mardi 20 février 2018

Brèves du 20 Février 2018

« Je dis n'importe quoi
« Je fais tout ça qu'on me dit
« Je danse même la bourrée sur les airs de Johnny… »

Comme il serait sympathique, et parfois même cocasse, de relier tous nos politocards à une musiquette de référence, afin que leurs apparitions médiatiques soient précédées agréablement par l’indicatif musical précité…

Plus de risque de se la coincer dans la fermeture éclair du pantalon en entendant la Demorand annoncer une interview exclusive d’Alexis Corbière, le défricheur officiel des Pays-Bas capillaires de Raquel Garrido, la forme la plus apprivoisée de Chewbacca velu ! Finie l’angoisse matutinale de voir le lait tourner en yaourt bien ferme dès les premiers mots radiodiffusés de Nadine Morano !

Le petit indicatif qui va bien, et hop là ! tel un diable dans sa boîté, le politocard nous débite ses conneries…

Et comme on parle des bites… On pense immédiatement à Laurent Wauquiez et à son inénarrable tête de nœud qui ferait passer le pire gestapiste pour un enfant de chœur…

Et le fameux « Je dis n’importe quoi » des Charlots lui va comme un gant, au Lolo la parka rouge. Non seulement il taille des croupières pas piquées des hannetons à toutes et tous, mais en plus, il nous fait le parfait jésuite en feignant d’ignorer que ses scuds verbaux étaient enregistrés…

Lolo, ma petite face de gland… Tu causes face à un groupe de boutonneux en école de commerce et tu t’imaginais qu’aucun d’entre eux n’allait t’enregistrer ? Mais tu vis encore en 1976 ou bien ? De deux choses l’une : soit tu est diablement roué, et tu as pertinemment balancé sur tes poteaux ; soit tu es le jumeau de Nadine Morano intellectuellement parlant…

S’en est suivi un joyeux boxon médiatique, où chacun avait évidemment le jugement  définitif, le verbe séculier et le glaive vengeur devant les micros. Et même Lolo la parka rouge se fâchait pivoine sur les plateaux télé, dénonçant des méthodes de voyou et menaçant de porte plainte…

Plainte contre quoi ? Un enregistrement de propos publics tenus devant un public ? Bon courage au confrère que s’y attèlera !

Si les propos orduriers de la suceuse de boules de LR font tanguer le Landerneau politique façon matelas pneumatique chevauché par Valérie Damidot, ce n’est pourtant que roupie de sansonnet rachitique face au maelstrom de la Succession Johnny… Le Tout-Paris a forcément quelque chose à dire que la question, pour soutenir les enfants de l’idole des jeunes ou pour soutenir la veuve éplorée, qui se transforme lentement mais surement en une mante religieuse avide de pognon…

Faut dire que La Tiatia a magistralement orchestré le coup, avec l’aide de son gang familial, et qu’elle aura beau jeu de pasticher les tragédiennes grecques avec l’œil humide et la moue de cocker triste, la mayonnaise risque de prendre moins bien désormais qu’on a ouvert la boite de Pandore…

Signe que les choses risquent de tourner au vinaigre sous peu, Sylvie Vartan est de retour en France. Et si mémé a traversé l’Atlantique au péril de ses deux litres de botox dans chaque lèvre, c’est pas pour causer tricot et culture des pastèques chez les Aztèques… M’est avis que ça va sulfater grave…

Sylvie Vartan, elle est comme les athlètes français aux Jeux Olympiques : elle est lente à démarrer, elle s’ébroue comme une vieille DS arthritique, monte en régime comme une Ariane 4 sur une route de montagne mais une fois lancée, c’est un bulldozer ! Martin Fourcade a lamentablement merdé dans la colle ? Il nous vendange les médailles désormais, et il faut bien reconnaître que ce n’est pas tout à fait immérité…

Et il n’y avait qu’une française pour apporter une touche d’érotisme sur la patinoire, avec une couture qui craque opportunément, et laisse apparaître un nichon… Pas de quoi filer la gaule aux téléspectateurs, qui vu l’heure se résumaient à quelques insomniaques et une poignée de retraités abrutis de valium dans une maison de vioques de banlieue…

On l’avait évoqué dès l’annonce de son décès, mais c’est désormais acté. En voiture, Simone ! En voiture avec Monsieur Momone vers le Panthéon, où Simone Veil reposera dès le premier juillet. C’est bien le moins que pouvait faire la République, mais l’humilité naturelle de Madame Veil n’en sera-t-elle pas quelque peu écornée ? Bah, elle aura l’éternité pour s’en remettre…

Un autre départ annoncé, mais dont on se remettra aisément, celui de Gérard Depardieu. Après avoir siphonné les réserves de vodka de son ami Poutine, le poids lourd du cinéma français annonce qu’il s’installe en Algérie… Vu son embonpoint et sa tendance irrépressible à lamper toute forme de boisson alcoolisée, du gros rouge au mélange deux-temps pour pétrolette, je ne sais si le couscous boulettes et le Boulaouane à tout les repas est forcément indiqué… Ce Sidi Barhim, il fait ce qu’il veut, gros lard…

Autre nouvelle attristante, la célèbre marque de guitares Gibson, dont ont joué Lennon, Santana et autre Marley serait au bord de la faillite… Ce qui est logique, depuis que Goldman s’y est attaqué, ça ne donne pas précisément envie…

Et pour finir, une nouvelle réjouissante, pour tous ceux qui, petits, adoraient tirer les sonnettes et se carapater avant que la porte ne s’ouvre… Colissimo recrute !

Et le 20 février 1968 apparaissait pour le première fois sur les écrans de télévision américains un personnage qui allait s’avérer rapidement cultissime, alors qu’il a tout de l’anti-héros. L’inspecteur Columbo était crée par Peter Falk dans le téléfilm « Inculpé de meurtre ». Costume presque propre, chemise quasiment nickel, cheveux coupés à la militaire, mais déjà l’imperméable, pas trop défraîchi, et les cigares. Ah, j’ai oublié de vous pose une petite question… Ma femme se demande pourquoi vous vous obstinez à être si con, M’sieur Wauquiez ?...

L’image contient peut-être : 2 personnes, costume et gros plan

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