« Cuit,
cuit, cuit, cuit,
« Nous
ferons un tour de broche
« Autour
d’un gros mât joli,
« Oui,
oui, oui, oui
« Nous n’aurons
plus pour amis,
« Que la
brise saharienne
« Et le
soleil qui rôtit
« Cuit,
cuit, cuit, cuit… »
Sur une
chanson d’André Popp et Pierre Cour, médaille de bronze au Concours Eurovision
de la Chanson Européenne 1959, « Oui, oui, oui, oui », je vous
propose le remake brûlant du jour.
Vous qui
aimez coller à l’actualité, nul doute que vous collez littéralement à vos
tee-shirts et autre chemisettes aujourd’hui dans une grande moitié sud de la France.
Vous qui vous faites railler parce que vous détrempez les sous-vêtements quand
la température grimpe, vous avez sans doute une lingerie fine intégralement
mouillée. Vous qui suez à grosses gouttes dès qu’on dépasse dix-huit degrés (le
seuil de canicule en Bretagne), vous êtes sans exception possible tout en eau,
avec la raie du cul qui fait chêneau…
Le mercure s’est
payé une jolie fièvre aujourd’hui sur l’arc méditerranéen, avec des pointes
vers des températures qui pulvérisent les anciens records datant de la canicule
de 2003, grande bienfaitrice des pompes funèbres qui avaient pu travailler à
tombeau ouvert…
Et les péronnelles
enfarinées de la météo qui prennent des voix d’attardées mentales parlant à des
quadrisomiques déficients pour nous annoncer qu’il va faire chaud, et qu’il
faut penser à boire… Connasses ! On s’en aperçoit parfaitement que le
mercure joue les acrobates ! Et quand vous dites qu’il faut boire,
précisez de la flotte, parce que vous avez toujours des piliers du bar du
Commerce qui vont écluser binouze sur binouze pour s’hydrater.
A l’instar de
ce pauvre mec qui, complètement torché après une bamboula dantesque en boîte de
nuit, a préféré, instinct salutaire, cuver ses trois litres de mojito dans sa
voiture, toutes vitres fermées. Sauf qu’à midi, alors que le Soleil dardait ses
rayons caniculaires, il roupillait encore. Résultat : coma éthylique,
insolation sévère et arrêt cardio-respiratoire… Ça va faire une pub du tonnerre
aux établissements viassois, ça…
Et ça va
faire plaisir, dans la chaude ambiance des vacances ensoleillées des estivants
prêts à rôtir avec leur tube de Piz-Buin et leur string de trois tailles trop
petit qui finiront de toute manière comme des homards après deux minutes de
cuisson passé dix minutes d’exposition.
Et faire
plaisir, permettez-moi de vous rappeler que le Doudou n’est pas là pour ça !
Fini, les gaudrioles matignonnesques où l’on se permettait de sa gausser de tout
un chacun, de se taper dans le dos en laissant fuiter ses sphincters au grand
dam de vos boxers ajustés, ou de se prêter complaisamment à la critique
satirique de certains palmipèdes hebdomadaires !
Doudou l’a
sèchement rappelé en interview « je ne suis pas là pour faire plaisir »…
Tout dépend à qui… Et si vraiment tu y vas comme un hussard, penses à rajouter
une bonne giclée de lubrifiant, avant la tienne…
Les syndicats
risquent, entre autres, de bien la sentir passer lorsque seront dévoilées les
propositions de réforme du droit du travail… Et l’on s’apercevra que Mailly,
Berger et Martinez sont au final des coincés du fion…
Lui, il n’était
pas constipé du croupion, voire même plutôt décontrasté du gland, connu pour
son fort caractère et son humour cinglant. Le prince Consort Philipp a fait
avant-hier sa dernière apparition officielle. Après soixante-cinq ans de
représentation de la Couronne Britannique, des dizaines de milliers de louches
serrées, au moins autant de germes échangés dans des accolades avec des mecs
qui trimballaient leurs trois grammes de guiness sous chaque paupière et leur
vérole carabinée, un nombre incalculable de banalités proférées et environ
autant de tasses de thé fadasses et de club-sandwiches rances, l’époux de la
Couine, quatre-vingt-seize balais bien sonnés, prend sa retraite. Par ici la
sortie !
C’est
également ce qu’a entendu Murielle Bolle, la rouquine silencieuse, qui a été
placée sous contrôle judiciaire et donc libérée de prison. Motif ? Elle
avait trop de lessives en retard… La prochaine fois, qu’elle prenne le temps de
déshabiller les moutards avant de les faire tremper. On a vu le foin médiatique
que ça a occasionné la dernière fois…
Si Murielle
Bolle a pour elle son état de grasse, le Mari-à-Brigitte est en train de perdre
son état de grâce avec des sondages d’opinion qui ressemblent à s’y méprendre à
la zigounette d’une nonagénaire sous bromure concentré. Jupiter ne serait-il qu’un
colosse aux pieds d’argile ? Et encore, vous n’avez pas vu les photos
cochonnes avec ses coquinous…
Et si, pour
vous détendre avant le ouikènde, je vous causais un brin de Neymar… La
brésilienne hors de prix a enfin touché le sol parisien, et on s’est même fendu
d’un direct pour voir atterrir son jet privé, et recueillir la sainte parole
durant sa conférence de presse. Jean Neymar a confessé qu’il se sentait déjà
chez lui… Forcément, le Bois de Boulogne n’est pas très loin… N’empêche qu’on a
jamais vu un brésilien aussi cher aux abords du Bois… et avec tout le liquide
qu’il a pris, on n’est même pas certains qu’il avale…
Sinon, on
vous l’assaisonne comment ? Premier pas en France ? Premier mot avec
un accent que même Cristina « Magnifaïque » Cordula trouverait
exagéré ? Premier crampon sur une pelouse ? Première douche dans les
vestiaires ? Première pute ukrainienne levée chez Castel ? Premier
rail de coke offert par Ardisson ? Première branlée sur le terrain ?
Faut tout de même se souvenir qu’il a signé au PSG…
Et le 04 Août
1954 naissait à Oran Jean-Louis Mougeot, qui deviendrait célèbre après le rapatriement
dans les hit-parades avec ses slows guimauve calibrés pour faire mouiller la
pisseuse et des titres disco à peine moins ridicules que ceux de Dalida et
Régine réunies sous le pseudonyme de François Valéry. Comme aurait dit Rouleau
Essuie-glaces : « je n’ai pas changé »…

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire