mercredi 15 novembre 2017

Brèves du 15 Novembre 2017

Inter France, il est sept heures soixante minutes, huit heures et quelques poignées de secondes pour les puristes ; vous écoutez la matinale de Nicolas Demorand, l’animateur qui vous la rentre dans le rang…

Tout de suite, pendant que Léa Salami achève son massage bucco-manuel de l’appendice érectile impair et médian dudit Nicolas, le journal de Michael Thébault-Monfils :

Bonjour mesdames, bonjour mesdemoiselles, bonjour messieurs et salut Vincent McDoom. Au sommaire de ce journal, c’est le merdier partout, et ça ne va pas tarder à l’être ailleurs, et réciproquement. Avec l’éclairage géopolitique de Thomas Legrand-Zob, dans son étable. Et en fin de journal, parce qu’on en a strictement rien à secouer, les prévisions météo de Marie-Pierre Planchon qui vous dira que ça ira de beau à pas si beau, de pas si beau à pas terrible, et de pas terrible à franchement tarte.

Mais le gros titre de l’actualité de ce matin, c’est cette nouvelle victoire de la France au niveau international, une situation qui ne s’est guère reproduite depuis le Grand Prix Eurovision de Marie Myriam et 1977 et la victoire de Yannick Noah à Rolland Garros en 1983 et 1983, ça date comme on dit au Caire…

Après les Jeux Olympiques 2024 attribués à Paris à la plus parfait surprise de la Mairesse de Paname, Saint Anne Hidalgo-Godanseuse, Notre Drame de Paris, le Mondial de Rugby 2023 sera organisé en France, semble-t-il en même temps que la Gay Pride et la Semaine de la Photographie de nu artistique, vu que désormais, les viriles empoignades de ces messieurs du ballon ovale se fait sous les objecitfs et à poil (enfin, ceux qui n’ont pas succombé à l’épilation intégrale).

La question Michael, c’est jamais deux sans trois ?

En effet Nicolas, comme on dit chez Peugeot, jamais deux cent trois avec peut-être l’exposition universelle 2025 pour laquelle Paris s’est portée officiellement candidate. Avec la future interdiction des voitures et autres véhicules polluants au centre de la ville, ce sera furieusement cocasse de voir les touristes être trimballés en charrettes à bœufs…

Mais ça relancera l’élevage… A moins que d’ici là la France ne ramène la couronne de l’Eurovision…

Nicolas, autant demander à Christophe Beaugrand de nous ramener le Prix Nobel de Virilité…

Sinon, quoi d’autre dans l’actualité, Michael ?

C’est la guerre, Nicolas, la guerre entre Charlie Hebdo et Mediapart, dirigé par l’hitlérienne paire de moustaches d’Edwy Plenel. C’est Charlie qui a dégainé la pelle à merde grande largeur dans l’affaire Tariq Ramadan-Lefion pour lequel Plenel a la plus grande des complaisances. Il semblerait donc que le sulfatage de janvier 2015 n’ait en rien enlevé le goût du risque de Charlie, mais on constate également que ramadan-Loignon aime les mecs à moustaches, surtout lorsqu’ils lui font reluire la merguez à lait fermenté façon lampe d’Aladdin…

Restons quelques instants encore dans le slip avec cette affaire d’agression sexuelle à Marseille.

Oui Nicolas, et si vous vouliez bien enlever votre main de mon sceptre turgescent, ça m’empêche d’élocutionner clairement… Une agression sexuelle ou à tout le moins des soupçons avec cet officier de gendarmerie soupçonné d’avoir joué au docteur avec la passagère d’un train… Encore un qui a dû prendre le slogan de la SNCF « laissez-vous prendre par le train » au pied de la lettre.

Une lettre qui ne vaut évidemment pas celle d’Acquitator envoyée à BHL…

Éric Dupont-Moretti a en effet envoyé une lettre assassine au ramoneur d’Arielle en réponse à la tribune sur son site, un pur moment de bonheur quasi-jouissif où les effets d’épitoge répondent aux effets de chemise blanche en terminant par la référence de la « vieille pompe à merde » de Magritte au critique Dupierroux en 1936. Ou quand Riri encule Bernie… à sec…

Lui, il n’avait pas la bouche pleine, mais pourtant, il n’a rien dit…

Salah Abdelslam, qui avait eu l’envie de se faire sauter en public le 13 novembre 2015, est resté silencieux face au juge antiterroriste qui l’a interrogé sur son implication. Il faut donc croire fermement établi le fait que la branlette, fût-elle intellectuelle, rend sourd…

Pour sa part, Teddy Riner se tâte la mortadelle quant à une introduction au Gouvernement…

Oui, le colosse de deux mètres qui fait transpirer l’exécutif le soir dans leurs lits se verrait bien Ministre des Sports après son dixième sacre mondial, assurant qu’il n’hésiterait pas si on le lui proposait, puisqu’il est très ambitieux.  Et franc, ce qui est rare. Par contre faudra faire retoucher les tailleurs rose fluo de Roselyne Bachelot, parce que ça risque de faire un poil étriqué au niveau des épaules…

En tout cas, on en a déjà plein le dos des sorties cinéma de la semaine, Michael…

Eh oui, entre la bouse intello-chiatique de Sara Forestier pleurnichant une amourette entre la petite fille de Pierre Repp et un analphabète joué par un fils de merguez (bonjour le cliché) et le dernier prout de Guaillaume Gallienne à l’opposé total de son émission d’Inter « Ça peut pas faire de mal », là ça en fait un max, surtout aux œils, on attendrait presque avec impatience le prochain Star Wars, où les princes Harry et William feront une apparition en stromtroopers, aux côtés de Tom Hardy et de Gary Barlow, la tafiole de l’ancien boysband pour pisseuses sous poussée d’hormones, Take That. Les princes britanniques au cinéma ? Macaron et le Grand Doudou croient bien qu’ils font de la politique…

Et à sept heures soixante-quinze, ou huit heures et quart si vous voulez vous la péter, souhaitons un bon anniversaire à l’inoubliable interprète de Downtown, Chariot et autres ritournelles musicales qui à défaut de vous torturer le cortex vous aèrent les neurones comme lors d’une conversation avec Mireille Mathieu ou Nabilla, Lady Pétula Clark, née le 15 novembre 1932. Bon anniv’, Petula, que vous auriez pu inviter dans Boomerang, Augustin Braquemard, avec votre voix de tarlouze maniérée et vos yeux de cocker triste en overdose ?

Ah oui, indéniablement, surtout que dans Petula, il y a pet’, et ça, j’aime…

Inter France, huit heures et quelques, tout de suite, la suite…

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