mercredi 26 septembre 2018

Brèves du 26 Septembre 2018

Que vous me compénétrâtes, et vous eûtes saisi la substantifique moelle de mon moi intérieur irréfragable…

C’est de bon ton, aujourd’hui, de compénétrer… On compénètre le vif du sujet, ce qui peut être en certains cas hautement hasardeux, voire particulièrement douloureux (surtout si vous souffrez d’hémorroïdes)… On compénètre les entrailles de la Terre pour en extraire je ne sais quel minerai précieux, pierre estimable ou vieille affiche des premiers adieux de Line Renaud… On compénètre l’onde sur une seule inspiration de nos poumons pour le plaisir du merveilleux silence derrière la respiration, pour le fun de se fondre dans l’interminable azur aqueux, ou pour tenter de faire la nique aux taquineurs professionnels des profondeurs en combi moulechouquettes ou simple moulebite…

Pour les cerveaux qui ont irrémédiablement arrêté leur croissance aux portes du cours préparatoire ; pour toutes celles et tous ceux qui hurlent de bonheur devant les mémoires de Nabilla ou pleurent leur race lorsqu’il s’agit de conjuguer le verbe bouillir au plus-que-parfait du subjonctif ; pour les électeurs de Jean-Luc Mélenchon dans leur ensemble ; il faut que vous sachiez, et pas spécialement dans la colle, que le verbe « compénétrer » n’est pas une cochonnerie salace de fin de beuverie entre contrepéteurs imbibés et qu’il ne s’agit pas de faire coulisser de l’andouillette durcie dans le vestibule à moutards…

Quoique le sens de ce verbe qui fait flaquer les amateurs du Grand Larousse en douze volumes, des mots croisés force douze de Michel Laclos et des agaceries linguistiques qui sont de plus en plus submergées par des platitudes téléréalitesques les plus éculées, ne soit pas forcément très éloigné du simulacre de la reproduction, puisqu’il signifie « pénétrer profondément »…

J’entends déjà les sourires complices se former sur des commissures de lèvres qui ont trop vu passer de conneries et de choses peu recommandables pour être définitivement acquises aux indulgences papales plénières… Je vois déjà les remarques sarcastiques lâchant avec une apparente badinerie que les électeurs furent compénétrés dans les grandes largeurs aux dernières élections…

Les politocards, compénétrateurs ? Oh, M’âme Jeanssen, voyons ! Ça se saurait ! Ils en auraient fait les titres du journal du Playmobil à moumoutte de crin de lama des Andes et on aurait eu des myriades de « unes » consacrées aux compénétrations furibardes du jupitérien locataire de l’Elysée…

Compénétrateurs, non… Mais tout prêts à nous la mettre comme il faut, ça oui ! Et le paradigme de la chose est notre ex-Premier Sinistre, le Chorizo Bouillant qui se voit désormais engager une brillantissime carrière politique paneuropéenne en se présentant à la Mairie de Barcelone…

J’ignorais qu’ils avaient le 1% handicapés obligatoire aux élections locales, en Catalogne…

Valls candidat en Catalogne… Les catalans n’ont visiblement pas assez eu d’emmerdements avec Puigdemont et veulent s’en payer une nouvelle tranche avec El Escumós (le Pétillant version sardana)…

Avant d’aller brûler un cierge énorme, modèle « suppositoire pour Jeanfi », à la Sagrada Familia, El Escumós ne jurait que par Evry, « sa sève, sa source »… Je donnerais cher pour connaître la traduction de « compénétrer » en catalan…

N’empêche que la candidature catalane du Chorizo donne des idées aux autres compénétrateurs professionnels de tenter leur chance aux endroits où ils peuvent plus ou moins être rattachés en fonction de leurs origines ou de leurs appétences…

La Dingo du Poitou s’imagine d’ores et déjà aller proposer sa bravitude au service des pingouins de Terre-Adélie ; on annonce que Nicolas Bay candidaterait à Auschwitz, Florian Philippot à Folsom Street, et Placé postule chez Ricard et Smirnoff…

Compénétrateur, Mélenchon ? Quand on a comme garde rapprochée Raquel Garrido et Alexis Corbière, ça n’incline pas vraiment à la gaudriole et à la chevauchée savoyarde dans les fonds de remise… N’empêche que Méchancon n’a pas pu s’empêcher de balancer son venin sur Valls, un personnage désastreux dans tous ses aspects. Ah, Mélenchon et ses propos toujours mesurées et plein d’empathie…

Compénétrateur ou pénétrateur de con… Puisqu’on parle de la salle de jeu de ces dames, un mot sur Anne Hidalgo, qui s’épanche dans un livre sur sa politique anti-bagnoles… Notre Drame de Paris ne peut plus piffer un pot d’échappement avec ses particules qui tuent, qui polluent, qui font du bobo à la capitale, berk, pipi caca ; mais ça ne lui pose aucun problème de déforester des hectares de forêt pour imprimer son bouquin…

Compénétrateur, lui ? Bien qu’il ne se soit jamais caché d’aimer la vie militaire, les grands blonds en uniforme vert-de-gris et les chambres collectives chauffées au gaz, Neunœil de Montretout a toujours clairement affiché ses intentions… Et l’on apprend aujourd’hui que Jean-Marie Le Pen a été hospitalisé (Rachel, sors le champagne, le millésimé de l’année du delirium de Tonton Schlomo !), mais ses jours ne sont pas en danger (Rachel, tu ranges le champagne !)…

Quant à Médiapart, ils auraient peut-être mieux fait de ranger la photo de Benalla, la cartouchière du Président, dégainant une arme pour un selfie à Poitiers, à une époque où il n’avait pas de port d’arme… Il aurait des tendances exhibitionnistes que ça ne m’étonnerait pas, à sortir son gros instrument ainsi en public…

Par contre, les tendances de Yann Moix à la connerie intégrale et au syndrome « grande bouche-p’tite bite » sont confirmées. Après son commentaire insultant sur la Maison Poulaga de samedi soir, il opère un rétropédalage navrant, disant regretter ses propos grossiers, avec cette phrase digne de mon petit cousin Mattéo, 12 ans, QI de 26 et toujours en CP, « les gros mots c’est pas bien »… La prochaine fois, je récure mon bidet à l’acide chlorhydrique, je serai débarrassé de toutes ces raclures…

Puisqu’on parle de vermines nuisibles, la demande de mise en liberté de Tariq Ramadan-Loignon a été rejetée pour la troisième fois… Il est têtu, le tripoteur de mesdames, à défaut d’être couillu pour reconnaître ses gestes déplacés…

Dans le domaine des compénétrateurs consanguins, les têtes couillonnées et les glands de ce monde qui mettre Stéphane Bern sur la béquille, la Reine Paola de Belgique, 81 ans aux moule-frites à la gueuze lambic, a été victime d’un AVC à Venise. Encore qui a compris la chanson de Sheila et Ringo de traviole. C’était « Laisse les mongols à Denise » et non pas « Deviens mongole à Venise »…

Et toujours dans la catégorie arts et lettres, Claude Lelouch (le cinéaste préféré de Dalida) tourne la suite du mythique « Un homme et une femme », avec les mêmes acteurs et toujours à Deauville. Les planches de Deauville, c’est tellement plus pratique pour faire rouler le fauteuil, et a donne un avant-goût du costume de sapin… Cinquante deux ans après les chabadabada originaux, c’est plus Anouk Aimée, c’est Anouk Mémée…

Et le 26 septembre 1948 naissait à Cambridge Olivia Newton-John, dont un des titres de gloires fut de représenter le Royaume-Uni à l’Eurovision 1974 avec « Long live love », une chanson hommage à l’Armée du Salut anglaise, et des sourires de pubs pour dentifrices triple blancheur et en prime une longue robe bleue à fanfreluches ; quatre ans avant d’être atteinte par la fièvre du samedi soir au contact d’un John Travolta sponsorisé par une grande marque de laque fixation extra-forte et moulé dans un pantalon en cuir « poutre apparente ».

L’image contient peut-être : 1 personne, debout

lundi 24 septembre 2018

Brèves du 24 Septembre 2018

Y a plus d’hommes, mon pauv’ petit !,

Nan, y a plus d’hommes, soupirait lourdement de toute sa bronchite chronique en retenant les glaviots entre ses cinq dents, cette chère Tante Marthe, affalée sur son Everstyl à gros ramages, devant le téléviseur Continental-Edison qui diffusait comme tous les samedi soir de barbituricales variétés qui ne tarderaient pas à laisser la place à de laxatifs talk-shows où des crétins engueulent des andouilles tout en restant farouchement sur leurs positions…

Quand on vous propose en hors d’œuvre un bêtisier des meilleurs moments du best-of des fous-rires de Denise Fabre présenté par Christophe Beaugrand ; le plat de résistance sous forme d’un maelstrom de variétés avariées orchestré par Cyril Féraud avec l’intervention de Willy Rovelli (Monsieur « Trois minutes et j’ai fini ») ; et un dessert bourratif genre causerie interminable animée par Laurent Ruquier et Charline Consigny… On en arrive fatalement à la conclusion hâtive que les vrais mecs n’existent plus… Mis à part Amanda Lear et Valérie Damidot, bien entendu…

Y a plus d’hommes, il faut bien le reconnaître, sauf au bois de Boulogne, comme dit Bouvard qui connaît bien le coin… Que des pédales, des tafioles, des folles, des tarlouzes, des Marie-Toutoule, bref, des messieurs charmants qui ne feraient pas de mal à une fille…

Sans vouloir aller au fond des choses, il me faut pourtant bien entrer dans le vif du sujet puisque ces spécimens plutôt flottants de la jaquette sont au cœur des futilités de l’actualité du moment…

Y a plus d’hommes, ma bonne dame ! Preuve vous en est donnée le samedi soir, tard, très tard, quand la tisane raifort-coulemelle-ortie vous fait vidanger une demi-container de bon gros pipi après un roupillon pépère sur le canapé, vous tombez nez à nez avec « On n’est pas couché », l’interminable causerie pseudo-branchée reconvertie dans le tir aux pigeons de personnalités médiatiques grâce à des snipers qui au départ tiraient à l’arquebuse mais aujourd’hui ont choisi le canon de 75 pour ne laisser aucune miette intacte.

Question rouleau compresseur, le nouveau dézingueur de Ruquier (bien que j’ignore si il lui a ovalisé l’orifice à cakes) a tout de l’Euclid, puisqu’il a finement remarqué samedi dernier qu’on réussit mieux en France en étant fils d’immigrés, noir et pédé. Comme Charlot n’est que pédé (et aussi copieusement con, au surplus), il ne devrait être promis qu’à un anonymat médiocre. On peut s’en réjouir…

Y a plus d’hommes, mon pauv’ Raoul ! Même si les mecs, ou prétendus tels, se succèdent dans le boudoir télévisé de la Ruquier, on remarque qu’ils ne brillent guère par leur intelligence ébouriffante et leur réflexion hautement philosophique. Mis à part Naulleau et sa beauferie chauvine de gros nounours gavé au calendos-picrate, on peut fourrer les Zemmour, Caron, Consigny et autre Moix dans un sac qu’on oubliera en consigne à la gare de l’Est…

Y a plus d’hommes, mon pauv’ Yann ! Yann Moix… L’exemple vivant qui pourrait convertir Magloire à l’hétérosexualité en moins de temps qu’il n’en faut à Nabilla pour apprendre par cœur la table de multiplication par un. Le paradigme du petit intello miteux (et mité de la charpente) qui se tripote la nouille devant les critiques cinéma de Télérama et qui s’imagine le nouveau Balzac en bousant des pavés imbitables ; le mètre-étalon du chroniqueur acrimonieux parce que mal baisé et imbaisable qui estime parfaitement révérencieux de traiter les flics de « sans-couilles » qui se « font dans leur froc »…

La prochaine fois que vous vous ferez agresser, cambrioler ou que vous aurez besoin des « sans couilles », ils risquent de ne pas voler à votre secours, Monsieur le dédaigneux… ben non, ils seront probablement en train de chier dans leur froc…

Y a pus d’mec, mon pauv’ Mimile ! Tout va mal en France et à Paname depuis que les téteurs de gland ont pris les rênes. D’ailleurs, ces tarlouzes qui font les pédales avec des mecs sont tous des pervers… Ah, pardon ! C’est pas moi qui le dit, c’est Marcel Campion, le forain qui assure qu’il n’est pas homophobe, alors… Traiter les ondulantes du croupion de pervers, venant d’un mec qui fait tourner des petites filles sur des cochons et qui a envoyé des générations de types en l’air avec sa grande roue, c’est croquignolet, non ?

Tiens, je vous propose une devinette : Zemmour, Campion et Moix sont dans un bateau. Tous trois tombent à l’eau… Qu’est-ce qui reste ? D’accord, je ne parle pas de la pollution maritime, mais bon…

Y a plus d’homme, mon bon monsieur ! Plus un seul qui se jette à l’eau… Sauf si elle sert à diluer le pastaga… Et question apritifs anisés, il en connait un rayon, Renaud. Ses ennuis avec la dive bouteille ont repris, et la nouvelle de son hospitalisation dans une clinique proche de Montpellier dans un « état préoccupant » ne laisse rien présager de bon pour la suite. Espérons que le Mistral soit encore une fois gagnant et qu’on ne nous propose pas une dernière bière…

Y a plus d’homme, ma bonne dame ! Plus d’homme qui sache vous dire ce qu’on est en droit d’attendre qu’ils nous disent… Ah ben non, ma pauv’ Lucette, y en a plus des comme le Général De Gaulle qui avait dit son fait aux amerloques. Bon, d’accord, y a bien encore Nicolas Sarkozy qui chausse son châle de gitane pour prédire l’avenir dans sa boulette de cristal et prophétiser qu’avec Macron ça va très mal finir… Parce qu’avec lui, ça avait fini en félicité absolue et intégrale ?

Y a plus d’hommes ! Même si Patrick Juvet se demandait où sont les femmes (pour les éviter, visiblement), on cherche encore de véritables mâles. Des vrais, des durs, des tatoués, et tant pis s’il faut en passer par des méthodes lourdes. Regardez, les juges ont décidé de soumettre Benalla à une expertise psychiatrique, tout comme Marinette (à croire que c’est réservé aux formes humaines vaguement cousines du bouledogue et au cerveau de pois-chiche). Visiblement, les magistrats veulent comprendre comment un tel bourrin a pu se voir ouvrir toutes les voies élyséennes, y compris celles présidentielles…

S’ils font une exploration intracrânienne en prime, je veux voir la vidéo. J’ai toujours été fasciné par le vide…

Y a plus d’hommes, vraiment ? Dites ça à Acquittator, et après la plaidoirie tonitruante qu’il vous éructera de sa voix de gros fumeur, vous comprendrez que ce monde n’est pas peuplé de clones de Jeanfi Jeanssens… Éric Dupont-Moretti va faire ses débuts sur les planches, et il avoue être mort de trouille. S’il fait dans son froc, appelez Yann Moix, ça va l’exciter, la pelle à merde des pseudo-penseurs bobos. Le titre du spectacle ? « Éric Dupont-Moretti à la barre ». A un accent près, et si sa robe était de bronze, on entendrait sonner le tocsin…

Et le 24 septembre 1949 naissait à Calzada de Calatrava un des réalisateurs de cinéma espagnols les plus folles de son histoires, un des emblèmes de la nouvelle vague espagnoles, l’inclassable et loufoque Pedro Almodovar qui connut la renommé internationale grâce à « Femmes au bord de la crise de nerfs ».. Eh non, y a plus d’hommes, ma pauv’ Tante Marthe…

L’image contient peut-être : 1 personne, intérieur et gros plan

jeudi 20 septembre 2018

Brèves du 20 Septembre 2018

« La devise des Peaux Rouges heureux,
« C'est qu'un indien prudent en vaut deux.
« Cowboys et bisons, quelle circulation !
« Sur le sentier, faut faire attention !
« Au feu vert, les autos peuvent foncer,
« ‘Au feu rouge, elles doivent s'arrêter.
« C'est pour ça que quand on est futé,
« On attend le rouge pour commencer à traverser… »

Si vous vous creusiez la tête pour tenter désespérément de remettre les français au turbin au lieu de la voir paresseusement se prélasser dans une inactivité sponsorisée par les nombreux subsides étatiques dont certains savent abuser avec une maestria qui confine au génie intégral, je vous offre la solution, Monsieur le Président Macron !

Renvoyez ces eux tous vos conseillers, brain-stormers, ass-breakers et autres consultants spéciaux qui vous coutent les peau des couilles en abat-jour et qui ne font rien qu’à trouver pour résorber le chomedu des solutions aussi éculées qu’un Beaugrand à la Gay Pride !

La solution est là devant vos oreilles ébahies, sur le tourne-disque orange qui opérant une rotation de quarante-cinq tours à la minutes vous donne à entendre le générique d’une série télévisée visant à sensibiliser le jeune public aux dangers de la route, « Plume d’Elan ».

Si l’on veut trouver du boulot, faut traverser la rue, selon la parabole de Saint-Emmanuel-de-la-Macronie-Qui-Se-Barre-En-Couille. Fort bien ! Mais en dignes enfants de Plume d’Elan, on attend le rouge pour commencer à traverser. Et comme visiblement les demandeurs d’emploi souffrent d’un daltonisme généralisé… On n’est pas près de voir des remakes d’Abbey Road fleurir en France…

Si ça doit continuer ainsi, on va finir par regretter le temps de Flotte Mec… Il pratiquait le même genre d’humour pas drôle, sponsorisé plein pot par Gad Elmaleh et Frank Dubosc, mais au moins, il ne prenait absolument aucune décision… Tandis que le mec qui trouve du taf en marchant sur un passage clouté, lui, il décide à tour de bras.

Ça n’est généralement pas très efficace, en tous cas, pas dans l’immédiat, mais ça a la fâcheuse habitude de lever les boucliers des indécrottables brise-noisettes…

Et dire que Hollandouille préparerait son retour… Ce serait une bénédiction pour toutes celles et ceux qui s’intéressent à l’actualité. Les éditorialistes et les pisseurs de copie seraient toujours aussi vent debout contre le pouvoir, mais on ne dépasserait pas la quota autorisé, on aurait la paix !

A moins que vous ne vous soyez exilé sur Mars depuis l’élection à la Présidence du Prétexte marital à Brigitte, il ne vous a pas échappé que tout ce que notre pays compte de journaleux, de scribouillards et de pseudo-pamphlétaires controversés se masturbe frénétiquement le cortex en vitupérant à qui mieux-mieux et en crachant le bon jus à pépère sur le Président.

A chaque règle son exception, et c’est Christophe Barbier qui chaque matin cire les Berlutti vernissés de son Excellentissime Jupitérienne de son écharpe rouge…

Quant à Éric Zemmour, la raclure de bidet à tronche de fouine trépanée, il a encore une fois fait étalage de toute sa rancitude inhumaine face à une Hapsatou Sy réellement Sy-ée d’une telle concentration de haine raciale, de connerie intégrale et de dédain de l’autre. Son prénom ne plait pas à Zemmour ? Pas assez français à son goût de chiottes ? Rappelons-lui tout simplement qu’Éric est un prénom scandinave d’origine germaine. Question hexagonalité, il repassera, le rescapé de capote…

Dites, vous y croyez, vous, à la règle de vases communicants ? Apparemment, elle semble être respectée au-delà de l’inconcevable en ce moment…

Les retours à la Maison Mère se sont accélérés ces derniers jours, et si Jean-Claude Brialy, notre irremplaçable Mère Lachaise, était encore de ce monde, il ne saurait plus où donner du goupillon…

D’abord Rachid Taha, terrassé à 59 ans par une crise cardiaque dans son sommeil quelque part dans sa « Douce France » qu’il avait si bien repris à Trenet. « Voilà, voilà que ça recommence »…Ben non, hélas. Et pour info, Christophe Maé pète la forme qu’il en a carbonisé son boxer…

Elle en avait réchappé d’un poil de sa tignasse flamboyante, mais cette fois-ci, le sursis est hélas révoqué définitivement pour Marceline Loridan-Ivens, cinéaste mais surtout infatigable militante de la mémoire sur l’horreur de la déportation, qui part retrouver tant de « détails » d’une Histoire qui sent le gaz, à 90 ans. Il paraît que Neunœil de Montretout aurait repris deux fois de tapioca à l’hospice des Vieux Glands en apprenant la nouvelle…

La Camarde déquille dans tous les domaines, et celui du théâtre est également touché avec la disparition de Jean Piat, 93 balais aux prunes rabougries, l’un des derniers vrais monstres sacrés qui ont su donner à la profession de comédien de vraies belles lettres de noblesse. L’inoubliable Robert d’Artois des Rois Maudits version O.R.T.F. laisse pour tenter de lui succéder une panoplie désopilante : Franck Dubosc, Ary Abittan et Fabrice Lucchini… Tout va bien…

Refermons ce carnet noir hélas trop chargé en signalant la disparition à l’âge de 76 ans, en France, de la chanteuse néerlandaise Anneke Gronlöh, une des icônes musicales aux Pays-Bas, et qui participa aux Concours Eurovision 1964 sous la bannière batave avec une chansonnette romantico-yéyé « Jij bent mijn leven » (Tu es ma vie). Désormais, elle chantera pour les anges « Jij bent mijn dood »…

Mortel, ce fut aussi le cas de l’audition de Benalla devant le Sénat. L’Elargisseur de la chatte à Macron a été parfait en récitant par cœur la leçon rédigée par l’Elysée. Plus il était précis, plus il était flou. Et on en était arrivé au niveau de la quasi-cécité…

Aveugle, on aimerait presque l’être quand on nous annonce la casting de la nouvelle saison de Danse avec les Stars, qui n’a jamais aussi mal porté son nom que cette année… On nous ment déjà avec les présentateurs, un quarteron d’inutiles au nom de Sandrine Quétier, Laurent Ournac (s’il aussi mauvais que dans sa série, ça promet), Camille Combal (parce qu’il faut bien employer le 1 % handicapé) et Karine Ferri (vraisemblablement parce qu’elle suce bien le producteur). Et on nous roule dans la farine avec les candidats.

Jugez plutôt : Iris Mittenaere, Pamela Anderson, Lio, Jenfi Jeanssens, Vincent Moscato, Basile Boli, pour vous citer les moins inconnus… Une dinde de concours, une poupée gonflante intégralement refaite, une portugaise qui sent la morue, une folle hystérique, un bourrin beauf de première et un black qui s’y connaît en danse comme je m’y connais en physique quantique…

Puisqu’on se vautre dans l’information de haute portée culturelle et de belle tenue, surtout pour se torcher lors de diarrhées aigües, vous ne serez pas indifférents d’apprendre que le Roudoudou de Bardot est mort. Non, ce n’est pas sa chatte qui est morte (faut dire qu’elle a vu défiler plus de saucisses que tous les barbecues français en période estivale) mais son chien, à l’âge de 18 ans, ce qui fait en correspondance humaine environ 94 ans. Encore dix ans et il aurait égalé sa maitresse…

Tiens, puisqu’on cause de macchabées, la justice espagnole a autorisé l’exhumation de Franco, afin que le Caudillo quitte son mausolée du Valle de los Caidos. Mais où c’est-y qu’il va aller crécher ? Line Renaud et le Casino de Paris ont du mouron à se faire…

Elle aussi, elle a du mouron à se faire. Marine Le Pen, actuellement mise en examen dans l’affaire de divulgation d’images de Daesh, est convoquée pour une expertise psychiatrique. Les juges ne se sont pas doutés de quoi que ce soit, c’est une obligation procédurale… La vérité risque d’éclater…

- Madame, que voyez-vous dans cette tâche d'encre ?
- Un migrant.
- Et dans celle-ci ?
- Un terroriste.
- Observez maintenant la troisième...
- Un migrant terroriste !
- Regardez bien la quatrième…
- Un migrant terroriste illégal !
- Bon. Je vous montre la dernière planche…
- …
- Que voyez-vous dans cette tache ?
- …
- Rien du tout ?
- Si. Papa.

Pour le moment, Marinette a gazouillé que sa convocation était proprement hallucinante et que ce régime commençait vraiment à faire peur. Si elle a la trouille d’être en démocratie, l’expertise psy n’est peut-être pas superflue…

Et pour finir agréablement, une momie de trois mille ans est arrivée à Besançon… J’ignorais qu’Isabelle Aubret donnait toujours des concerts…

Et le 20 septembre 1979 naissait Gilles Bongibault, que les téléspectateurs assidus de la première chaîne connaissent sous son pseudonyme de Gil Alma, une des pseudo-vedettes de la navrante sitcom « Nos Chers Voisins ». Faut dire que porter le même patronyme que l’ex-caution gay de la Manif Pour Tous, la blondasse rose fluo Xavier Bongibault, ça n’aide pas à se lancer à la télévision. Sauf si on a des talents, mais ne parlons pas de choses qui fâchent avec Gil… 

L’image contient peut-être : 1 personne