi 20 septembre 2017

Brèves du 20 Septembre 2017

Je vous préviens d’avance que le premier qui s’avise de me tripoter les castagnettes, va y avoir corrida !

Le premier qui s’avise de me baver sur le rouleau, il finira l’année en mangeant sa soupe avec une paille…

Désolé d’être aussi abrupt, lapidaire, et vindicatif, mais c’est la journée de merde qui vient de se dérouler qui fait que je suis « légèrement » à cran ce soir… Et question journée de merde, je crois que je viens de me taper la journée de merde étalon, « zi » merdic journée qui humidifie le slip des scatophiles, celle qui est sous cloche à Sèvres, au musée des poids et mesures !

Enquiquinement professionnels en rafale, contretemps en pagaille, grains de sable systématiques quand vous pensiez jouer sur du velours, fingers in the nose et sacs à semence bien calés dans votre Couilles-croisées de Playtex…

Et je crois avoir eu la révélation divine… L’obsolescence programmée existe, je l’ai rencontrée deux fois aujourd’hui… En mémoire de moi, vous élèverez une Abbatiale Canard WC (parce que la basilique Saint-Marc et la cathédrale Monsieur Propre existent déjà) entièrement dévouée à Sainte Marie-Cunégonde de la Pénétration…

Mais je ne suis pas là pour vous entretenir de mon nombril, il y a tellement plus de choses importantes en ce bas monde… Tellement plus de choses capitales, incontournables… Quantité de choses qui vous secouent autrement plus qu’une vague secousse de branlette adolescente…

« C’est comme un tremblement de terre » chantait Dorothée du temps de sa splendeur discographique… Le temps de retrouver le gramophone sous les décombres et nul doute que le titre deviendra illico presto l’hymne national mexicain… Bon, on ne va pas leur imposer la visite de l’ex-animatrice en remerciement de ce choix, deux malheurs en si peu de temps ne seraient pas charitables.

Tout comme on évitera d’envoyer la Princesse au Petit Pois, Stéphanie et ses deux cocktails à la grenadine, pseudonyme de Stéphanie Deux-Monacos, à Saint-Barth et aux Dom-Tom successivement rincés par deux ouragans. En rajouter un troisième, musical, et nettement plus ravageur ne serait pas pardonnable…

Notre Terre est en grande colère et elle ne se prive pas de faire savoir qu’elle désapprouve carrément nos exactions et nos usurpations. C’est probablement quand elle a appris que Vincent Niclo allait sortir un nouvel albums de coassements orgasmiques que Gê s’est fâchée toute rouge et fait frissonner toute sa croute, de Mexico à la Nouvelle Zélande…

Faut dire qu’aujourd’hui, nos politocards ont rivalisé d’ingéniosité pour nous offrir la plus belle bêtise depuis l’invention de la télévision… Pour assortir à ma journée de merde, quoi de plus attentionné de la part de nos enfileurs de perles qu’une belle brochette de bouses fumantes à se mettre en bouche ?

A tout seigneur, toute horreur ; et c’est avec la Présidente du Front Nazi-on-Heil que la bordée de merdasses débute, Marinette en remettant une louche de semoule dans le mouleburnes de la Première Dauphine, qui décidément y pédale de plus en plus, se débattant dans le Couscousgate. Vu le ridicule achevé de la situation, nul doute que Philipopo soit bientôt appelé à présider la section française du KousKous Klan…

Dans la catégorie des encouscoussifiés, on décernera sans difficulté un accessit de langue de bois à Laurent Wauquiez, la couscoussière poivre-et-sel qui rêve d’une merguez, qui admet une « erreur » à propos de son cumul de retraite. Treize années d’indemnités grassouillettes comme Raquel Garrido… J’veux bien faire des erreurs comme ça tous les jours…

Tiens, en causant de l’insoumise chilienne en forme de sculpture de Botero dilatée à l’hélium, le dégorgeoir du poireau d’Alexis Corbière s’est brusquement parée du voile pudique de la demi-vierge effarouchée l’autre soir, chez Morandini, qui l’interviewait à propos de son salaire. Si l’on veut bien mettre à part le niveau journalistique de fosse septique du mec mis en examen pour tripotage de mineur, l’on retiendra la pudeur de gazelle (enfin, de gazelle d’un quintal et demi) de la miss pour évoquer ses confortables émoluments… Alors Raquel, plus « un sou mis » de côté qu’insoumise ?

Puisqu’on en est rendus à la partie obscure de la bouse politocarde (non, ce n’est pas le corridor à Bounty du Doudou Matignonnesque), décernons immédiatement le Grand prix de l’humour pas drôle avec palmes et fourragère à Stéphane Le Foll, l’ancienne mèche folle de l’Agriculture, qui a réagi à la mise en vente du siège du PS en rigolant qu’ils vont aller « dans la Creuse »…Arrêtez de vous marrer, c’est très sérieux ! Le prochain meeting des ruines socialistes aura lieu dans la cabine téléphonique du café-bar-tabac-mercerie-quincailler de la place de l’Eglise de La-Mazière-aux-Bons-Hommes…

Si vous n’appréciez guère le genre comique pas drôle et si en conséquence vous n’aimez pas l’œuvre de Gad Elmaleh, rabattez vous sur le style graveleux du porte-parole du Gouvernement, Christophe Castaner, dont la carrure d’armoire normande gavée à la testostérone suractivée a dû causer des éruptions volcaniques intraslipesques au duo de l’exécutif. Dissertant sur les futures manifestations, Totophe n’entend s’opposer à ce qu’on emmerde les français… Mais c’est qui’l va virer grossier, le zigue… Va falloir le correctionner sévère, à la cravache, au Bescherelle 2ème année et au Gros Larousse en cinq volumes !

En guise de cerise sur la brochette de bouses, je ne pouvais que laisser la pompon au jupitérien mari-à-Brigitte, qui ferait mieux d’avoir continuellement la bouche pleine, puisqu’il passe son temps à débiter des âneries méprisantes façon « brioche à l’autrichienne ». Car Saint-Honoré des vieilles couscoussières à la merguez flétrie est croyant. Outre qu’il ait une trombine à se titiller la nouille sur « Mon Crédo » de Mireille Mathieu de Saint Bénézet épouse Bern, Manu croit en la démocratie, mais nous avertit qu’elle ne se fait pas dans la rue…

En gros, on vous laisse faire mumuse avec elle histoire de vous donner l’impression de l’illusion que vous avez votre mot à dire, mais quand ça devient viril et qu’on cause gros sous avec la bite à la main, faut laisser ça aux professionnels… Manquerait plus que le peuple ait son mot à dire… Un point c’est tout…


Un poing, c’est tout… C’était sa devise, à lui aussi. Même si Jake La Motta ajoutait évidemment « Dans la gueule de préférence ». Le légendaire boxeur américain, jamais mis KO par ses 106 adversaires et dont la rage proverbiale inspirèrent le fameux « Raging bull » joué par Robert De Niro, vient de ranger définitivement ses gants à l’âge de 95 ans au dernier round sonné, victime d’une pneumonie. Petite pluie abat grand vent…

Et le 20 septembre 1984, Brian Joubert naissait à Poitiers, preuve que le Poitou est un nid à emmerdes puisqu’il nous a également fourni la Dingo ex-hollandouillesque, Ségolène Royal. Patineur artistique français qui a brillé en 2007 par son titre mondial, son prénom de cassoc le rattrape à la fin de sa carrière sportive, après les JO de Sotchi où justement il sotchi dans la colle, et il échoue dans des émissions de daube telles de « Danse avec les Stars » ou « Fort Boyard », qui recyclent les résidus du monde sportif en moulebite garni. Il ne lui manque plus qu’une figuration à moitié à poil (qu’il se rase d’ailleurs) comme danseur-contorsionniste pour le candidat français à l’Eurovision et Brian aura réussi sa reconversion ratée dans le maelstrom médiatique… 

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