vendredi 29 novembre 2019

Brèves du 29 novembre 2019

« Þá veistu svarið »… Alors tu connaîtras la réponse…

Au final je redoute que certains d’entre vous ne s’estiment oculairement agressés par les introductions liminaires pour commencer au début des prémices de la chronique, qui oscillent entre les descriptions foncièrement dégueulasses des agapes cannoises de starlettes qui écartent plus facilement les cuisses que les mâchoires au contact de vieux producteurs libidineux qui tirent une drôle de bobine en révélant leur objectif tout en déballant leur long métrage, et les reproductions sans propos de mise en garde des meilleurs textes de l’inextinguible répertoire du Concours de l’Eurovision…

Je sais pertinemment que vous donner à lire de l’islandais eurovisuel pour terminer la semaine et le mois, ça mériterait presque une séance torse nu de fouet trempé dans de l’extrait concentré de jus d’ortie, ou quelques journées de torture dans la salle dite du phonographe dans un club libertin de province, salle où l’on passe à plein tube les disques de Christophe Maé, Louane et Zaz en 78-tours… et où l’on réussit à tuer un mouton en moins qu’un quart d’heure…

Si Inga, la transparente blondasse islandaise qui miaulait ces fadaises roucoulophoniques au Concours Eurovision 1993, affirmait qu’on connaîtrait la réponse, encore eût-il fallu qu’elle posât une question, c’te cruchette ! A croire qu’elle s’imaginait encore sur le plateau du jeu télévisé Jéopardy, qui fut animé avec son absence de charisme habituelle par Philippe Risoli à la charnière des années 90…

Souvenez-vous, et fouillez quelque peu dans vos méninges et vos souvenirs enfouis sous l’épaisse couche de poussière du temps qui passe… C’était ce jeu où l’on vous donnait les réponses…. Non, pas comme au Grand Concours des Animateurs où même avec les réponses sur prompteur devant leurs mirettes, certaines animatrices comme Alexia Laroche-Joubert, Christophe Beaugrand, Catherine Laborde ou Cyril Féraud arrivent à mettre à côté de la plaque…

Jéopardy consistait à découvrir les questions attachées aux réponses apparaissant à l’écran… Et de nos jours encore, on a tant et tant de réponses auxquelles on se trouve bien en peine de rattacher une question…

Face aux délires décibellesques de certains aspirants chanteurs de The Voice, on peut se demander ce que Mika leur faisait dans les coulisses pour qu’ils gueulent tant…

Quand on se fait littéralement ensevelir sous les réclames télévisées et internetesques pour le Black Friday, une journée d’une semaine où l’on peut arriver à économiser jusqu’à 100 % si l’on achète rien de tout leur bazar pourrave, on pourrait presque se demander si les racistes fêtent le Black Friday…

Parmi tant de questions, il en est cependant qui restent sans réponse… Ou presque… Qui a donné une leçon de natation au petit Grégory ? Qu’est-ce que Patrick Fiori pouvait bien faire à Lara Fabian pour qu’elle gueule autant ? Ou sont planqués les millions des nouveaux pauvres de Levallois-Perret, les époux Balkany ?

A la limite de l’indigence la plus intégrale, Patoune et Isabelle Balkany ont remercié leurs avocats, Antoine Vey et Éric Dupont-Moretti…. Grassement remerciés d’un chèque tout aussi confortable que les rotondités corporelles d’Acquittator, vraisemblablement… Et puis, Riri n’allait pas bosser sous le bénéfice de l’Aide Juridictionnelle… Il réclame des honoraires, loui, pas un pourboire…

Et encore des questions d’une actualité brûlante : Comment le cardinal Barbabrin peut-il encore regarder un crucifix en face après avoir contesté violemment sa condamnation pour ne pas avoir dénoncé un prêtre pédophile (pléonasme) ? Surtout quand il commente à la sortie de l’audience qu’il veux dire aux victimes « qu’il ne pense qu’à elles »… Quand on vous dit qu’ils ont le vice chevillé au corps…

Toujours des questions sur la sanité d’esprit de ce professeur parisien qui filmait les pompiers d’une caserne en face de chez lui… sous la douche…. Avait-il envie de jouer la savonnette à la vue de leurs grosses lances ?

Toujours des questions sans réponses face aux revendications tout-à-trac de l’Etat Islamique, qui prend encore une fois bien garde d’éviter la plus élémentaire décence et revendique la responsabilité des treize soldats morts au Mali… En sont-ils rendus aussi bas de devoir revendiquer ce genre de drame ? A ce train-là, ils vont revendiquer la responsabilité des gamelles hexagonales à l’Eurovision…

Autre question sans réponse relativement à l’Eurovision, le grand rassemblement paneuropéen annuel de canzonettas moisies et d’interprètes directement extraits de la Gay Pride et d’un cabaret saphique du Paris interlope des années d’après-guerre… La Hongrie se retire du Concours 2020, non pas à cause du logo qui ressemble à rien si ce n’est une palette de peintre mal nettoyée et bouffée aux mites, mais parce que le Concours serait trop gay…

Vu le nombre de tantes et de brouteuses de motte qui se sont succédé au micro depuis 1956, jusqu’aux apothéoses de Dana International, Josiane Saucisse et Bilal Hassani, la télévision hongroise aurait mieux fait de ne jamais participer…

Toujours une interrogation sur l’état de fonctionnement du cerveau de ce lyonnais qui totalise plus de cinq mille trois cent appels téléphoniques malveillants à caractère sexuel et d’outrage à la Police en l’espace d’un mois… Avec une moyenne de cent cinquante appel par jour, le mec devait avoir un sacré forfait…

Et dans le monde du sport, les questions sans réponses, et les réponses sans questions sont légion, là encore… Comment Ribéry arrive-t-il à proférer tant de conneries alors qu’il a le QI d’un rappeur lobotomisé sous perfusions de shit concentré ? Pourquoi Tom Daley, qui se chope immanquablement une sacrée gaule quand il plonge, s’enfourne-t-il le service trois-pièces dans des moulebites trop petits pour son anatomie ? Comment se fait-ce que Rafael Nadal, qui pourtant se paie des montres à 770.000 €, porte invariablement des slips qui lui glissent dans la raie ?

Et encore une question qui n’aura pas de réponse, tout du moins officiellement, c’est ce qu’il advient des 1,3 tonne de cocaïne récupérée depuis le mois d’octobre et la marée blanche sur la côte atlantique… Une chose est certaine, les centenaires courent le cent mètres en des temps olympiques, et Frédéric Beigbeder vient de déménager à La Rochelle…

D’un couillon a l’autre, et pour une fois, la question a déjà reçu une réponse, voici venir le parrain du Téléthon 2019, qui sera cette année Jean-Paul Rouve… Comme si ces pauvres gamins n’avaient pas déjà assez de peines comme ça… Leur infliger ça…

Et le 29 novembre 1945, Josip Broz Tito accède au pouvoir à la tête de la République populaire de Yougoslavie. Alors que Staline voyait en lui un bon petit soldat bien formaté, Tito va s’éloigner de l’URSS et devenir le chef de file des pays non-alignés. Comme l’aurait peut-être chanté Dalida sur un rythme de samba « Tito Tito par ci, Tito Tito par là, dans tout Belgrade on n'entend plus que ce nom là »…

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mercredi 20 novembre 2019

Brèves du 20 Novembre 2019


Le prochain qui m’affirme le sourire au bec de lièvre et la bave maronnasse aux lèvres que la musique adoucit les mœurs, je lui dégomme une mandale à lui dévisser sa tête de fion façon ampoule grillée…

Je vous explique pourquoi tout de suite, ne souhaitant pas me faire passer plus que de raison pour un pisse-froid mauvais coucheur qui aurait mauvais caractère (genre grizzly à qui l’on chipe son pot de miel pendant une rage de dents en pleine insomnie…).

Ce matin même, je conduisais tranquillement aux alentours de cent quatre-vingts à l’heure sur une route sinueuse de basse montagne, ou de haute campagne pour les optimistes, tout en écoutant d’une oreille distraite les bavasseries radiodiffusées de Nagui et de sa bande de joyeux farandoleurs sur Radio Gaucho, lorsque je fus saisi d’un effroi tel qu’il méritait d’être pris en selfie…

Afin de promouvoir le nouvel album de Julien Clerc, surnommé la chèvre du show-business français tant son vibrato est caprin, les programmateurs sonores crurent bon de diffuser quelques extraits de duos composant ledit album…

Si les miaulements de vieille tante prépubère mal sodomisée de Vianney sur « Femmes je vous aime » firent étoiler le pare-brise, ce qui n’était finalement qu’un moindre mal, comparé à l’inutile « Utile » avec Totophe Maé qui a toujours autant de mal à pousser les aigus qu’n constipé chronique à pousser son petit étron du mois ; c’est le pourtant sublime « Ce n’est rien » coassé par la voix crasseuse, elle aussi, de Zaz, qui a failli me faire verser dans le fossé…

On devrait définitivement interdire de diffuser de telles horreurs à des heures de grande écoute… ça, et les chroniques de Sophia Aram. Y a des cardiaques, des hypersensibles et des enfants, merde ! Qu’on émette ce genre de bousasse musicale à quatre heures du mat’ pour les légumes de la section Vincent Lambert du CHU de Morzy-Les-Joyeuses, ou pour adoucir l’injection létale des condamnés du Couloir de la Mort, oki…

Mais pas à d’innocents auditeurs qui n’attendent que les gugusseries homocentrées de Tanguy Pastureau, les galimatias incompréhensibles de Guillermo Guiz ou les vacheries bien senties de Daniel Morin !

D’accord, la vie c’est toujours la même chanson, mais est-il bien nécessaire de massacrer à ce point ses propres chansons pour espérer gagner quelques sous-sous ?

Tiens, puisque la vie est toujours la même chanson, et que la chanson est partout, voici quelques introductions musicales (rassurez-vous, Beaugrand a essayé et il m’a confirmé que çà ne faisait pas mal) pour vous servir les futilités de l’actualité du moment…

« Ein Lied kann eine Brücke sein », une chanson peut être un pont, pépite eurovisuelle germanique de 1975 qui sied a ravir à ce pont qui ploie sous un camion surchargé… Quarante tonnes de chargement pour un poids maximal de 19 tonnes sur le pont… Dites, c’était un mongol profond, ou Ribéry au volant ? Oui, la différence est mince, je sais…

Combien de fois faudra-t-il vous le répéter, amis routiers, qu’il est formellement interdit de charger Valérie Damidot et Artus en autostop sur les départementales ?

« C’est la merde »… la chanson porte-bonheur de Guy Béart sied comme un gant à pis de vache à la journée d’hier, dite journée mondiale des toilettes… Oh je sais, si la journée mondiale des toilettes vous fait chier, laissez pisser le mérinos…

« Que c’est triste Venise, au temps de l’acqua alta, que c’est triste Venise, quand on ne barbote plus »… Venise est sous les eaux, non pas parce que Régine et Damido se sont baignées dans la lagune… La Sérénissime a les panards qui trempent, et on aura du mal à nous faire croire qu’il ne s’agit pas d’un effet pervers du réchauffement climatique. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, Greta Oum-Papa va pas tarder à pointer le bout de ses couettes crasseuses pour engueuler le Doge…

« Oh mon bateau ! »… Lui qui naviguait sur les flots a définitivement sombré. Éric Morena, la plus exubérante chanteuse exotique depuis Dario Moreno (vous savez, cette bonne bouteille d’huile qui roucoulait des âneries sucrées avec un accent sud-américain du Bosphore avec des fringues de carnaval et la discrétion de Michou sous acide), s’en est allé sur les flots de son bateau à 68 ans seulement. Le Torero de l’amour, qui ne faisait pas mystère de ses penchants affectifs avait eu beaucoup de mal à se relever du fulgurant succès du bateau… Surtout lorsqu’il s’était agi de « Ramon et Pedro »…

« Une cloche sonne, sonne… » « Les trois cloches » était l’une des chansons qui mettaient le mieux en valeur la diversité vocale des Compagnons de la Chanson… Enfin, on entendait surtout Fred Mella, le soliste du groupe, voix de velours et œil sirupeux assorti, dont on disait généralement Fred Mella se colle… En tout cas, Fred Mella note finale aux Compagnons de la Chanson, formés en 1941. Le dernier des Compagnons survivant s’est éteint à l’âge de 95 ans… Les cloches se sont tues… A moins qu’Eve Angeli ne sorte un nouveau disque…

« Sans ma barbe, quelle barbe »… Et même serais-je tenté de dire « avec tes rondelles, quelle barbe »… Matt Pokora, le tatouage chantant, semble abandonner la chanson, ce dont on ne peut que le féliciter chaleureusement, mais sévit désormais dans la publicité télévisée pour les rasoirs Braun. Déjà que barbu, il fait aussi viril que Beaugrand, alors imaginez rasé de près… Même là, il nous rase…

« C’est beau, c’est chaud… ». Oui, je sais, je dois être le seul ici à me souvenir de cet éphémère duo Tuxedo qui gloussait une mièvrerie sans importante à la fin des années 80… Mais cela colle comme du nylon en fusion à la peau et à cette minisérie de TF, le « Bazar de la Charité ». La première chaîne tente de se refaire une virginité avec cette fiction en costumes, inspirée de faits réels. Stéphane Guillon, Josiane Balasko, Antoine Duléry ou Florence Pernel en costumes 1900, ça fait aussi crédible que Damidot en robe de soirée… Au moins pourra-t-on vérifier si certaines cocottes de l’époque avaient véritablement le feu aux fesses…

« Adieu les jolis foulards »… Ou quand la république laïque se fait plus conne que Morano, c’est vous dire… Une religieuse s’est vu refusé un accès en maison de retraite en tant que résidente, à cause de son voile… Faut-il en rire ou en chialer de rage ? Alors, va falloir refouler tous les porteurs de médailles religieuses… Punaise, quand on touche le fond, il s’en trouve toujours un pour sortir une pelle et grapiller quelques centimètres…

« Tu me fais tourner la tête »… Ou comment ne plus savoir comment faire pour s’envoyer en l’air… A Altkirch, une conductrice de 95 ans a fait un tonneau en ville, avec sa Clio. Heureusement légèrement blessée, la mamie adepte de la renversée alsacienne a voulu se remémorer le temps où elle avait toujours une saucisse dans sa choucroute…

Et pour en finir, on murmurerait dans les milieux autorisés, et dieu sait que dans les coulisses de l’Euromachinchose, ça suce plus que ça ne murmure, et en tous cas, ça ne parle pas la bouche pleine, que les Stentors seraient pressentis pour partir au casse-pipe néerlandais en mai 2020. Vianney et ses potes pour la France à l’Eurovision ? Impossible ! Ils chantent juste et ont le sens de la scène…

Et le 20 novembre 1985 naissait Windows 1.0, qui était la première version de surcouche graphique de Microsoft, basée sur MS-DOS, elle fournissait une interface graphique à des applications qui se développaient de plus en plus : traitement d'images, calculs, graphes, gestion de la documentation… Ce fut aussi le plus gros échec de Windows, à cause de sa gestion médiocre des fenêtres, lesquelles n'avaient pas de bouton de fermeture. il fallait donc passer par un menu déroulant. Ah ! la simplicité de l’informatique de ces années-là… Heureusement que ce n’est plus aujourd’hui la même chanson…

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vendredi 15 novembre 2019

Brèves du 15 novembre 2019

« Les portes du pénitencier
« Resteront encore fermées…
« Et c’est là que Patoune finira sa vie
« Comme d’autres gars l’ont finie »…

Je ne sais pas pour vous, mais je l’avoue et je plaide coupable, j’adore les séries télévisées interminables, les soap operas à rebondissements multiples, les feuilletons sans fin qui meublent toujours avantageusement les fins de nuit de vieilles chaînes télé, accompagnant vos insomnies, vos poussées de fièvre ou de diarrhée…

Ah ! Les inénarrables « Voisin, voisine », « Clinique de la Forêt Noire » et autres « Danse avec moi » que vous regardiez avachis sur le canapé, l’œil vide et l’encéphalogramme plat, en parfaite imitation d’une starlette de téléréalité…

Si vous avez comme moi le goût pour ces bouses télévisées, je ne saurais que trop vous conseiller de suivre incontinent « Les rocambolesques aventures judiciaires de Patrick et Isabelle », ou si vous préférez dans la version originale « Truand’s stroy »…

Je vous entretiens depuis quelque temps des péripéties médiatico-juridico-financiaro-peoplesques des Thénardiers du 9-3, les fameux époux Balkany, symboles vivants de la probité politique et de la droiture morale dans la gestion publique…

Avec eux, on peut se permettre de louper quelques épisodes, on sait qu’il y aura forcément à un moment donné une tentative de suicide d’Isabelle à grands renforts de laxatifs et de pilules anti-halitose, une engueulade de Patoune avec une journaliste qui ose mettre en doute sa quasi-infaillibilité papale, et une diatribe qui sent la clope sans filtre et le vieux slip d’Isabelle Boulay de la part de Maître Ducon-Moretti…

Mais il faut l’avouer, les scénaristes de Dallas, Dynasty et autre Falcon Crest sont enfoncés, ridiculisés, balayés, par les évènements Balkanyesques de ces derniers jours… La première demande de mise en liberté soumise à une caution, certes importante, mais qui reste de la monnaie pour eux ; le rejet de la seconde demande et une troisième demande déposée par son Aovcat.

C’est là qu’on sent que ça paye bien, chez les Balkany… N’est-ce pas, cher maître Acquittator ?

Mais le plus beau reste la cagnotte qui a été mise en ligne par les administrés de Patoune, afin que leur Christ Cosmique leur soit rendu avant la Trinité. Manque de bol, et malgré les gestes d’inconscience de certains versant leurs maigres économies (faut dire que là, où dans les poches des impôts, hein…), la cagnotte n’a péniblement atteint qu’un dixième des sommes nécessaires pour que Balkany Superstar leur soit rendu… Et dire que Patrick pensait que Levallois paierait…

Lui, il a payé cher, et peut-être de sa vie… Cet étudiant lyonnais qui s’est récemment improvisé en Jan Palach de la Colline de Fourvière, afin de dénoncer les conditions économiques difficiles des étudiants actuels… Loin de moi l’idée de nier le problème, nos politocards sont pour le faire avec beaucoup plus de rouerie que moi, mais n’était-ce pas plus ou moins la même chose voici vingt, trente ou quarante ans, lorsque nous faisions nous-mêmes nos études ?

N’avons-nous pas bouffé des pâtes à l’eau durant des semaines, vécu de bric et de broc dans des cités U pas toujours exemplaires questions salubrité et sécurité ? Si on avait toutes et tous dû craquer une allumette devant le jerrycan de benzine, on aurait eu des méchouis géants à volonté toute l’année…

En parlant de méchouis, un mot sur la très controversée manifestation contre l’islamophobie qui a fait couler quelques bidons d’encre en termes de verse, controverse, thèse antithèse et foutaise… En gros, un maelstrom bigarré qui bat le pavé pour prêcher l’islamophilie… Avec en tête de cortège quelques gros bonnets politiques qui tentent désespérément de retrouver le chemin des sunlights… Dans une République qui se veut laïque, ça fait bien…

Sans vouloir ajouter de l’eau au moulin déjà submergé des controverses, on pourra être tenté de faire montre d’une certaine accointance avec l’islam lorsque leurs pratiquants arriveront à ne pas mettre leur religion en avant et s’en servir d’un bouclier magique pour vivre ici comme là-bas…

Il n’en reste pas moins que l’étoile jaune que l’on a pu apercevoir est une marque d’irrespect flagrant, puisque ce qu’ils prétendent vivre est sans commune mesure avec ce qui s’est produit lors de l’holocauste. Mais certaines merguez et autres couscoussières quelque peu cabossées vous diront sans doute qu’il s’agit d’un détail…

Tout comme il s’agit d’un détail si Méchancon ramène sa trombine partout, lui qui se prenait pour la République… Visiblement une République voilée…

Lui, il n’avait pas de roue voilée… Même s’il restera dans l’imaginaire collectif comme l’éternel second, ce qu’il fut effectivement nombre de fois, Poupou avait l’étoffe d’un grand champion. Eh oui, Poulidor est mort, à l’âge de 83 ans, et c’est là son unique victoire que son éternel rival, Jacques Anquetil. On aimait la bonhomie et le caractère sympa de ce grand champion poupoupulaire… En France, on aime les médiocres, regardez maître Gims, Kev Adams, Zaz…

On avait souvent dit qu’Anquetil gagnait grâce à la cocaïne, qu’il consommait régulièrement et qui lui a flingué la santé. On a visiblement retrouvé ses réserves le weekend dernier, à Arcachon, sur la Coke Atlantique. Pour une fois qu’on parlait de marée blanche… Toute l’intelligentsia parisienne a brusquement décidé d’un voyage en bord de mer, parce que l’air marin, ça vivifie d’une manière incomparable… On a d’ailleurs vu des mouettes flashées à deux cent à l’heure…

Dommage qu’elle n’ait pas pu se refaire gratuitement ses provisions de bouche (et de pif, surtout)… Catherine Deneuve a été hospitalisée, victime d’un AVC, qui n’est pas un accident visible de couture, tant la Restauration Permanente du cinéma français a été tirée, et pas seulement par les chirurgiens. Rassurez-vous, la sœur de Françoise Dorléac va bien, et devrait continuer à assurer ses engagements prochainement… Elle va bien, elle va même très bien… Enfin, elle va mieux que Belmondo, ce qui en soi, n’est pas difficile…

Et nettement mieux que Marlène Schiappa, qui visiblement fait un AVC toutes les deux heures, vu le nombre incalculable de conneries qu’elle débite. Ce doit être la fille cachée de Morano… Dernièrement, elle a incendié le dernier film de Polanski, indiquant qu’elle le boycotterait, de concert avec Si-Bête N’Diaye… Voir que de telles truffes boudent le film me donnerait presque envie d’aller le voir, ce doit être un gage de qualité…

Et le 15 novembre 1976, clap de fin pour l'une des gueules les plus célèbres du cinéma français qui a incarné tout un pan du cinéma des années 50 et 60, après avoir eu son heure de gloire jeune et fringant dans les années 30. Inoubliable Pacha, incontournable gueulard de la Traversée de Paris, Monsieur Jean Gabin n'aura plus "d'beaux yeux, tu sais"...