« Je dis n'importe quoi
« Je fais tout ça qu'on me dit
« Je danse même la bourrée sur les airs de
Johnny… »
Comme il serait sympathique, et parfois même
cocasse, de relier tous nos politocards à une musiquette de référence, afin que
leurs apparitions médiatiques soient précédées agréablement par l’indicatif
musical précité…
Plus de risque de se la coincer dans la fermeture
éclair du pantalon en entendant la Demorand annoncer une interview exclusive d’Alexis
Corbière, le défricheur officiel des Pays-Bas capillaires de Raquel Garrido, la
forme la plus apprivoisée de Chewbacca velu ! Finie l’angoisse matutinale
de voir le lait tourner en yaourt bien ferme dès les premiers mots
radiodiffusés de Nadine Morano !
Le petit indicatif qui va bien, et hop là !
tel un diable dans sa boîté, le politocard nous débite ses conneries…
Et comme on parle des bites… On pense
immédiatement à Laurent Wauquiez et à son inénarrable tête de nœud qui ferait
passer le pire gestapiste pour un enfant de chœur…
Et le fameux « Je dis n’importe quoi »
des Charlots lui va comme un gant, au Lolo la parka rouge. Non seulement il
taille des croupières pas piquées des hannetons à toutes et tous, mais en plus,
il nous fait le parfait jésuite en feignant d’ignorer que ses scuds verbaux
étaient enregistrés…
Lolo, ma petite face de gland… Tu causes face à
un groupe de boutonneux en école de commerce et tu t’imaginais qu’aucun d’entre
eux n’allait t’enregistrer ? Mais tu vis encore en 1976 ou bien ? De
deux choses l’une : soit tu est diablement roué, et tu as pertinemment balancé
sur tes poteaux ; soit tu es le jumeau de Nadine Morano intellectuellement
parlant…
S’en est suivi un joyeux boxon médiatique, où chacun
avait évidemment le jugement définitif,
le verbe séculier et le glaive vengeur devant les micros. Et même Lolo la parka
rouge se fâchait pivoine sur les plateaux télé, dénonçant des méthodes de voyou
et menaçant de porte plainte…
Plainte contre quoi ? Un enregistrement de
propos publics tenus devant un public ? Bon courage au confrère que s’y
attèlera !
Si les propos orduriers de la suceuse de boules
de LR font tanguer le Landerneau politique façon matelas pneumatique chevauché
par Valérie Damidot, ce n’est pourtant que roupie de sansonnet rachitique face au
maelstrom de la Succession Johnny… Le Tout-Paris a forcément quelque chose à
dire que la question, pour soutenir les enfants de l’idole des jeunes ou pour
soutenir la veuve éplorée, qui se transforme lentement mais surement en une
mante religieuse avide de pognon…
Faut dire que La Tiatia a magistralement
orchestré le coup, avec l’aide de son gang familial, et qu’elle aura beau jeu
de pasticher les tragédiennes grecques avec l’œil humide et la moue de cocker
triste, la mayonnaise risque de prendre moins bien désormais qu’on a ouvert la boite
de Pandore…
Signe que les choses risquent de tourner au
vinaigre sous peu, Sylvie Vartan est de retour en France. Et si mémé a traversé
l’Atlantique au péril de ses deux litres de botox dans chaque lèvre, c’est pas pour
causer tricot et culture des pastèques chez les Aztèques… M’est avis que ça va
sulfater grave…
Sylvie Vartan, elle est comme les athlètes
français aux Jeux Olympiques : elle est lente à démarrer, elle s’ébroue
comme une vieille DS arthritique, monte en régime comme une Ariane 4 sur une route
de montagne mais une fois lancée, c’est un bulldozer ! Martin Fourcade a
lamentablement merdé dans la colle ? Il nous vendange les médailles
désormais, et il faut bien reconnaître que ce n’est pas tout à fait immérité…
Et il n’y avait qu’une française pour apporter
une touche d’érotisme sur la patinoire, avec une couture qui craque
opportunément, et laisse apparaître un nichon… Pas de quoi filer la gaule aux
téléspectateurs, qui vu l’heure se résumaient à quelques insomniaques et une
poignée de retraités abrutis de valium dans une maison de vioques de banlieue…
On l’avait évoqué dès l’annonce de son décès,
mais c’est désormais acté. En voiture, Simone ! En voiture avec Monsieur Momone
vers le Panthéon, où Simone Veil reposera dès le premier juillet. C’est bien le
moins que pouvait faire la République, mais l’humilité naturelle de Madame Veil
n’en sera-t-elle pas quelque peu écornée ? Bah, elle aura l’éternité pour
s’en remettre…
Un autre départ annoncé, mais dont on se
remettra aisément, celui de Gérard Depardieu. Après avoir siphonné les réserves
de vodka de son ami Poutine, le poids lourd du cinéma français annonce qu’il s’installe
en Algérie… Vu son embonpoint et sa tendance irrépressible à lamper toute forme
de boisson alcoolisée, du gros rouge au mélange deux-temps pour pétrolette, je
ne sais si le couscous boulettes et le Boulaouane à tout les repas est
forcément indiqué… Ce Sidi Barhim, il fait ce qu’il veut, gros lard…
Autre nouvelle attristante, la célèbre marque
de guitares Gibson, dont ont joué Lennon, Santana et autre Marley serait au
bord de la faillite… Ce qui est logique, depuis que Goldman s’y est attaqué, ça
ne donne pas précisément envie…
Et pour finir, une nouvelle réjouissante, pour
tous ceux qui, petits, adoraient tirer les sonnettes et se carapater avant que
la porte ne s’ouvre… Colissimo recrute !
Et le 20 février 1968 apparaissait pour le
première fois sur les écrans de télévision américains un personnage qui allait
s’avérer rapidement cultissime, alors qu’il a tout de l’anti-héros. L’inspecteur
Columbo était crée par Peter Falk dans le téléfilm « Inculpé de meurtre ».
Costume presque propre, chemise quasiment nickel, cheveux coupés à la
militaire, mais déjà l’imperméable, pas trop défraîchi, et les cigares. Ah, j’ai
oublié de vous pose une petite question… Ma femme se demande pourquoi vous vous
obstinez à être si con, M’sieur Wauquiez ?...
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