Greta,
mon petit, je ne voudrais pas te paraître vieux jeu et encore moins
grossier...L'homme de la pampa parfois rude, reste toujours courtois... Mais la
vérité m'oblige à te le dire : Ton militantisme commence à me les briser
menu !
Je
cours le risque de me mettre tous les climato-croyants à dos, de me faire jeter
aux Gémonies par les viragos de la décroissance à marche forcée, et même de me faire
fouetter au sang par des verges en orties tartinées à la purée de curare mais
baste !
La
suédoise à faciès de Chucky commence à me péter les réserves ADN avec une force
digne du 38-tonnes lancé à 80 à l’heure contre un mur de béton…
Je
vous l’avoue, Greta Krisprolls, marionnette téléguidée de je ne sais quel lobby
qui prêche l’Armageddon climatique avec un sourire radieux dine d’un pitbull
qui s’est fait chouraver son mollet de facteur, et une trombine qui n’est pas
sans rappeler Mercredi Addams, de la Famille du même nom, m’indispose au
dernier point.
Certes,
je pourrais lénifier mes propos puisque sa mère, Malena Ernman a chanté
« La voix », pour la Suède, à l’Eurovision. Son rejeton, c’est plutôt
« la gueule »…
Et
quelle gueule ! Une trogne de psychorigide mal baisée, dont l’un de seuls
points positifs est qu’elle a l’art de faire sortir les réacs de leur trou
comme des souris attirées par un morceau de fromage, ce talent de les énerver
comme le taurillon devant la muleta…
Pour
le reste, le petit perroquet à couettes à la Fifi-Brindacier répète sur le
registre de l’indignation hystérique un discours patiemment polishé par je ne
sais quel grand trust international…
Parce
que vous la voyez nous pondre ça, la Greta Oum-Papa ? Ah, c’est bien beau
tout cela, c’est même superbe, le « comment osez-vous » avec le
regard de psychopathe sous acide survitaminé, mais elle peine à dépasser le
simple stade des émotions…
Questions
émotions, elle fait chialer les prépubères boutonneuses qui se mouchent dans
des Kleenex blanchis à l’acide en boulottant des bonbons industriels ; et
flaquer les vieilles soixante-huitardes à haleine de fromage de chèvre fermenté
qui puent le patchouli viré. Mais sorti de là… C’est le désert !
Comment
osez-vous ? Comment osez-vous venir brailler des platitudes pareilles tout
en évitant soigneusement d’aborder le principal, les causes réelles et
profondes, c’est-à-dire le libéralisme et le capitalisme ?
Comment
osez-vous ? Comment osez-vous pérorer à de vieux schnocks somnolents qu’ils
vous ont volé vos rêves et votre enfance parce que rien ne se ferait question
climat ? Allez le dire à tous les enfants exploités, esclavagisés dès leur
plus tendre jeunesse, qui produisent des merdes pour des salaires de misère
plus de douze heures par jour, à toutes ces petites filles mariées de force à
huit ans parce qu’à dix ans, c’est trop vieux…
Comment
osez-vous répéter ça tel un vieux 78-tours usé, vous qui voyagez gratos sur de
jolis voiliers armés par des principautés francophones, qui êtes reçue comme la
nouvelle Madonna du changement climatique avec chambre moelleuse climatisée et
garnie de petits fours fraîchement réchauffés au micro-ondes.
Je
veux bien croire, parce que je suis certainement dans un moment de faiblesse,
que la mioche à couettes est sincère dans ses propos… Mais cette indignation
commandée sent le frelaté, le composé, le surjoué à chaque fois que la mocheté
scandinave se pointe…
Alors,
laissons couler le Titanic suédois, qui risque de passer de mode dès que les
pisseuses auront soupé de ses couinements et se passionneront pour le nouveau
conseil beauté d’une pétasse youtubeuse… D’autant plus que Ségolène Royal, une références
des élites intellectuelles politiques, soutient son combat, et va tout
prochainement poser avec Greta en une de Elle… Non, pas sur les dangers des
grossesses sous Distilbène après cinquante ans, mais pour leurs marottes respectives…
On va battre des records d’invendus…
Evidemment,
si l’on ne parle que des mimiques de poupée vaudou de Greta et de son culot
éhonté devant les soi-disant puissants de ce monde, parce que ça fait vendre et
ça fait le buzz sur les réseaux sociaux, on glose moins des réactions suite aux
accusations de la miss…
Le
Connard à l’orange, lui, s’est cassé quasi-immédiatement. Et on le comprend…
Pour voir une demi-mongole qui fait la gueule en débitant des conneries, il a ça
chez lui : son épouse…
Et
enfin, une bonne nouvelle, puisque C8 pourrait supprimer « Touche pas à
mon poste » de sa grille de programme… Le ramassis de merde télévisée de
Cyril Hanouna passerait à la trappe, ce qui permettrait de faire gagner au PAF
quelques neurones. Et la pelle à merde qui joue à l’amphitryon de la chose s’apitoie
sur son sort en confiant que ça sera un manque énorme… T’inquiète, Baba, on saura
s’en remettre…
Et
le 25 septembre 1958 voit l’apparition dans les kiosques de Sonorama, un
magazine français culturel, traitant de sujets aussi variés que la politique,
le sport, la musique, les faits divers, l'art ; et présentant
l'originalité de proposer des actualités sonores captées sur des disques
souples, en lecture de chaque page du magazine. Malgré l’originalité du
concept, Sonorama disparaîtra en 1962, après 42 numéros, conséquence d'un prix
de vente jugé trop élevé. Quand on dit que la culture n’a pas de prix…
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