« Ciao, ciao,
bambina, un bacio ancora
« E poi per
sempre ti perderò
« Come una
fiaba, l'amore passa
« C'era una
volta poi non c'è più »
Ciao ciao
bambino, arrivederci le beau blond gouvernemental qui prenait son panard en
tambourinant dans la fond de cale des rombières atteintes depuis dix lustres
par la date limite de consommation raisonnable…
Auf wiederseh’n mein herr ! Farewell my sweet
little foxy bastard with the dents qui rayaient the Elysée parquet !
A y est, c’est
fait ! Manu Macaron a largué les amarres du Pépère’s Lonely Branquignol
Socialo Band pour se mettre En Marche et rouler pour la seule personne qu’il
admire réellement dans le paysage politique français actuel : lui-même !
Et
bizarrement, on frôle le non-evènement intégral bien que les chaînes d’info
continue se détrempent le slip a tresser des couronnes de lauriers à l’ex-Ministre
qui préfère briguer le soutien des électeurs que de soutenir le culbuto à
cravate de traviole.
Dès ce midi,
c’était l’affolement, on sentait le feu couver sous la cendre et les speakers
radiophoniques trahissaient leur impatience, à défaut d’autre chose, à annoncer
franchement que Manu se cassait du ramassis d’incapables gouvernementaux. A l’arrière-plan
des salles de rédaction, l’on voyait des stagiaires décongeler la nécro
politique de l’impétrant et la fourbir de quelques trémolos larmoyants
savamment pesés et une pincée de petites phrases vachardes.
Eh, oh, les
filles ! On se calme la libido, on se rafraichit le slip et on tempère ses
ardeurs de dramatiser la chose ! Ce n’est qu’un ministre qui se barre d’un
navire qui prend la flotte à grosses goulées… Et comme le rappelait le Ministre
revenu de l’Intérieur, Jean-Pierre « Che », un sinistre, ça ferme sa
gueule ou ça démissionne…
On pourra
reprocher des choses au tambourineur de vieilles dindes décaties, mais pas
celle de s’être auto-censuré durant son passage aux responsabilités. Entre le
costard à mille boules en narguant les ouvriers, les illettrés de sa première
intervention publique et les promesses non-tenues du Tout Mou, c’est un vivier
de bons mots vachards que n’aurait pas renié Jack Lang, l’immarcescible
Ministre de la Culture, des inaugurations pince-fesses et des cocktails onéreux…
Le plus merveilleux étant le fameux « je ne suis pas socialiste »… On
s’en était aperçus…
De toute
façon, la démission de Macron sent le Sapin, alors…
Je n’irais
pas jusqu’à dire qu’on s’en contrecogne le coquillard biconvexe à soupapes
alternatives et glamouillard sous-pressurisé à favouille sous-glissante avec
une patte de tripotanus fossilisé et passé à l’alcool de prune ; mais l’envie
m’en démange fortement…
Surtout que
ce n’est pas la seule démission de la journée ! Ah mais si, si, regardez
bien dans les faits divers, intercalée entre l’extraction de l’ongle incarné de
Cyril Féraud et le PV contesté d’une vague demi-starlette du cinéma porno :
Georges Pau Langevin également a flanqué son maroquin dans la trombine à Pépère…
Bon, c’est vrai que c’est en démissionnant qu’on apprend qu’elle existe… Vieux
motard que jamais !
Si les
démissions vont par paires, les décès illustres également. L’acteur américain
Gene Wilder, acteur fétiche de Mel Brooks, a coupé la pellicule à l’âge de 83
ans, après une filmographie respectable et diverse… Et je dois par ailleurs
vous annoncer le décès de Cerise…
Non, pas l’écervelée
blondasse qui vous donne incontinent envie de changer d’assurance ! Quoique
la ressemblance pouvait paraître troublante… Cerise est morte en mettant bas…
Il s’agissait de la vache star du dernier Salon de l’Agriculture ! Cerise
de Groupama, mettre bas… Faudrait la saillir déjà, la bécasse…
Samuel
Etienne, le somnifère de Question pour un Champignon, a déjà sauté cette étape,
en plus de madame, et a offert aux lève-tôt une belle surprise en direct sur
Europe n° 1. Sur les ondes depuis cinq minutes, il quitte pourtant l’antenne en
direct pour foncer à la clinique où son lévrier dépotera le moutard demi-heure
plus tard. Un joli moment de radio… Alors qu’il faut se tartiner Nagui et sa
bande peu originale en prime time…
Tout n’est
pas aussi rose, et il faut aussi vous entretenir des dernières fracassantes
déclarations politiques, tant de Pépère qui craint un embrasement général en Syrie
(il a encore une fois consulté Madame Soleil, lui), que de Sarko qui promet
plus de 34 milliards de baisse d’impôts et de charges aux patrons en 2017 (il
va finir ses meetings en chantant du Dalida lui…. « Paroles, paroles,
paroles »).
Les paroles,
ils n’aiment guère ça en Corse, où l’actualité s’embrase en ce moment… Et pas
uniquement grâce aux allumettes de ce pyromane condamné à un an ferme pour
avoir allumé douze incendies pour « voir passer les camions de pompiers et
les Canadairs ». Encore un dont le cerveau avait cramé…
Corse, île de
beauté où les cafés allongés arrivent en terrasse après une rafale de Kalach’,
et où les maires se baladent avec une arme et plus de cent mille euros en
liquide sur eux. Dommage pour le maire de cette localité de Corse du Sud, il s’est
tué en moto avec cet attirail sur lui… Vraisemblablement pour faire l’aumône
aux Petites Sœurs des Pauvres et à la Fondation « Empêchons Patrick Fiori
de nous atomiser les tympans »…
Et
outre-Rhin, ces dames qui auraient des envies de dévorer par le bas de la
wurste bien juteuse qui ne serait pas celle de leur Gunther de mari ont du
mouron à se faire : les mères devront prochainement avouer si un enfant
est né d’une relation extraconjugale, et donner le nom du vrai père… Oh, les
belles scènes de ménage le soir, autour de la choucroute… Donner le nom du père…
Comment savoir, quand vous manger un cassoulet, le haricot qui vous fait péter ?
Rassurez-vous,
il y aura toujours de quoi se divertir à la télé, surtout en Amérique où le
nageur Ryan Lochte, mouillé (forcément) dans un scandale carioca, a annoncé sa
participation à Danse avec les Stars version McDo. Vous croyez qu’il va danser
en moulebite ?
Et enfin, les
bases militaires françaises veulent interdire Pokémon Go puisque plusieurs
sites du ministère, dont des zones de défense hautement sensibles, abriteraient
ces objets et créatures virtuels. Et pis, ça dérange les bidasses pendant la
corvée de patates…
Et le 30 août
1953, Jacqueline Auriol devient la première femme à passer le mur du son… Quand
on disait que ces dames n’étaient pas des flèches… Vous voyez bien qu’elle
peuvent elles-aussi provoquer un big bang… Et pas un gang bang, hein !
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