lundi 18 septembre 2017

Brèves du 18 Septembre 2017

« Fais-moi du couscous, Flo-flo, fais-moi du couscous,
« Bouffe pas du couscous, Florian, bouffe pas du couscous… »

Pauvre Florian Philippot ! Si jamais, dans l’improbable hypothèse hypothétique d’une éventuelle possibilité supposée, j’avais quelques millièmes de secondes de libre, j’envisagerais peut-être la possibilité d’éprouver l’once d’un iota de début de commencement de compassion à son encontre (pas à son endroit, parce que quand on le connaît dans les recoins, le coco…)

Faut le comprendre, le pauvre chérubin… Déjà qu’il n’est pas doté d’un physique facile avec cette trombine de compression de César qu’on aurait fait passer par le pare-brise alors qu’il n’était pas encore sec, il fallait qu’en sus (moi la à fond) il se fisse introduire avec ses manières d’inverti intégral dans le parti politique français qui inclinait à casser du pédé comme d’autres cassaient du sucre dans des tasses de ceylan…

Il doit aimer se faire mal, Flo-flo… Il a une bouille à s’être fait taper à l’école, et à s’être pris des catapultes de purée insipide dans la binette et des bites au cirage dans les cagoinces puants d’un collège de banlieue… C’est pas possible autrement ! Il n’y a pas un amateur de spaghetti à moustache en France qui ressente des frissons dans le slip à l’idée d’accointances libertines avec le éfaine…

La preuve qu’il doit kiffer sa race à s’en prendre plein la poire, c’est le « couscousgate » qui prend des ampleurs de tsunami asiatique depuis la publication sur un réseau social quelconque de la mère Philipopo avec des copines d’une photo en direct du meilleurs couscous de Strasbourg…

Oh la boulette dans le couscous strasbourgeois (une aberration d’ailleurs, est-ce qu’on parle de choucroute oranaise ou de kugelhof algérois ?), la merguez au porc en plein ramadan !

Après la gauche caviar, le FN couscous…

D’accord, le couscous a été ramené en France par la purée de nous z’otres, les pieds-noirs en 1962, mais franchement, Flo-flo, était-ce la peine de traiter de crétins ceux qui se sont étouffés avec ta semoule ? C’est pas très malin, surtout quand tu te trimballes un arrière-train à pas déraper dans les virage en cas de verglas… Ça fait grossir le couscous, tu prends tout sur les hanches, même si toi, tu préfères tout prendre entre les hanches…

Toujours mesurée, la Première Dauphine a traité de crétins les instigateurs du couscousgate, englobant Collard et sa mèche graisseuse qui pourtant lui reconnaissaient le droit imprescriptible de manger du couscous…. D’autant que quand on mange, on se tait…

Quoiqu’il en soit, « Fais-moi du couscous » est en passe de devenir le tube de l’automne au FN, après l’hégémonie pluriannuelle de l’impérissable « Lili Marleen »…

Au moins aussi impérissable que la rengaine sur la môme vert-de-gris, les ritournelles sécuritaires qui nous sont déversées quotidiennement en flots qu’on croirait échappés d’une rupture au barrage de Malpasset… Attention aux déraillements de trains, prudence avec les avions, gaffe dans les transports en commun, mèfi dans les endroits recevant du public…

Evidemment qu’il faut faire attention parce que le risque enturbanné avance masqué… Pas la peine de nous le rappeler matin midi et soir, à midi au diner et dans le café au lait… Mais quand j’entends Miss Loukoum-de-gauche sur Inter bramer qu’elle en a par-dessus la burqa de ces mises en garde et qu’il faut laisser courir… Ouais, ben quand ça aura pété à nouveau quelque part, tu viendras te plaindre et jouer la pleureuse algérienne que le pouvoir en place n’informe pas assez et ne met pas suffisamment en garde la population…

N’empêche … N’empêche qu’on n’est pas assuré qu’on nous dise absolument tout sur tout, et sur le reste… Cet avion paris-Bordeaux qui s’est posé en urgence à Orly à cause d’un moteur en feu, n’est-ce pas à cause d’une bombinette dans la soute qui a endommagé le dit moteur, bombinette déclenchée à distance par un terroriste islamiste radicalisé à barbe cache-sexe depuis le sous-sol d’une mosquée intégriste financée par les capitaux occultes d’une holding off-shore apatride levantine nationalisée qatarie par complaisance ?

A ce rythme, la Lopez du cinquième va finir fissa à Guantanamo pour terrorisme auditif (faut l’entendre beugler « Uma casa portuguesa » dans les escaliers) et pour tentative d’attentat biochimique pour émanations de morue salée aussi défraîchie que les seins à réanimer de Brigitte Macron…

Cette nouvelle par contre va faire l’effet d’une bombe, même si son annonciateur n’en a pas précisément le profil. Gérald Darmanin, la bouille de premier de la classe vermifugé de frais, promet de donner un treizième mois aux français. Les salariés qui le touchent d’ores et déjà sont priés de se le rouler en cône et de s’asseoir violemment dessus… Quant aux autres, ils seront ravis de recevoir la moitié de ce qu’on leur a ponctionné depuis l’arrivée du Jupiter élyséen…

Mais rassurez-vous, les prix des sucettes à cancer vont encore morfler en janvier prochain. La successeuse du lapinou drogué pris dans les phares du Berliet promet une hausse d’un euro par paquet de clopes, ce qui fait forcément tousser les buralistes… Bientôt, on s’endettera pour sin cancer du poumon, et il sera meilleur marché de se rouler des clopes avec du caviar osciètre…

Elle, par contre, l’a fumé comme il faut… Valérie Pécresse étrille Laurent Wauquiez à propos de son indécente retraite de fonctionnaire, se posant en Madame Propre de la Droite. Elle rigolera moins, la blondasse quand les scribouillards sortiront les cadavres pas forcément exquis du placard…

Lui, il n’est pas certain qu’il fasse un exquis macchabée, vu qu’il était souvent acerbe (et à croate) dans ses papiers qu’il torchait aussi bien qu’il était mal léché. Paul Wermus, soixante-et-onze ans au cocktail pince-fesse mondain nouveau, a replié sa plume polémique et ses ronds de jambe de chroniqueur mondain parisianiste…

Tout à fait le genre d’écouter de la musique qui fait trembler les baffles, du bon gros son qui vous flanque des acouphènes pour la semaine à la fin du premier morceau… Le cas typique de l’écoute de l’album « Paranoïd » par Black Sabbath, sorti le 18 septembre 1970… Parce que ça, c’est de la musique d’homme, du bon gros matos bien psychédélique, velu et couillu qui sent le benjoin, le patchouli et le pétard d’afghan… Ça va encore affrioler lo-flo, et il va nous remettre son « fais-moi du couscous chéri, mets-moi ton couscous »… Allez, Florian, prends-en de la graine…

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