¡
Aqui aqui Radio Catalunya ! La unica radio da la nació catalana !
Diguem no a la dictadura de Madrid ! Endavent i viu Catalunya independent !
Si
les ondes hertziennes transportaient également les odeurs, nul doute que la
radio catalane aurait ces jours-ci des relents de vert-de-gris, sur les
antiennes funestes des « Radio Paris ment » de la dernière guerre… Radio
Madrid ment, Radio ment, Radio Madrid est ibère…
Pour
tous ceux qui pensaient que la Catalogne se résumait aux plages surpeuplées de
Platja de Aro, aux paëllas dégueulasses qui accélèrent le transit intestinal
vitesse grand V, et aux magasins de souvenirs kitschissimes genre « L’attaque
de la Smala d’Abd-el-Kader par les troupes du Duc d’Aumale en 1843 » en
coquillages peints fluo, merci de laisser le moulebite de vos à-priori
amidonnés au vestiaire.
La
Catalogne, c’est autre chose que les sardanes dansées au rythme d’interminables
mélopées lancinantes, un art aussi codifiées que les formulaires Cerfa de notre
Administration fiscale, que les « Tots som pops », « Ramena nene »
et autres chansonnettes que me chantait mon arrière-grand-mère, et que les
roboratifs pa amb tomaquet…
La
Catalogne, c’est un niet définitif et quasi-mélanchonnesque à la « dictadura »
madrilène ! La dicta-dura ? Parce qu’il existerait une dicta-molle
quelque part dans le vaste monde ?
Une
dictature molle du genou, flagada du jarret et raplapla de la jugulaire ? Une
dictature façon plat de jelly anglaise en plein soleil ou version « bedon
hollandouillesque après deux kilos sept cents de chouquettes » ?
Le
pouvoir central n’est pourtant guère tendre avec les velléités d’indépendance
catalanes, et Mariano Rajoy nous fait son petit Caudillo quand il matraque les
déclarations pétaradantes de Puigdemont… Qui d’ailleurs nous fait vivre un
suspense à la Hitchcock avec son « j’y vais j’y vais pas » devant le
Parlement catalan…
Bon,
Carles, tu la craches ta Valda ? Tu nous la déclares, ton indépendance, et
t’arrêtes de nous chier dans les castagnettes ? Par contre, j’ai l’impression
que « vaseline » en catalan se prononce « Puigdemont »… T’as
des gens quand ils te parlent, on croirait qu’ils n’ont rien à faire durant les
dix prochaines années…
Surtout
pour se la jouer « p’tite bite »… Genre « j’ai 90 % de vote pour
l’indépendance mais on va quand même papoter avec tout le monde, histoire de
noyer le poisson dans la paella »…
Lui,
par contre, il sait ce qu’il fera durant les dix prochaines années… Et même
bien au-delà… Jean Rochefort a mis en application un des titres de ses films, « on
ira tous au paradis »… Distingué et gentleman-farmer, la moustache qui
pétille et l’œil qui frise, Jean Rochefort s’était formé à l’école exigeante
des dramatiques en direct de la RTF, avant de tourner dans des chefs d’œuvre et
des nanars, car il fallait bien faire manger les chevaux et les enfants… Au
revoir, Monsieur Amaguiz…
Lui
qui fut la voix inimitable de Winnie L’Ourson aurait aimé cette anecdote ursine
américaine. Trois ours se sont introduits dans une pizzeria nuitamment, et ont
dévalisé la cuisine… Chaque époque a les Socrate qu’elle mérite… Hier, c’était
Boucle d’Or et les trois ours, aujourd’hui, c’est le Connard à l’Orange et
trois ours dans une pizzeria…
Et
à cet instant précis, j’adresse un conseil débordant de bon sens à madame Connard-à-L’Orange,
Melania Trump-de-Salope. Prenez garde à conserver tous vos documents officiels
d’identité à jour. Ces touristes chinoises ont été privées de voyage retour
après une opération chirurgicale en Corée du Sud, car elle ne ressemblaient plus
à la photo de leur passeport… Je serais Carla, je referais mon passeport
dare-dare…
Ah !
Carla qui est à nouveau la madone des insomniaques, des sourdingues profonds et
des onanistes distingués (vu que ça rend sourd…). Le porte-manteau de l’ex à
talonnettes a pondu un album de reprises de succès internationaux (l’étape
précédent la compilation de ses moins pire bides et l’animation de supérettes
de l’Auvergne profonde) qui va certainement faire un carton… Un carton d’invendus,
tant c’est mollasson, guimauve et chichi-prout à souhait.
Il
n’y a que Carla pour reprendre « Miss you » des Stones et en faire
une comptine pour endormir les récalcitrants de l’oreiller… Et je n’ose même
pas parler de sa version de « The winner takes it all » de ABBA. C’est
clairement leur Waterloo quarante-trois ans après l’Eurovision…
Elle,
à l’instar de Carla, faudrait juste qu’elle arrête de parler… Raticha Dati, l’ex-épongeuse
de l’échantillon élyséen, n’en finit pas, telle une Nadine Morano de la casbah
Fauchon, d’égrener son chapelet de conneries en or massif, une exclusivité de
chez Louboutin qui lui a coûté la peau des genoux (et la peau des couilles du
mec…).
Jamais
avare d’une anêrie dès lors que c’est télévisé et largement repris dans les
media, Raticha pense que Gérald Darmanin a accepté d’être ministre pour faire
plaisir à ses parents, avant qu’ils ne disparaissent… Et si t’essayais d’être
moins conne, pour faire plaisir à tes vioques, avant qu’ils ne cannent ?
Décidément,
Raticha, c’est encore avec une bite dans la bouche qu’on la préfère. Au moins,
elle se tait…
Parler
pour ne rien dire, ou ne rien dire pour parler… Cruel dilemme. Rassurez-vous,
vous qui auriez dans l’idée sotte et grenue de claquer un billet de dix pour
aller vous fader « Blade Runner 2049 ». Vous n’aurez certainement pas
de trop de deux heures quarante-cinq pour vous farcir tout au plus huit pages
de dialogues, grand maximum. C’est interminable et on croirait que c’est filmé
au ralenti tant c’est aussi mou qu’un discours de Hollande prononcé par Tranxen
Z’Ayrault.
Ryan
Gosling est à peu-près aussi mauvais que Louis Garrel et Romain Duris réunis
sur un scénario de Fabien Ontoniente (c’est vous dire si on creuse…) et Harrison
Ford rentabilise son lifting façon Sheila pour rameuter les nostalgiques de la
version originale…
Si
vous aimez la bouffe toute prête, ce film est pour vous. Il a la saveur d’un
plat surgelé qu’on a oublié de passer au micro-ondes…
Elle,
elle n’a pas la saveur d’une production Courjault délaissée du micro-ondes…
Surtout parce qu’elle n’y rentrerait pas. Josiane Grizeau souffle ses bougies,
puisqu’elle vit le jour le 10 octobre 1948. Mais c’est sous le nom de Séverine
que le public français la connaît mieux, et surtout pour son tube impérissable,
« Un banc, un arbre, une rue », qui lui permit de remporter le Grand
prix du Concours Eurovision de la Chanson 1971, sous les couleurs de la
Principauté de Monaco. Tiens, et si Albert II demandait l’indépendance de
Monaco… Aux oligarques russes, s’entend…
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